CrĂ©erune association . Voir tous les documents juridiques . Comment ça marche ? RĂ©pondez Ă  un questionnaire. RĂ©pondez Ă  un questionnaire simple et interactif afin de crĂ©er un document personnalisĂ© pour votre entreprise. Le logiciel crĂ©e votre document. AccĂ©dez Ă  votre document grĂące Ă  notre logiciel innovant dĂ©veloppĂ© par nos Ă©quipes techniques en collaboration avec La gestion de la caisse est essentielle dans tous les commerces. Elle passe par la mise en place d’un logiciel qui doit notamment permettre de saisir les ventes et de recenser toutes les entrĂ©es et les sorties d’argent. Pour les plus perfectionnĂ©s, le logiciel permettra de simplifier la gestion comptable et de fidĂ©liser les clients. Outre les rĂšgles dictĂ©es par cet outil, certains principes de contrĂŽle interne doivent Ă©galement ĂȘtre logiciel de gestion de la caisseCaisse enregistreuse ou logiciel de caisseFonctionnalitĂ©s de la caisseLogiciel de caisse certifiĂ© et respect RGPDLes rĂšgles de contrĂŽle interne Ă  respecter dans la gestion de la caisseLe logiciel de gestion de la caisseCaisse enregistreuse ou logiciel de caisseOn trouve toutes sortes de logiciels de gestion de la caisse du plus simple au plus compliqué et du moins cher au plus cher. En entrĂ©e de gamme, on trouve la caisse enregistreuse toute simple. Il s’agit alors d’une simple caisse avec un clavier, un afficheur, une imprimante et un tiroir-caisse. La caisse ne sert qu’à calculer le montant Ă  payer, Ă  imprimer le ticket de caisse, Ă  encaisser et rendre la des fonctions plus avancĂ©es, il faut se tourner du cĂŽtĂ© des logiciels de caisse. Il s’agit alors de logiciels installĂ©s sur le poste de travail ordinateur, smartphone, tablette
 ou utilisables en mode SaaS Software as a Service. Dans ce cas, le logiciel n’est pas installĂ© en dur et il suffit d’une connexion Internet pour utiliser l’ de la caisseVoici les diffĂ©rentes fonctionnalitĂ©s possibles Saisie des ventes via un lecteur de code barre, un clavier, un Ă©cran tactile
 ;Calcul de la monnaie Ă  rendre ;Impression du ticket de caisse dans diffĂ©rents formats et possibilitĂ© d’établir une facture ;Annulation d’une vente et impression d’un avoir ;Gestion des Ă©changes et des retours ;Gestion des remises, des points fidĂ©litĂ©s et des bons d’achats ;Traitement des prix promotionnels ;RĂ©capitulatif des ventes par produit, catĂ©gorie de produit, taux de TVA
 ;Calcul des statistiques de ventes ;DĂ©crĂ©mentation du stock Ă  chaque vente ;ClĂŽture de fin de pĂ©riode synthĂ©tisant les ventes ;Edition du ticket Z pĂ©riodique rĂ©capitulant le chiffre d’affaires, les montants de TVA collectĂ©e par taux, les donnĂ©es de paiement carte bancaire, espĂšce, chĂšque ;Digitalisation du ticket de logiciels sont mĂȘme des combinĂ©s logiciels de gestion de caisse et de gestion de caisse certifiĂ© et respect RGPDDepuis 2018, les commerçants qui utilisent une caisse sont dans l’obligation d’utiliser un logiciel de caisse certifiĂ©. Plus prĂ©cisĂ©ment, cette obligation concerne les entreprises soumises Ă  TVA, vendant leurs produits Ă  des particulier et rĂ©alisant des encaissements en logiciel doit alors respecter 4 critĂšres pour ĂȘtre conforme Ă  la rĂšglement anti-fraude sĂ©curitĂ©, archivage, inaltĂ©rabilitĂ© et sauvegarde des plus, les logiciels oĂč une base de donnĂ©es clients est sauvegardĂ©e doivent respecter les rĂšgles en matiĂšre de protection des donnĂ©es. Il s’agit de la norme RGPD RĂšglement GĂ©nĂ©ral sur la Protection des DonnĂ©es.Les rĂšgles de contrĂŽle interne Ă  respecter dans la gestion de la caisseQuelques rĂšgles de contrĂŽle interne sont Ă  respecter pour bien gĂ©rer la caisse La rĂ©alisation d’un arrĂȘtĂ© de caisse quotidien Ă  la fin de la journĂ©e, le montant physiquement en caisse doit ĂȘtre comptĂ© et doit ĂȘtre Ă©gal au montant indiquĂ© dans le logiciel de caisse. Lors de ce recomptage, il faut compter tout ce qui se trouve en caisse c’est-Ă -dire les chĂšques, les billets de banque, les espĂšces et les relevĂ©s de carte bancaire. Les diffĂ©rents Ă©lĂ©ments doivent ĂȘtre classĂ©s afin de faciliter la remise en banque ;Le dĂ©pĂŽt en banque doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© selon une frĂ©quence rĂ©guliĂšre ou dĂšs le dĂ©passement d’un certain montant ;Le fonds de caisse doit ĂȘtre reconstituĂ© chaque jour pour le mĂȘme montant ;Tous les dĂ©caissements doivent faire l’objet de justificatifs ;La caisse doit ĂȘtre contrĂŽlĂ©e de façon inopinĂ©e par des personnes indĂ©pendantes ;Le montant encaissĂ© figurant sur le relevĂ© pĂ©riodique de la banque doit ĂȘtre comparĂ© Ă  celui figurant sur le bordereau de la banque et celui notĂ© lors du recomptage avant la remise en banque. Pourdevenir prestataire informatique indĂ©pendant, vous devrez vous immatriculer au Centre de FormalitĂ© des Entreprises (CFE) de la Chambre des MĂ©tiers. Attention au stage de prĂ©paration Ă  l’installation d’une activitĂ© de prestation de service qui coĂ»te environ 200 euros. Les frais d’immatriculation pour devenir prestataire Sommaire1 Comment faire un virement sur le compte d’une autre personne ?2 Comment faire un virement bancaire La Poste sur Internet ?3 Comment ajouter un bĂ©nĂ©ficiaire sur mon compte la poste ?4 Comment faire un virement instantanĂ© Banque Postale ? Comment faire un virement dans chaque banque ? A voir aussi ou trouver l’identifiant banque postale. Aller sur l’onglet virements. Saisir le numĂ©ro du compte Ă©metteur. Saisir le numĂ©ro du compte bĂ©nĂ©ficiaire. Saisir le montant du virement. Choisir une rĂ©currence ou non. Choisir la devise, si virement international. VĂ©rifier les informations. Valider la procĂ©dure. Comment faire un virement avec IBAN ? Pour recevoir un virement, la simple transmission de votre BIC/IBAN au tiers lui suffit pour rĂ©aliser ce transfert. De mĂȘme pour Ă©mettre un virement vous aurez besoin du BIC/IBAN du bĂ©nĂ©ficiaire. A voir aussi combien peut on retirer au distributeur banque populaire. Vous pouvez rĂ©aliser cette opĂ©ration directement depuis votre espace client sĂ©curisĂ© Banque En Ligne. Comment faire un virement par internet SociĂ©tĂ© gĂ©nĂ©rale vers une autre banque ? Connectez-vous Ă  votre Espace Client SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©ral https//particuliers. A voir aussi crĂ©dit mutuel la banque Ă  qui parler compte Dans le menu de gauche, cliquez sur passez un virement » SĂ©lectionnez le compte Ă©metteur dans la liste dĂ©roulante SĂ©lectionnez le compte bĂ©nĂ©ficiaire Recherches populaires comment obtenir un credit quand on est fichĂ© banque de france Comment accĂ©der Ă  mon compte bancaire BNP Paribas ? Bitcoin pourquoi ? Comment activer la vue satellite sur Google Maps ? VIDEO 12 conseils pour installer securipass credit agricole via votre espace client sur Internet. AccĂ©dez Ă  votre espace personnel en vous connectant sur le site de la Banque Postale. Voir l'article quelle banque prete le plus facilement pour l’immobilier. Rendez-vous ensuite dans la rubrique virement » pour effectuer, modifier ou annuler vos virements en France et Ă  l’étranger. Comment faire un virement de CCP Ă  CCP ? Sur simple prĂ©sentation d’un chĂšque postal dĂ»ment servi et d’un justificatif d’identitĂ©, un titulaire d’un compte courant postal peut ainsi utiliser son chĂšque postal au niveau des guichets des bureaux de poste pour effectuer un virement financier instantanĂ© vers un compte courant postal d’un bĂ©nĂ©ficiaire. Voir l'article VIDEO 5 astuces pour acheter 2eme maison. Comment faire un virement CCP ? Via le site – mon compte rendez-vous sur la page des virements, aprĂšs avoir créé le compte de votre bĂ©nĂ©ficiaire Ă  l’aide son RIB/RIP, sĂ©lectionnez le type et les conditions du virement que vous souhaitez mettre en place puis validez votre saisie. Ceci pourrait vous intĂ©resser Les 5 meilleurs conseils pour trouver location loi pinel. Comment faire un virement avec l’application la Banque Postale ? Comment faire un virement ? Pour effectuer un virement prenez soin de vous munir des coordonnĂ©es bancaires complĂštes du bĂ©nĂ©ficiaire que vous trouverez sur le RIB RelevĂ© d’IdentitĂ© Bancaire dĂ©livrĂ© par sa banque identifiant et le nom de la banque. A voir aussi Comment sortir un relevĂ© de compte ? numĂ©ro de compte Ă  crĂ©diter IBAN Comment ajouter un nouveau bĂ©nĂ©ficiaire Ă  son compte ? A voir aussi Comment obtenir un logement en Algerie ? se connecter au site de la Banque Postale ; se connecter Ă  l’espace client de l’interface ; complĂ©ter l’ensemble des informations relatives au bĂ©nĂ©ficiaire ; finaliser l’ajout par un code d’activation. Comment ajouter un bĂ©nĂ©ficiaire ? Comment ajouter un bĂ©nĂ©ficiaire ? Lire aussi defichage banque de france combien de temps. dans la rubrique Virements et Services », puis Virements », et sĂ©lectionnez Ajouter un bĂ©nĂ©ficiaire », saisissez le nom et le prĂ©nom, l’IBAN pour les bĂ©nĂ©ficiaires en France ou Ă  Monaco ou le BIC pour les bĂ©nĂ©ficiaires internationaux, puis l’adresse postale, Quelle somme maximum Peut-on virer ? Les virements permanents ne peuvent dĂ©passer les 3 100 euros; La SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale le montant maximum d’un virement bancaire est de 4 000 euros; Le CrĂ©dit Agricole 3 000 euros maximum par virement; LCL 5 000 euros maximum par opĂ©ration et par jour pour les virements bancaires; un. Lire aussi Comment faire un virement bancaire en ligne avec le CrĂ©dit Agricole ? Comment faire un virement sur un compte extĂ©rieur ? Le virement externe SEPA Toujours depuis son espace client, l’utilisateur doit cliquer sur ajouter un bĂ©nĂ©ficiaire ». Il doit se munir du RIB ou de l’IBAN du destinataire. A voir aussi Est-il plus avantageux d’acheter une maison ou un appartement ? Si le RIB est suffisant pour un virement domestique, l’IBAN sera nĂ©cessaire pour un virement SEPA. Pour effectuer un virement en quelques secondes. Lire aussi 6 conseils pour consulter mon compte crĂ©dit agricole sur internet. Le virement instantanĂ© est disponible sur votre Espace Client Internet et sur votre application mobile La Banque Postale. Qu’est-ce qu’un virement instantanĂ© ? Le virement instantanĂ© est le seul Ă  permettre de transfĂ©rer de l’argent au bĂ©nĂ©ficiaire en 10 secondes, 24h/24, 7j/7 et tous les jours de l’annĂ©e, afin qu’il puisse en disposer immĂ©diatement. Sur le mĂȘme sujet Quel apport pour emprunter 100 000 euros ? Qu’est-ce qu’un virement SEPA instantanĂ© ? Le virement SEPA instantanĂ©, aussi appelĂ© instant payment », permet de rĂ©aliser des virements bancaires en temps rĂ©el entre comptes bancaires ouverts dans l’espace europĂ©en SEPA. A voir aussi Quelle est la rĂ©gion la moins chĂšre de France en immobilier ? Depuis novembre 2017, les banques sont habilitĂ©es Ă  proposer aux particuliers et aux entreprises des virements SEPA instantanĂ©s. Comment faire un virement instantanĂ© SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale ? Vous pouvez effectuer un virement instantanĂ© directement depuis votre espace client en choisissant “Virements ponctuels” dans le menu principal et en choisissant “virement instantanĂ©â€ au lieu de “virement classique”. Les frais par virement instantanĂ© Ă©mis s’élĂšvent Ă  0,80€, dĂšs le 1er €. Voir l'article Est-ce que je peux mettre un chĂšque dans une autre agence ? NotremodĂšle de plan d’affaires est conçu pour vous permettre de prĂ©parer vous-mĂȘme un plan professionnel pour votre entreprise. Contenu de la trousse: ModĂšle en blanc dont vous pouvez vous servir pour crĂ©er votre propre plan d’affaires professionnel. Avec un guide, comprenant un glossaire, conçu pour vous aider en cours de route.
Les formalitĂ©s et les dĂ©marches administratives Ă  Linas Comment crĂ©er une sociĂ©tĂ© ?Question-rĂ©ponse L'entrepreneur qui souhaite crĂ©er une entreprise doit choisir son statut juridique. 2 grandes catĂ©gories se distinguent l'entreprise individuelle ou la sociĂ©tĂ©. Ce choix est dĂ©terminant pour les formalitĂ©s de dĂ©claration, son statut juridique personnel, mais aussi en matiĂšre fiscale, administrative ou sociale. CrĂ©er une sociĂ©tĂ© consiste Ă  donner naissance Ă  une nouvelle personne appelĂ©e personne morale juridiquement distincte du crĂ©ateur ou des associĂ©s fondateurs. Statuts juridiques d'une sociĂ©tĂ© Statut juridique CaractĂ©ristiques Qui peut l'utiliser ? SociĂ©tĂ© en nom collectif SNC SociĂ©tĂ© dans laquelle les associĂ©s minimum 2 sont commerçants et sont responsables solidairement des dettes de la sociĂ©tĂ©. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens SociĂ©tĂ© anonyme SA SociĂ©tĂ© de capitaux 2 associĂ©s au minimum, dont la participation des actionnaires est fondĂ©e sur les capitaux qu'ils ont investis dans l'entreprise. La sociĂ©tĂ© peut ĂȘtre dirigĂ©e par un conseil d'administration avec un prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral PDG ou par un conseil de surveillance avec un directoire. Artisan, commerçant, industriel SociĂ©tĂ© coopĂ©rative de production SCOP SociĂ©tĂ© pouvant prendre la forme d'une SA, SARL ou d'une SAS. Les associĂ©s sont obligatoirement majoritaires, possĂ©dant au moins 51 % du capital social. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale architectes, gĂ©omĂštres-experts par exemple SociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e SARL SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun des associĂ©s entre 2 et 100 n'est en principe responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens Entreprise unipersonnelle Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e EURL SociĂ©tĂ© composĂ©e d'un associĂ© unique. Il n'est responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e SELARL SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une SARL Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral Ă  forme anonyme SELAFA SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une sociĂ©tĂ© anonyme Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e SAS SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun des associĂ©s au minimum 2, sans maximum est responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Sans capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ© SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral par actions simplifiĂ©e SELAS SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une sociĂ©tĂ© par action simplifiĂ©e SAS Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© civile professionnelle SCP SociĂ©tĂ© permettant Ă  plusieurs membres d'une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e d'exercer en commun leur activitĂ©, mĂȘme si chaque associĂ© reste personnellement imposĂ© sur sa part de bĂ©nĂ©fices. Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sauf orthophonistes, orthoptistes, pĂ©dicures podologues, pharmaciens, sages-femmes, agents gĂ©nĂ©raux d’assurances, experts comptables, diĂ©tĂ©ticiens, psychologues SociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e unipersonnelle SASU SociĂ©tĂ© Ă  un seul associĂ© reprenant les caractĂšres d'une SAS. Sans capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ© Il faut donner un nom Ă  la sociĂ©tĂ©. Ce nom est aussi appelĂ© une dĂ©nomination sociale ou encore une raison sociale. Il identifie la sociĂ©tĂ© en tant que personne morale. Il fait souvent rĂ©fĂ©rence Ă  l'activitĂ© exercĂ©e. La propriĂ©tĂ© sur le nom de votre sociĂ©tĂ© s'acquiert au moment oĂč vous faites son immatriculation. Le siĂšge social correspond Ă  l'adresse de la sociĂ©tĂ©. C'est l'adresse oĂč tous les documents liĂ©s Ă  l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ© sont envoyĂ©s. C'est le lieu de sa direction effective. Il peut ĂȘtre diffĂ©rent du lieu d'exploitation ou de production. Il faut prouver que les locaux du siĂšge social sont occupĂ©s rĂ©guliĂšrement pour l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ© par tout moyen copie du bail commercial, quittance EDF ou facture de tĂ©lĂ©phone rĂ©centes. Le lieu du siĂšge social est fixĂ© dans les statuts au moment de sa crĂ©ation et peut ĂȘtre dĂ©placĂ© au cours de la vie de la sociĂ©tĂ©. Sans domiciliation de l'entreprise, l'immatriculation auprĂšs du CFE est refusĂ©e. L'adresse doit figurer sur les documents commerciaux devis, factures notamment. Tout changement d'adresse, considĂ©rĂ© comme un transfert de siĂšge social, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ© au centre de formalitĂ©s des entreprises CFE. À noteril faut identifier une boĂźte aux lettres au nom de la sociĂ©tĂ©. Cela permet de recevoir les documents du CFE. Lorsqu'une sociĂ©tĂ© est créée, il est important de nommer un ou plusieurs dirigeants pour qu'ils reprĂ©sentent la sociĂ©tĂ©. Cette nomination peut ĂȘtre faite au moment de la rĂ©daction des statuts ou dans un acte passĂ© sĂ©parĂ©ment avant la rĂ©daction des statuts. Le dirigeant aura un nom et des pouvoirs diffĂ©rents selon le type de sociĂ©tĂ© qui est créée. Si la sociĂ©tĂ© exerce une activitĂ© rĂ©glementĂ©e par exemple restaurant, agence immobiliĂšre, salon de coiffure, elle est soumise Ă  l'accomplissement de certaines formalitĂ©s prĂ©alables. Il s'agit par exemple d'une demande d'autorisation auprĂšs de la mairie de la ville oĂč l'Ă©tablissement est situĂ© ou encore d'une demande d'agrĂ©ment. Le capital social de la sociĂ©tĂ© est composĂ© des apports en argent effectuĂ©s par les actionnaires ou les associĂ©s de la sociĂ©tĂ©. La valeur des biens qui appartiennent Ă  la sociĂ©tĂ©, tels que le fonds de commerce, les bĂątiments, les marques, est Ă©galement prise en compte. Il existe 3 types d'apports Apports en numĂ©raire c'est-Ă -dire de l'argent Apports en nature immeubles, machines... Apports en industrie savoir-faire, expĂ©rience, relations qu'une personne met au service de la sociĂ©tĂ© Seuls les apports en numĂ©raire et en nature composent le capital social de la sociĂ©tĂ©. Lorsque des apports en nature sont faits, la crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© nĂ©cessite de faire intervenir un commissaire aux apports, dont le rĂŽle est d'Ă©valuer les biens apportĂ©s au capital de la sociĂ©tĂ©. Le dĂ©pĂŽt de capital social doit ĂȘtre effectuĂ© lors de la constitution d'une sociĂ©tĂ©. Ce dĂ©pĂŽt est en gĂ©nĂ©ral effectuĂ© sur un compte bancaire professionnel ouvert pour l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ©. L'une des Ă©tapes incontournables lors de la crĂ©ation de votre entreprise est la rĂ©daction des statuts. Il s'agit de toutes les rĂšgles sociales, fiscales et juridiques de votre sociĂ©tĂ©. Cette Ă©tape intervient entre la fixation du montant du capital social et le dĂ©pĂŽt du capital social. C'est lors de la signature des statuts que la sociĂ©tĂ© est constituĂ©e. Toute sociĂ©tĂ© qui est immatriculĂ©e au RCS, Ă  l'exception des sociĂ©tĂ©s cotĂ©es en bourse, doit faire une dĂ©claration de bĂ©nĂ©ficiaires effectifs DBE. La DBE permet d'identifier quelle est la personne physique qui contrĂŽle la sociĂ©tĂ©. Un bĂ©nĂ©ficiaire effectif est une personne qui dĂ©tient plus de 25 % du capital, ou plus de 25 % des droits de vote de la sociĂ©tĂ©. DĂ©claration relative au bĂ©nĂ©ficiaire effectif d'une sociĂ©tĂ© DBE Cerfa 16062*02 AccĂ©der au formulaire MinistĂšre chargĂ© des finances Elle doit ĂȘtre transmise au greffe du tribunal de commerce dont l'entreprise dĂ©pend Tribunal de commerce d'Evry 1 rue de la Patinoire91011 EVRY CEDEX TĂ©l. 01 69 47 36 50 Fax. 01 69 47 36 66 Horaires d'ouverture Informations complĂ©mentaires Avant l'immatriculation, il faut publier un avis de constitution de la sociĂ©tĂ© ou avis de crĂ©ation. Il faut effectuer cette publication dans un support habilitĂ© Ă  recevoir des annonces lĂ©gales SHAL ou JAL. Le coĂ»t de la publication dĂ©pend du type de sociĂ©tĂ© qui est créée. Il faut demander une attestation de parution, dĂ©livrĂ©e par le SHAL, puis la transmettre au CFE dont dĂ©pend l'entreprise au moment de l'immatriculation. Il faut dĂ©clarer l'existence de votre sociĂ©tĂ©. Cette dĂ©claration d'existence est aussi appelĂ©e immatriculation. Une fois l'immatriculation effectuĂ©e, vous obtenez les Ă©lĂ©ments d'identification suivants 2 numĂ©ros uniques d'identification Le Siren identifie votre sociĂ©tĂ©. Vous utiliserez dans toutes vos relations avec les administrations, les clients, etc.. Le Siret identifie l'Ă©tablissement oĂč l'activitĂ© est exercĂ©e. Un code d'activitĂ© APE activitĂ© principale exercĂ©e Une fois que l'enregistrement de la sociĂ©tĂ© auprĂšs d'un CFE est fait, il est important de procurer un certain nombre de registres comptables, liĂ©s aux salariĂ©s ou encore Ă  la sĂ©curitĂ©. Ces registres sont pour la plupart obligatoires et dĂ©pendent du type de sociĂ©tĂ© qui a Ă©tĂ© créée. Selon le registre, il peut ĂȘtre sous forme papier ou sous forme Ă©lectronique. Selon l'activitĂ© exercĂ©e par la sociĂ©tĂ©, elle peut ĂȘtre soumise Ă  une obligation de souscrire certaines assurances. C'est aussi le cas si elle embauche des salariĂ©s ou si elle dĂ©tient des vĂ©hicules. MĂȘme si la sociĂ©tĂ© n'est pas soumise Ă  l'obligation de s'assurer, prendre des assurances est fortement conseillĂ© et peut s'avĂ©rer utile Ă  l'avenir. Par exemple, s'assurer les biens de la sociĂ©tĂ© contre des dĂ©gĂąts des eaux, incendies. Voir aussi CrĂ©ation d'une entreprise se faire connaĂźtre Ă  La Poste et souscrire des abonnements internet, tĂ©lĂ©phonie, Ă©lectricitĂ© CrĂ©er une entreprise vĂ©rifier si l'activitĂ© envisagĂ©e est rĂ©glementĂ©e CrĂ©ation d'entreprise formalitĂ©s d'immatriculation d'une entreprise CrĂ©ation d'une entreprise mettre en place les registres obligatoires Publication de la crĂ©ation d'une sociĂ©tĂ© dans un journal d'annonces lĂ©gales Jal CrĂ©ation d'une entreprise ouvrir un compte bancaire professionnel Nomination du dirigeant d'une sociĂ©tĂ© Modification des statuts de la sociĂ©tĂ© Question ? RĂ©ponse ! Comment obtenir un numĂ©ro Siren ou Siret ? À quoi correspond le code APE ? Quels sont les numĂ©ros d'identification d'une entreprise ? Quels sont les dĂ©lais de conservation des documents pour les entreprises ? La dĂ©signation d'un commissaire aux comptes est-elle obligatoire ? Publication dans un journal d'annonces lĂ©gales JAL comment faire ? Services en ligne et formulaires DĂ©claration relative au bĂ©nĂ©ficiaire effectif d'une sociĂ©tĂ© DBE MinistĂšre chargĂ© des finances CERFA 16062*02 Demande d'agrĂ©ment d'assistance en escale Direction gĂ©nĂ©rale de l'aviation civile DGAC Portail de la publicitĂ© lĂ©gale des entreprises PPLE Groupement d'intĂ©rĂȘt public GIP-PPLE Consultation du Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales Bodacc Direction de l'information lĂ©gale et administrative Dila - Premier ministre Immatriculation au greffe du tribunal de commerce Infogreffe Demande d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© et autre personne morale M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de crĂ©ation d'une sociĂ©tĂ© ou autre personne morale M0 Notice annexe - RGPD Intercalaire Justification de qualification professionnelle artisanale CERFA 13959*08 Demande d'immatriculation d'une SARL M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de constitution d'une SARL M0 Notice annexe - RGPD Guide pratique fiscal pour la dĂ©claration de crĂ©ation d'entreprise BIC/BNC Intercalaire M0' suite de l'imprimĂ© M0 Justification de qualification professionnelle artisanale JQPA - ex-AQPA Toute personne physique ou morale qui dĂ©clare une activitĂ© artisanale, soumise Ă  l'obligation d'immatriculation au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, doit attester de sa qualification, soit en mentionnant l'intitulĂ© du diplĂŽme ou du titre dont elle est titulaire, soit en justifiant de son expĂ©rience professionnelle, soit en recrutant un salariĂ© qualifiĂ© pour assurer le contrĂŽle effectif et permanent de l'activitĂ© copie du contrat de travail. CERFA 11680*10 DĂ©claration d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© civile M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© civile Notice annexe - RGPD Intercalaire CERFA 13958*05 DĂ©claration de crĂ©ation d'une entreprise agricole - Personne morale M0 agricole MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - Information fiscale des crĂ©ateurs d'exploitations agricoles Notice - CrĂ©ation d'une entreprise agricole - Personne morale M0 agricole Intercalaire - suite de l'imprimĂ© M0 agricole CERFA 11927*07 DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale M2 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale Notice annexe - RGPD Intercalaire - Suite des imprimĂ©s M2, M2 agricole, M4, M4 agricole CERFA 11682*07 DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale M3 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification M3 Notice annexe - RGPD CERFA 11683*04 DĂ©claration de modification d'une entreprise agricole - Personne morale M2 agricole MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification d'une entreprise agricole - Personne morale M2 agricole Notice annexe - RGPD Intercalaire - Suite des imprimĂ©s M2, M2 agricole, M4, M4 agricole CERFA 11928*07 ModĂšle de statuts d'une SARL Bpifrance CrĂ©ation DĂ©claration relative Ă  une association MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration relative Ă  une association Notice annexe - RGPD CERFA 15909*02 Pour en savoir plus Objectif entreprise guide de la crĂ©ation d'entrepriseUrssaf Foire aux questions de la crĂ©ation d'entrepriseBpifrance CrĂ©ation Choisir un statut juridique pour l'entrepriseBpifrance CrĂ©ation Statut fiscal des principales formes d'entreprisesMinistĂšre chargĂ© des finances Les diffĂ©rents statuts comparĂ©sBpifrance CrĂ©ation Guide des formalitĂ©s d'immatriculationInfogreffe SchĂ©mas pour identifier les bĂ©nĂ©ficiaires effectifsInfogreffe RĂ©fĂ©rences Code monĂ©taire et financier articles L561-2 Ă  L561-4Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme Code monĂ©taire et financier article L561-45-1 Ă  L561-50Informations sur les bĂ©nĂ©ficiaires effectifs Code de commerce articles L221-1 Ă  L225-270 Code de commerce article L225-1Nombre associĂ©s SA Code de commerce articles R123-1 Ă  R123-30 DĂ©cret n° 2017-630 du 25 avril 2017 relatif Ă  la simplification du droit des sociĂ©tĂ©s et au statut de l'entrepreneur individuel Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts articles 635 Ă  637Enregistrement des statuts d'une sociĂ©tĂ© au service des impĂŽts ModifiĂ© le 04/02/2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministre Linas en 1 clic ! 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Tout savoir sur l'Ă©conomie sociale et solidaire Qu'est-ce que l'Ă©conomie sociale et solidaire ? Pourquoi adhĂ©rer Ă  l'Ă©conomie sociale et solidaire ? Comment adhĂ©rer Ă  l'Ă©conomie sociale et solidaire ? Modifiez les statuts de votre entreprise Signalez votre adhĂ©sion au centre de formalitĂ©s des entreprises CFE Qu’est-ce que l’économie sociale et solidaire ? Les structures de l'Ă©conomie sociale et solidaire ESS peuvent prendre des formes juridiques diffĂ©rentes. NĂ©anmoins, leurs valeurs restent les mĂȘmes la solidaritĂ© et l'utilitĂ© sociale. Elles sont caractĂ©risĂ©es par un mode de fonctionnement dĂ©mocratique et une utilisation des bĂ©nĂ©fices pour le maintien ou le dĂ©veloppement de la structure, plutĂŽt que l'enrichissement personnel. Le cadre juridique de ces structures a Ă©tĂ© renforcĂ© et Ă©tendu avec la loi du 31 juillet 2014, en permettant aux sociĂ©tĂ©s commerciales de revendiquer leur appartenance Ă  l’ESS. AdhĂ©rer Ă  l’économie sociale et solidaire quels avantages ? En adhĂ©rant Ă  l’ESS, vous inscrivez votre entreprise dans une dĂ©marche citoyenne, qualitĂ© que vous pouvez valoriser dans votre communication auprĂšs de vos clients, qu’il s’agisse d’acteurs privĂ©s ou publics. AdhĂ©rer Ă  l’ESS est aussi l’opportunitĂ© de se dĂ©marquer lors de vos recrutements, en sĂ©duisant des professionnels soucieux de l’impact de leur activitĂ© sur la sociĂ©tĂ©. Par ailleurs, intĂ©grer l’ESS donne accĂšs Ă  des financements spĂ©cifiques, au niveau rĂ©gional et national, que le site internet de bpifrance rĂ©pertorie Aides et financement des structures ESS Enfin, vous pouvez intensifier votre engagement en obtenant l’agrĂ©ment Entreprise solidaire d’utilitĂ© sociale » ESUS qui permet notamment Ă  vos investisseurs de bĂ©nĂ©ficier de rĂ©duction d’impĂŽt dans le cadre du financement de votre structure. En savoir plus sur l'agrĂ©ment ESUS Quelles dĂ©marches effectuer pour inscrire son entreprise dans le champ de l’économie sociale et solidaire ? Modifiez les statuts de votre entreprise Faire adhĂ©rer votre entreprise aux principes de l’économie sociale et solidaire a des consĂ©quences sur son mode de fonctionnement. Aussi, cette adhĂ©sion transparaĂźt dans ses statuts qui participent Ă  dĂ©finir ses moyens de fonctionnement. Votre adhĂ©sion a des consĂ©quences sur trois Ă©lĂ©ments constitutifs des statuts de votre sociĂ©tĂ© son objet social son activitĂ© doit avoir comme but d’apporter du soutien Ă  des personnes en situation de fragilitĂ© et/ou contribuer au dĂ©veloppement du lien social et/ou contribuer Ă  l’éducation Ă  la citoyennetĂ© et/ou de concourir au dĂ©veloppement durable, Ă  la transition Ă©nergĂ©tique, Ă  la promotion culturelle ou Ă  la solidaritĂ© internationale son mode de gouvernance sa gouvernance doit ĂȘtre dĂ©mocratique en prĂ©voyant notamment l’information et la participation des associĂ©s et des salariĂ©s sa gestion financiĂšre ses bĂ©nĂ©fices doivent ĂȘtre consacrĂ©s au maintien ou au dĂ©veloppement de l’entreprise et ses rĂ©serves obligatoires sont non distribuables. À savoir Pour devenir une entreprise de l’économie sociale et solidaire, la forme juridique de votre sociĂ©tĂ© n’entre pas en compte. Ainsi, une sociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ© SARL comme une sociĂ©tĂ© anonyme SA peuvent devenir une entreprise de l’ESS. En 2017, 61% des sociĂ©tĂ©s commerciales de l’ESS Ă©taient des sociĂ©tĂ©s par actions simplifiĂ©es SAS*. Source Observatoire nationale de l’ESS – Conseil national des Chambres rĂ©gionales de l'Ă©conomie sociale et solidaire d’aprĂšs INSEE SIRENE 2017 DĂ©clarez votre adhĂ©sion Ă  l'ESS au centre de formalitĂ© des entreprises CFE Une sociĂ©tĂ© commerciale peut adhĂ©rer aux principes de l’ESS dĂšs sa crĂ©ation ou Ă  tout moment de son existence si vous crĂ©ez votre entreprise, vous devez cocher la case adhĂ©sion de la sociĂ©tĂ© aux principes de l’économie sociale et solidaire ESS » au sein du cerfa utilisĂ© pour immatriculer votre sociĂ©tĂ© au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s RCS si votre entreprise est dĂ©jĂ  créée, vous devez cocher la case adhĂ©sion de la sociĂ©tĂ© aux principes de l’économie sociale et solidaire ESS » au sein du cerfa n°11682*04 Ă  adresser Ă  votre centre de formalitĂ©s des entreprises.

DerriĂšreles guichets des banques, se cache le mystĂšre de la transformation de dĂ©pĂŽts Ă  court terme en crĂ©dits Ă  long terme et de la crĂ©ation monĂ©taire. Comment peut-on crĂ©er de la monnaie « ex nihilo » et, quitte Ă  en crĂ©er, pourquoi ne pas en crĂ©er sans limites ? Tout aussi mystĂ©rieux est le fonctionnement des marchĂ©s financiers et les rĂŽles que les banques sont Guide des droits et des dĂ©marches administratives Comment crĂ©er une sociĂ©tĂ© ?Question-rĂ©ponse L'entrepreneur qui souhaite crĂ©er une entreprise doit choisir son statut juridique. 2 grandes catĂ©gories se distinguent l'entreprise individuelle ou la sociĂ©tĂ©. Ce choix est dĂ©terminant pour les formalitĂ©s de dĂ©claration, son statut juridique personnel, mais aussi en matiĂšre fiscale, administrative ou sociale. CrĂ©er une sociĂ©tĂ© consiste Ă  donner naissance Ă  une nouvelle personne appelĂ©e personne morale juridiquement distincte du crĂ©ateur ou des associĂ©s fondateurs. Statuts juridiques d'une sociĂ©tĂ© Statut juridique CaractĂ©ristiques Qui peut l'utiliser ? SociĂ©tĂ© en nom collectif SNC SociĂ©tĂ© dans laquelle les associĂ©s minimum 2 sont commerçants et sont responsables solidairement des dettes de la sociĂ©tĂ©. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens SociĂ©tĂ© anonyme SA SociĂ©tĂ© de capitaux 2 associĂ©s au minimum, dont la participation des actionnaires est fondĂ©e sur les capitaux qu'ils ont investis dans l'entreprise. La sociĂ©tĂ© peut ĂȘtre dirigĂ©e par un conseil d'administration avec un prĂ©sident-directeur gĂ©nĂ©ral PDG ou par un conseil de surveillance avec un directoire. Artisan, commerçant, industriel SociĂ©tĂ© coopĂ©rative de production SCOP SociĂ©tĂ© pouvant prendre la forme d'une SA, SARL ou d'une SAS. Les associĂ©s sont obligatoirement majoritaires, possĂ©dant au moins 51 % du capital social. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale architectes, gĂ©omĂštres-experts par exemple SociĂ©tĂ© Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e SARL SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun des associĂ©s entre 2 et 100 n'est en principe responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens Entreprise unipersonnelle Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e EURL SociĂ©tĂ© composĂ©e d'un associĂ© unique. Il n'est responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Aucun capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ©, Ă  l'exception des pharmaciens SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e SELARL SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une SARL Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral Ă  forme anonyme SELAFA SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une sociĂ©tĂ© anonyme Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e SAS SociĂ©tĂ© dans laquelle chacun des associĂ©s au minimum 2, sans maximum est responsable des dettes de la sociĂ©tĂ© qu'Ă  hauteur de ses apports personnels. Sans capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ© SociĂ©tĂ© d'exercice libĂ©ral par actions simplifiĂ©e SELAS SociĂ©tĂ© permettant d'exercer une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sous la forme d'une sociĂ©tĂ© par action simplifiĂ©e SAS Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e SociĂ©tĂ© civile professionnelle SCP SociĂ©tĂ© permettant Ă  plusieurs membres d'une profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e d'exercer en commun leur activitĂ©, mĂȘme si chaque associĂ© reste personnellement imposĂ© sur sa part de bĂ©nĂ©fices. Profession libĂ©rale rĂ©glementĂ©e sauf orthophonistes, orthoptistes, pĂ©dicures podologues, pharmaciens, sages-femmes, agents gĂ©nĂ©raux d’assurances, experts comptables, diĂ©tĂ©ticiens, psychologues SociĂ©tĂ© par actions simplifiĂ©e unipersonnelle SASU SociĂ©tĂ© Ă  un seul associĂ© reprenant les caractĂšres d'une SAS. Sans capital minimum. Artisan, commerçant, industriel, profession libĂ©rale mais pas les professions juridiques, judiciaires ou de santĂ© Il faut donner un nom Ă  la sociĂ©tĂ©. Ce nom est aussi appelĂ© une dĂ©nomination sociale ou encore une raison sociale. Il identifie la sociĂ©tĂ© en tant que personne morale. Il fait souvent rĂ©fĂ©rence Ă  l'activitĂ© exercĂ©e. La propriĂ©tĂ© sur le nom de votre sociĂ©tĂ© s'acquiert au moment oĂč vous faites son immatriculation. Le siĂšge social correspond Ă  l'adresse de la sociĂ©tĂ©. C'est l'adresse oĂč tous les documents liĂ©s Ă  l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ© sont envoyĂ©s. C'est le lieu de sa direction effective. Il peut ĂȘtre diffĂ©rent du lieu d'exploitation ou de production. Il faut prouver que les locaux du siĂšge social sont occupĂ©s rĂ©guliĂšrement pour l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ© par tout moyen copie du bail commercial, quittance EDF ou facture de tĂ©lĂ©phone rĂ©centes. Le lieu du siĂšge social est fixĂ© dans les statuts au moment de sa crĂ©ation et peut ĂȘtre dĂ©placĂ© au cours de la vie de la sociĂ©tĂ©. Sans domiciliation de l'entreprise, l'immatriculation auprĂšs du CFE est refusĂ©e. L'adresse doit figurer sur les documents commerciaux devis, factures notamment. Tout changement d'adresse, considĂ©rĂ© comme un transfert de siĂšge social, doit ĂȘtre dĂ©clarĂ© au centre de formalitĂ©s des entreprises CFE. À noteril faut identifier une boĂźte aux lettres au nom de la sociĂ©tĂ©. Cela permet de recevoir les documents du CFE. Lorsqu'une sociĂ©tĂ© est créée, il est important de nommer un ou plusieurs dirigeants pour qu'ils reprĂ©sentent la sociĂ©tĂ©. Cette nomination peut ĂȘtre faite au moment de la rĂ©daction des statuts ou dans un acte passĂ© sĂ©parĂ©ment avant la rĂ©daction des statuts. Le dirigeant aura un nom et des pouvoirs diffĂ©rents selon le type de sociĂ©tĂ© qui est créée. Si la sociĂ©tĂ© exerce une activitĂ© rĂ©glementĂ©e par exemple restaurant, agence immobiliĂšre, salon de coiffure, elle est soumise Ă  l'accomplissement de certaines formalitĂ©s prĂ©alables. Il s'agit par exemple d'une demande d'autorisation auprĂšs de la mairie de la ville oĂč l'Ă©tablissement est situĂ© ou encore d'une demande d'agrĂ©ment. Le capital social de la sociĂ©tĂ© est composĂ© des apports en argent effectuĂ©s par les actionnaires ou les associĂ©s de la sociĂ©tĂ©. La valeur des biens qui appartiennent Ă  la sociĂ©tĂ©, tels que le fonds de commerce, les bĂątiments, les marques, est Ă©galement prise en compte. Il existe 3 types d'apports Apports en numĂ©raire c'est-Ă -dire de l'argent Apports en nature immeubles, machines... Apports en industrie savoir-faire, expĂ©rience, relations qu'une personne met au service de la sociĂ©tĂ© Seuls les apports en numĂ©raire et en nature composent le capital social de la sociĂ©tĂ©. Lorsque des apports en nature sont faits, la crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© nĂ©cessite de faire intervenir un commissaire aux apports, dont le rĂŽle est d'Ă©valuer les biens apportĂ©s au capital de la sociĂ©tĂ©. Le dĂ©pĂŽt de capital social doit ĂȘtre effectuĂ© lors de la constitution d'une sociĂ©tĂ©. Ce dĂ©pĂŽt est en gĂ©nĂ©ral effectuĂ© sur un compte bancaire professionnel ouvert pour l'activitĂ© de la sociĂ©tĂ©. L'une des Ă©tapes incontournables lors de la crĂ©ation de votre entreprise est la rĂ©daction des statuts. Il s'agit de toutes les rĂšgles sociales, fiscales et juridiques de votre sociĂ©tĂ©. Cette Ă©tape intervient entre la fixation du montant du capital social et le dĂ©pĂŽt du capital social. C'est lors de la signature des statuts que la sociĂ©tĂ© est constituĂ©e. Toute sociĂ©tĂ© qui est immatriculĂ©e au RCS, Ă  l'exception des sociĂ©tĂ©s cotĂ©es en bourse, doit faire une dĂ©claration de bĂ©nĂ©ficiaires effectifs DBE. La DBE permet d'identifier quelle est la personne physique qui contrĂŽle la sociĂ©tĂ©. Un bĂ©nĂ©ficiaire effectif est une personne qui dĂ©tient plus de 25 % du capital, ou plus de 25 % des droits de vote de la sociĂ©tĂ©. DĂ©claration relative au bĂ©nĂ©ficiaire effectif d'une sociĂ©tĂ© DBE Cerfa 16062*02 AccĂ©der au formulaire MinistĂšre chargĂ© des finances Elle doit ĂȘtre transmise au greffe du tribunal de commerce dont l'entreprise dĂ©pend Tribunal de commerce de Limoges 23 place Winston Churchill87000 LIMOGES TĂ©l. 05 55 34 60 75 Horaires d'ouverture Informations complĂ©mentaires Avant l'immatriculation, il faut publier un avis de constitution de la sociĂ©tĂ© ou avis de crĂ©ation. Il faut effectuer cette publication dans un support habilitĂ© Ă  recevoir des annonces lĂ©gales SHAL ou JAL. Le coĂ»t de la publication dĂ©pend du type de sociĂ©tĂ© qui est créée. Il faut demander une attestation de parution, dĂ©livrĂ©e par le SHAL, puis la transmettre au CFE dont dĂ©pend l'entreprise au moment de l'immatriculation. Il faut dĂ©clarer l'existence de votre sociĂ©tĂ©. Cette dĂ©claration d'existence est aussi appelĂ©e immatriculation. Une fois l'immatriculation effectuĂ©e, vous obtenez les Ă©lĂ©ments d'identification suivants 2 numĂ©ros uniques d'identification Le Siren identifie votre sociĂ©tĂ©. Vous utiliserez dans toutes vos relations avec les administrations, les clients, etc.. Le Siret identifie l'Ă©tablissement oĂč l'activitĂ© est exercĂ©e. Un code d'activitĂ© APE activitĂ© principale exercĂ©e Une fois que l'enregistrement de la sociĂ©tĂ© auprĂšs d'un CFE est fait, il est important de procurer un certain nombre de registres comptables, liĂ©s aux salariĂ©s ou encore Ă  la sĂ©curitĂ©. Ces registres sont pour la plupart obligatoires et dĂ©pendent du type de sociĂ©tĂ© qui a Ă©tĂ© créée. Selon le registre, il peut ĂȘtre sous forme papier ou sous forme Ă©lectronique. Selon l'activitĂ© exercĂ©e par la sociĂ©tĂ©, elle peut ĂȘtre soumise Ă  une obligation de souscrire certaines assurances. C'est aussi le cas si elle embauche des salariĂ©s ou si elle dĂ©tient des vĂ©hicules. MĂȘme si la sociĂ©tĂ© n'est pas soumise Ă  l'obligation de s'assurer, prendre des assurances est fortement conseillĂ© et peut s'avĂ©rer utile Ă  l'avenir. Par exemple, s'assurer les biens de la sociĂ©tĂ© contre des dĂ©gĂąts des eaux, incendies. Voir aussi CrĂ©ation d'une entreprise se faire connaĂźtre Ă  La Poste et souscrire des abonnements internet, tĂ©lĂ©phonie, Ă©lectricitĂ© CrĂ©er une entreprise vĂ©rifier si l'activitĂ© envisagĂ©e est rĂ©glementĂ©e CrĂ©ation d'entreprise formalitĂ©s d'immatriculation d'une entreprise CrĂ©ation d'une entreprise mettre en place les registres obligatoires Publication de la crĂ©ation d'une sociĂ©tĂ© dans un journal d'annonces lĂ©gales Jal CrĂ©ation d'une entreprise ouvrir un compte bancaire professionnel Nomination du dirigeant d'une sociĂ©tĂ© Modification des statuts de la sociĂ©tĂ© Question ? RĂ©ponse ! Comment obtenir un numĂ©ro Siren ou Siret ? À quoi correspond le code APE ? Quels sont les numĂ©ros d'identification d'une entreprise ? Quels sont les dĂ©lais de conservation des documents pour les entreprises ? La dĂ©signation d'un commissaire aux comptes est-elle obligatoire ? Publication dans un journal d'annonces lĂ©gales JAL comment faire ? Services en ligne et formulaires DĂ©claration relative au bĂ©nĂ©ficiaire effectif d'une sociĂ©tĂ© DBE MinistĂšre chargĂ© des finances CERFA 16062*02 Demande d'agrĂ©ment d'assistance en escale Direction gĂ©nĂ©rale de l'aviation civile DGAC Portail de la publicitĂ© lĂ©gale des entreprises PPLE Groupement d'intĂ©rĂȘt public GIP-PPLE Consultation du Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales Bodacc Direction de l'information lĂ©gale et administrative Dila - Premier ministre Immatriculation au greffe du tribunal de commerce Infogreffe Demande d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© et autre personne morale M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de crĂ©ation d'une sociĂ©tĂ© ou autre personne morale M0 Notice annexe - RGPD Intercalaire Justification de qualification professionnelle artisanale CERFA 13959*08 Demande d'immatriculation d'une SARL M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de constitution d'une SARL M0 Notice annexe - RGPD Guide pratique fiscal pour la dĂ©claration de crĂ©ation d'entreprise BIC/BNC Intercalaire M0' suite de l'imprimĂ© M0 Justification de qualification professionnelle artisanale JQPA - ex-AQPA Toute personne physique ou morale qui dĂ©clare une activitĂ© artisanale, soumise Ă  l'obligation d'immatriculation au rĂ©pertoire des mĂ©tiers, doit attester de sa qualification, soit en mentionnant l'intitulĂ© du diplĂŽme ou du titre dont elle est titulaire, soit en justifiant de son expĂ©rience professionnelle, soit en recrutant un salariĂ© qualifiĂ© pour assurer le contrĂŽle effectif et permanent de l'activitĂ© copie du contrat de travail. CERFA 11680*10 DĂ©claration d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© civile M0 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration d'immatriculation d'une sociĂ©tĂ© civile Notice annexe - RGPD Intercalaire CERFA 13958*05 DĂ©claration de crĂ©ation d'une entreprise agricole - Personne morale M0 agricole MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - Information fiscale des crĂ©ateurs d'exploitations agricoles Notice - CrĂ©ation d'une entreprise agricole - Personne morale M0 agricole Intercalaire - suite de l'imprimĂ© M0 agricole CERFA 11927*07 DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale M2 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale Notice annexe - RGPD Intercalaire - Suite des imprimĂ©s M2, M2 agricole, M4, M4 agricole CERFA 11682*07 DĂ©claration de modification d'une entreprise - Personne morale M3 MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification M3 Notice annexe - RGPD CERFA 11683*04 DĂ©claration de modification d'une entreprise agricole - Personne morale M2 agricole MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration de modification d'une entreprise agricole - Personne morale M2 agricole Notice annexe - RGPD Intercalaire - Suite des imprimĂ©s M2, M2 agricole, M4, M4 agricole CERFA 11928*07 ModĂšle de statuts d'une SARL Bpifrance CrĂ©ation DĂ©claration relative Ă  une association MinistĂšre chargĂ© de l'Ă©conomieNotice - DĂ©claration relative Ă  une association Notice annexe - RGPD CERFA 15909*02 Pour en savoir plus Objectif entreprise guide de la crĂ©ation d'entrepriseUrssaf Foire aux questions de la crĂ©ation d'entrepriseBpifrance CrĂ©ation Choisir un statut juridique pour l'entrepriseBpifrance CrĂ©ation Statut fiscal des principales formes d'entreprisesMinistĂšre chargĂ© des finances Les diffĂ©rents statuts comparĂ©sBpifrance CrĂ©ation Guide des formalitĂ©s d'immatriculationInfogreffe SchĂ©mas pour identifier les bĂ©nĂ©ficiaires effectifsInfogreffe RĂ©fĂ©rences Code monĂ©taire et financier articles L561-2 Ă  L561-4Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme Code monĂ©taire et financier article L561-45-1 Ă  L561-50Informations sur les bĂ©nĂ©ficiaires effectifs Code de commerce articles L221-1 Ă  L225-270 Code de commerce article L225-1Nombre associĂ©s SA Code de commerce articles R123-1 Ă  R123-30 DĂ©cret n° 2017-630 du 25 avril 2017 relatif Ă  la simplification du droit des sociĂ©tĂ©s et au statut de l'entrepreneur individuel Ă  responsabilitĂ© limitĂ©e Code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts articles 635 Ă  637Enregistrement des statuts d'une sociĂ©tĂ© au service des impĂŽts ModifiĂ© le 04/02/2022 - Direction de l'information lĂ©gale et administrative Premier ministre Vos droits et dĂ©marches en ligne
MisĂ  jour le Vendredi 21 avril 2017. Une SCI (sociĂ©tĂ© civile immobiliĂšre) familiale permet aux membres d’une mĂȘme famille (lien de parentĂ© ou d’alliance) d’ĂȘtre propriĂ©taires, dans des proportions diffĂ©rentes ou pas, et de gĂ©rer ensemble, un ou plusieurs biens immobiliers, et ce, dans un but non commercial.
La nouvelle application PayPal est disponibleGet the appEn savoir plus sur les nouvelles fonctionnalitĂ©sScannez le QR Code ou renseignez votre numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone pour tĂ©lĂ©charger l’ de tĂ©lĂ©phoneEn cliquant sur Envoyer le lien, vous acceptez de recevoir un sms avec un lien vers l’application PayPal. Des frais d’operateur peuvent s’ de l'argent en quelques secondes grĂące Ă  l'app PayPalRemboursez rapidement, facilement et de maniĂšre sĂ©curisĂ©e. Si quelqu'un est parti faire vos courses, vous pouvez lui envoyer de l'argent en quelques secondes. Envoyez de l'argent Ă  vos amis gratuitement dans l’EEE*.TĂ©lĂ©charger l'appDes paiements en un clin d'Ɠil et en toute sĂ©curisĂ©sQue ce soit dans votre boutique favorite ou un nouveau magasin, PayPal vous permet de rĂ©gler vos achats rapidement et de maniĂšre sĂ©curisĂ©e. Et, pour les achats Ă©ligibles, PayPal va encore plus loin avec la Protection des Achats PayPal** et les Retours remboursĂ©s***.Payez avec PayPalPayez sans contactAvec l'app et les QR codes PayPal, la seule chose que vous devez toucher pour payer en magasin, c'est votre savoir plusPayez en 4 fois sans frais sur des milliers de sites webVous pouvez dĂ©sormais payer en 4X avec PayPal achetez ce dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin et payez en 4 fois****.En savoir plusNotre soutien face au coronavirusNous mettons tout en Ɠuvre pour vous fournir des ressources, de l’aide et des informations afin de vous soutenir en ces temps difficiles. Aller Ă  l'espace d'actualitĂ©s >Rejoignez la communautĂ© mondiale d’utilisateurs PayPal pour envoyer, dĂ©penser et recevoir de l’argent de maniĂšre plus sĂ©curisĂ©e chaque un compte gratuitement* Gratuit lorsqu’aucune conversion de devise n’est nĂ©cessaire pour les envois d’argent en euros au sein de l’EEE. Le bĂ©nĂ©ficiaire devra ouvrir un compte PayPal. S'il n'en possĂšde pas dĂ©jĂ  un, nous pouvons l'aider Ă  en ouvrir un gratuitement.** Profitez de la Protection des Achats sur vos achats Ă©ligibles. Soumis Ă  conditions.*** Retours remboursĂ©s soumis Ă  conditions**** Sous rĂ©serve d'acceptation par PayPal et soumis Ă  conditions. Offre de financement avec apport obligatoire et rĂ©servĂ©e aux particuliers. CrĂ©dit sur une durĂ©e de 3 mois. Vous disposez d'un dĂ©lai de rĂ©tractation de 14 jours pour renoncer Ă  votre crĂ©dit. Le prĂȘteur est PayPal Europe rl et Cie, SCA, 22-24 Boulevard Royal, L-2449 Luxembourg. dansla rubrique Technical settings, cochez la case Listes de prix de vente et la case GĂ©rer les emplacements multiples et les entrepĂŽts ; cliquez sur le bouton Enregistrer. Dans le menu Configuration → Configuration : cliquez sur ParamĂštres gĂ©nĂ©raux ; dans Options, cochez la case GĂ©rer plusieurs sociĂ©tĂ©s ; cliquez sur le bouton
Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© pourquoi les applications de jeux mobiles sont si populaires? Il y a une raison Ă  cela bien sĂ»r. L'industrie du jeu mobile est considĂ©rĂ©e comme la plus lucrative et la plus plus grande opportunitĂ© commerciale pour des revenus potentiels. De plus en plus d'entreprises tirant parti des applications de jeux mobiles, car le marchĂ© mondial du jeu devrait gĂ©nĂ©rer en milliards de chiffres en constante augmentation encouragent les entreprises Ă  produire des applications de jeux mobiles trĂšs attrayantes pour la promotion de la marque. Puisque la rentabilitĂ© est la considĂ©ration clĂ© pour dĂ©velopper une application de jeu consĂ©quent, il est impĂ©ratif de crĂ©er un jeu mobile avec des fonctionnalitĂ©s trĂšs captivantes et addictives et des expĂ©riences utilisateur frappantes qui sont dĂ©finitivement ajoutĂ©es Ă  cette liste des fonctionnalitĂ©s les plus cet article, vous dĂ©couvrirez comment rĂ©ussir Ă  crĂ©er une application de jeu par ces histoires de rĂ©ussite pour votre applications de jeux mobiles les plus rĂ©ussies au monde1. Bonbons Ă©crasĂ©sLe Candy Crush a Ă©tĂ© lancĂ© en juin 2016, et jusqu'Ă  aujourd'hui, le jeu est toujours le favori des gens, ne montrant aucun signe d'arrĂȘt pour le moment. Le secret du succĂšs de Candy Crush est le concept simple qui incite les joueurs Ă  revenir pour dĂ©part, le jeu permet aux utilisateurs de faire correspondre simplement les trois bonbons de mĂȘme couleur. Les utilisateurs ont trouvĂ© satisfaction aprĂšs avoir terminĂ© chaque niveau. Plus tard, au fur et Ă  mesure que les utilisateurs passent diffĂ©rents niveaux, ils commencent Ă  dĂ©bloquer diffĂ©rentes fonctionnalitĂ©s qui constituent la puissance addictive du jeu. Les utilisateurs devaient Ă©galement envoyer des demandes Candy Crush aux amis pour dĂ©bloquer des vies. Dans l'ensemble, les couleurs, le design, les effets sonores et les fonctionnalitĂ©s sont assez attrayants et deviennent la raison du succĂšs de l' Clash of ClansL'application Clash of Clans propulsĂ©e par Supercell est devenue l'application mĂ©ga-vendeur de 2012. Le secret du succĂšs de l'application est sa fonction multijoueur, son bon gameplay, son concept, ses graphismes et sa convivialitĂ©. De plus, Clash Royale et Clash of Clans ont gĂ©nĂ©rĂ© un bĂ©nĂ©fice de 635 millions de dollars sur un chiffre d'affaires de milliard de dollars en ne sont lĂ  que quelques exemples des applications de jeux mobiles les plus rĂ©ussies au monde qui ont gĂ©nĂ©rĂ© des revenus importants. Vous devez maintenant penser Ă  crĂ©er votre application de jeu, n'est-ce pas? Si oui, voici un rĂ©capitulatif complet dĂ©crivant les moyens de crĂ©er avec succĂšs une application de jeu crĂ©er une application de jeu gratuitementAvant de vous emmener sur le application de jeu mobile voyage de dĂ©veloppement, laissez-nous vous expliquer quelque chose d'important. La plupart d'entre nous crĂ©ons des applications de jeux mobiles pour gĂ©nĂ©rer des revenus, et pour cela, vous avez besoin d'une stratĂ©gie de monĂ©tisation une stratĂ©gie de monĂ©tisation pour votre application de jeu mobileSi vous crĂ©ez votre application de jeu mobile dans un but lucratif, vous devez d'abord crĂ©er votre stratĂ©gie de monĂ©tisation. La stratĂ©gie de monĂ©tisation vous aidera Ă  comprendre comment vous pouvez tirer le meilleur parti de l' lorsque vous dĂ©veloppez un jeu mobile, vous investissez un certain coĂ»t, pour le rĂ©cupĂ©rer, vous devez avoir une stratĂ©gie de monĂ©tisation. Pour concevoir le stratĂ©gie de monĂ©tisation verticale, sĂ©lectionnez l'une des mĂ©thodes les plus courantes achats - L'achat via l'application est un bon moyen de tirer profit des joueurs. L'achat in-app est une approche qui permet aux joueurs d'acheter des produits virtuels pour le jeu particulier grĂące auquel les dĂ©veloppeurs peuvent gĂ©nĂ©rer de l' le contenu de l'annonce - Une publicitĂ© est un autre excellent moyen de gĂ©nĂ©rer des revenus Ă  partir des applications de jeu. Vous pouvez combiner des annonces avec des achats intĂ©grĂ©s. Ensemble, les deux stratĂ©gies fonctionneront incroyablement, mais assurez-vous d'inclure les annonces les plus pertinentes, sinon vous n'obtiendrez pas les rĂ©sultats Premium - Les versions Premium permettent aux joueurs de prendre une dĂ©mo de votre produit puis de payer s'ils veulent continuer Ă  pour commencerPour dĂ©velopper votre prochain jeu mobile, jetez un Ɠil Ă  ce guide rapide qui vous montrera quelques outils essentiels pour crĂ©er votre application de Un ordinateurTout d'abord, vous aurez besoin d'un systĂšme pour y installer le moteur de jeu. Vous pouvez avoir un PC ou un Mac pour cela. Gardez Ă  l'esprit qu'il existe certains moteurs de jeu qui ne fonctionnent que sur un PC ou un Mac, ils ne prennent pas en charge les deux Un smartphoneLa prochaine chose dont vous aurez besoin est certainement un ou deux smartphones pour tester le jeu sur votre plate-forme requise. Si vous souhaitez exĂ©cuter votre application Ă  la fois sur Android et sur iPhone, assurez-vous qu'elle fonctionne bien sur les deux Un compte dĂ©veloppeurUn compte de dĂ©veloppeur est requis si vous souhaitez soumettre votre application de au Play Store nĂ©cessite 25 $ Ă  vie et 99 $ par annĂ©e pour App Store. Ce n'est pas similaire aux fabricants d'applications, vous devez ĂȘtre responsable des mises Ă  jour pour vous assurer que le jeu fonctionne sur tous les appareils. Cela pourrait nĂ©cessiter diverses nouvelles mises Ă  jour chaque Outils pour concevoir le jeuPeu importe que vous souhaitiez dĂ©velopper un jeu 2D ou 3D, vous devez avoir besoin d'actifs de jeu robustes pour le dĂ©marquer sur le marchĂ©. Les ressources de jeu peuvent inclure des personnages de jeu, de la musique, des arriĂšre-plans et des HĂ©bergement WebDĂ©pend de la nature de l'application de jeu, si votre jeu vous oblige Ă  stocker des donnĂ©es en ligne telles que les profils utilisateur, l'historique d'activitĂ©, etc. hĂ©bergement Web fiable est nĂ©cessaire. L'hĂ©bergement peut prendre de nombreuses formes, du stockage de la base de donnĂ©es aux performances du serveur, ce dont vous avez besoin dĂ©pend fortement de la fonction que vous si une application de jeu hors ligne autonome standard comme Tetris, elle n'en a pas Moteur de jeuLe moteur de jeu est l'outil le plus important pour dĂ©velopper votre application de jeu mobile. Il existe diffĂ©rents moteurs de jeu disponibles sur le marchĂ© en fonction des exigences de votre application de jeu; vous pouvez choisir entre le moteur de jeu le plus basique et le plus pouvez classer votre moteur de jeu en fonction des fonctionnalitĂ©s suivantesModĂšle de jeuLe modĂšle de jeu est le moyen de commencer. Il ne vous permet pas d'apporter plusieurs modifications Ă  l'exception des personnages, de la musique et de l'arriĂšre-plan. Pour sĂ©lectionner les modĂšles de jeu, vous pouvez consulter de nombreuses solutions en ligne comme appypie ou plus, il y a peu WordPress modĂšles de jeux qui seront utiles pour les dĂ©butants, quelques bons exemples sont mentionnĂ©s ci-dessousArcane, le modĂšle de jeu WordPress robuste, comporte des fonctionnalitĂ©s et des options fantastiques pour crĂ©er des communautĂ©s de jeu massives. C'est un bon modĂšle pour ceux qui veulent crĂ©er des tournois et des guerres d'Ă©quipe. Les principales caractĂ©ristiques du modĂšle Arcane sontCrĂ©ation facile de guerres d'Ă©quipe et de tournoisProfils d'utilisateurs personnalisĂ©sPages d'Ă©quipe personnalisĂ©esFormulaires frontauxConception entiĂšrement rĂ©activeCompositeur visuel PBOptions de pied de pageCouleurs illimitĂ©esOptions de rĂ©fĂ©rencementCompatible avec plusieurs navigateursImages et icĂŽnes animĂ©esUn clic installereSports modĂšle d'application de jeu mobileeSport est un autre modĂšle de site Web de jeu qui convient aux dĂ©butants. Il est livrĂ© avec un matĂ©riau prĂȘt Ă  l'emploi impeccable qui vous permet de faire les choses Ă  votre façon tout en mettant Ă  jour son look comme vous le souhaitez. eSport propose des fonctionnalitĂ©s robustes, notamment jeux illimitĂ©s, matchs, joueurs et curseurs, section sponsors, la liste des fonctionnalitĂ©s pourrait ĂȘtre and DropPour les dĂ©butants, le glisser-dĂ©poser est une approche bien adaptĂ©e. Il vous fournit une liste d'actions et il vous suffit de l'appliquer Ă  vos objets de jeu. Supposons que si vous dĂ©veloppez un carrĂ© 2D, l'approche glisser-dĂ©poser vous dirigera avec certaines directions. Cela vous montrera que si vous appuyez sur une touche spĂ©cifique, votre carrĂ© commencera Ă  faire des visuelLe script visuel est un processus simple qui permet de coder sans Coding. C'est une solution avancĂ©e qui vous permet de crĂ©er des nƓuds qui reprĂ©sentent des actions pour vos objets de jeu. Il montre un diagramme qui reprĂ©sente chaque activitĂ© qui se dĂ©roule dans votre fenĂȘtre de la caractĂ©ristique la plus importante du moteur de jeu est le codage. Si vous souhaitez simplement dĂ©velopper une application dans le but de gagner, vous pouvez sĂ©lectionner un moteur de jeu qui propose un langage de script simple et facile Ă  comprendre pour les dĂ©butants. Cependant, si vous voulez vous voir comme un dĂ©veloppeur professionnel, vous devez commencer Ă  apprendre Ă  coder pour une application de de moteurs de jeuComme mentionnĂ© prĂ©cĂ©demment, le moteur de jeu est la chose la plus importante lors de la crĂ©ation de votre application de jeu. Si vous ne savez pas quel moteur de jeu vous convient le mieux, jetez un coup d'Ɠil Ă  quelques Salade de gibierC'est une bonne chance pour les dĂ©butants. GameSalad propose un menu glisser-dĂ©poser avec une interface intuitive. La meilleure partie est qu'il comprend une visionneuse mobile qui vous permet de tester votre jeu sur diffĂ©rents BoĂźte de constructionBuildBox est un nouveau moteur de jeu et rĂ©pertorie 100 jeux utilisant leur plate-forme et peu de jeux ont obtenu les meilleurs tĂ©lĂ©chargements dans l'App Store, y compris The Line Zen et Color Switch. BuildBox comprend plusieurs fonctionnalitĂ©s, notamment le glisser-dĂ©poser, des modĂšles de jeu, une excellente interface utilisateur, un Ă©diteur de graphiques 2D sprites et un Studio de crĂ©ation de jeuxGameBuilder Studio utilise des scripts visuels, par consĂ©quent, pour commencer, vous devez consulter tous les didacticiels vidĂ©o juste pour obtenir les bases. GameBuilder Studio comprend les fonctionnalitĂ©s suivantes Ă©diteur visuel, physique du jeu, marchĂ© des plugins, bons tutoriels, animations CryEngineCryEngine est un moteur de jeu tout-en-un qui fournit aux utilisateurs le code source complet du moteur ainsi que des fonctionnalitĂ©s complĂštes sans redevances, sans obligations et sans frais de licence en retour. Les fonctionnalitĂ©s de CryEngine incluent Sandbox et outils, visuels, personnages et animations, plates-formes et audio / Moteur GodotGodot Engine est un moteur de jeu avancĂ© et puissant. C'est un moteur de jeu open source multi-plateforme, 2D et 3D. Godot Engine fournit un ensemble d'outils dĂ©taillĂ©s, notamment des nƓuds pour une variĂ©tĂ© de comportements personnalisĂ©s, un systĂšme de scĂšne flexible, un Ă©diteur visuel, l'Ă©dition en direct et d'autres outils personnalisĂ©s. C'est un bon choix pour crĂ©er des applications de jeux mobiles hautement prĂȘt Ă  crĂ©er votre prochaine application de jeuLes jeux mobiles sont assez intĂ©ressants non seulement pour les joueurs mais aussi pour les dĂ©veloppeurs. Si vous n'ĂȘtes pas trop dans le processus de dĂ©veloppement, il existe des plates-formes disponibles qui ne nĂ©cessitent pas de codage et vous pouvez crĂ©er un produit merveilleux Ă  l'aide de modĂšles prĂȘts Ă  l' cas oĂč, si le dĂ©veloppement de jeux est votre passion, vous pouvez apprendre Ă  coder avec des millions de ressources en ligne disponibles. Prenez le temps de crĂ©er la prochaine plus grande application de jeu mobile et profitez de votre pourrait avoir une chance de transformer votre application de jeu mobile en une entreprise rentableCo-Ă©crit avec Rameez Ramzan Rameez Ramzan est directeur adjoint - marketing numĂ©rique chez Cubix, une sociĂ©tĂ© renommĂ©e de dĂ©veloppement de logiciels et de produits basĂ©e Ă  Washington. Il est spĂ©cialisĂ© dans le marketing payant, RĂ©fĂ©rencement Web et SMM et audits de site pour aider les sites Ă  ĂȘtre plus performants. Connectez-vous avec Rameez sur LinkedIn.
Tricountvous prĂ©vient si l'un de vos amis ajoute, Ă©dite ou supprime une dĂ©pense. Plusieurs devises. Utilisez dĂšs maintenant plusieurs devises dans un mĂȘme Tricount . Ajout de photos. IdĂ©al pour partager les tickets de caisse ou pour immortaliser les beaux moments passĂ©s ensemble. RĂ©partition inĂ©gale. Comme toutes les dĂ©penses ne doivent pas ĂȘtre rĂ©parties de
1. LE PROCESSUS DE TRANSFERT 1Qu’est-ce qu’un transfert ? Observons, d’abord, quelques emplois du terme dans le langage courant. On parle, par exemple, de “transfert de propriĂ©tĂ©â€, “transfert de connaissances”, “transfert de valeurs mobiliĂšres” “transfert de marchandises”. Quels sont les points communs Ă  tous ces transferts ? ce sont quatre Ă©lĂ©ments essentiels un contenu, deux acteurs, un rĂ©sultat. LE CONTENU 2Pour qu’il y ait un transfert, il faut que quelque chose soit transfĂ©rĂ©. C’est le contenu et c’est prĂ©cisĂ©ment ce qui dĂ©finit la nature du processus et en dĂ©termine les modalitĂ©s. Il y a des contenus matĂ©riels, divisibles ou pas. La premiĂšre particularitĂ© des transferts de contenus matĂ©riels est qu’ils entraĂźnent immĂ©diatement des modifications chez l’émetteur et chez le rĂ©cepteur, que le contenu soit divisible ou indivisible. En revanche, les transferts de contenus immatĂ©riels entraĂźnent des modifications chez le rĂ©cepteur, alors que la situation de l’émetteur reste inchangĂ©e. C’est le cas des transferts de contenus inĂ©puisables et divisibles “ad infinitum”. Quand les contenus sont immatĂ©riels, il faut, pour pouvoir les transfĂ©rer, qu’il existe un support, c’est-Ă -dire un moyen qui les matĂ©rialise une manifestation de la volontĂ©, dans le cas du transfert d’un droit ; un signifiant pour transfĂ©rer une connaissance, etc. Mais en tout Ă©tat de cause, le support ne devra pas ĂȘtre confondu avec le contenu. 3Ainsi, dans un transfert de technologie, les droits d’utilisation de marques et de brevets, les plans, les dessins et instructions ou l’implantation des usines ne sont que les supports d’une technologie incorporĂ©e. Ils ne sont, au mieux, que les catalyseurs du processus de transfert de technologie. LES ACTEURS 4Qu’il soit matĂ©riel ou immatĂ©riel, tout transfert, exige deux entitĂ©s Ă  l’origine, l’émetteur, celui qui dĂ©tient le contenu dĂšs le dĂ©but du processus, et Ă  la destination, le rĂ©cepteur, celui qui ne dĂ©tenait pas le contenu auparavant, mais qui pourra le dĂ©tenir lorsque le processus sera achevĂ©, mĂȘme si, dans le cas des contenus immatĂ©riels divisibles “ad infinitum”, la situation de l’émetteur soit restĂ©e inchangĂ©e. 5Ainsi, comme le note Boutat 1991 “La technologie est nĂ©gociable Ă  travers un systĂšme d’échange et consommable dans les opĂ©rations productives. ” Ses composantes immatĂ©rielles, informations et savoir faire, ont cependant, Ă  l’inverse des produits marchands ordinaires, la caractĂ©ristique d’ĂȘtre inĂ©puisables elles ne s’éteignent pas Ă  l’usage, mais se dĂ©gradent avec le temps, leur dĂ©valorisation, s’opĂ©rant par oubli ou par obsolescence”. LE RÉSULTAT 6Tout transfert doit entraĂźner des modifications dans la situation du rĂ©cepteur, celles ci le rendant capable de prendre possession du contenu. En tant que processus, le transfert est un ensemble de phĂ©nomĂšnes actifs et organisĂ©s dans le temps, une sĂ©quence d’états d’un systĂšme qui se transforme. Le transfert, se dĂ©roule donc dans le temps ; il est toujours inachevĂ© tant que le rĂ©cepteur n’est pas capable d’accomplir tous les actes concernant la pleine possession du contenu. 7A partir des considĂ©rations prĂ©cĂ©dentes, dĂ©coule logiquement la dĂ©finition le transfert est un processus par lequel la situation d’un rĂ©cepteur est modifiĂ©e en fonction d’un contenu qu’il a reçu d’un Ă©metteur. 8Deux caractĂ©ristiques sont d’une importance fondamentale dans la comprĂ©hension du processus de transfert. La premiĂšre est le dĂ©roulement du processus qui nous conduit Ă  la notion de durĂ©e du transfert durĂ©e variable selon la nature du contenu, les motivations de l’émetteur et la prĂ©paration ou les dispositions du rĂ©cepteur. La seconde est le degrĂ© de changement de la situation du rĂ©cepteur, compte tenu de la nature du contenu degrĂ© de complexitĂ© de la technologie incorporĂ©e. 9Une fois saisie la nature des transferts de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, nous pouvons dĂšs maintenant appliquer ces repĂšres au cas spĂ©cifique et concret du contenu particulier qui nous intĂ©resse, Ă  savoir, celui du transfert de technologie. 2. LE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE DÉFINITIONS 10Pour Seurat 1979, “il y a transfert de technologie lorsqu’un groupe d’hommes, en gĂ©nĂ©ral partie d’un organisme, devient effectivement capable d’assumer dans des conditions satisfaisantes, une ou plusieurs fonctions liĂ©es Ă  une technique dĂ©terminĂ©e”. Cette dĂ©finition met l’accent sur le “transfert de savoir-faire technique” et privilĂ©gie la question de la formation car pour qu’il y ait transfert, il suffit qu’un groupe de non initiĂ© soit capable d’assurer une fonction liĂ©e Ă  une technique. Il s’agit ici d’une dĂ©finition restrictive du transfert dans la mesure oĂč elle se limite Ă  la rĂ©alisation des obligations de l’émetteur. 11Selon Drouvot et Duran 1978 “Le transfert de technologie consiste Ă  ne vendre Ă  un pays les moyens de fabriquer un matĂ©riel qu’aprĂšs lui avoir apportĂ© les moyens de l’utiliser, de le commercialiser, d’en tirer profit” Ceci souligne deux points essentiels la finalitĂ© de l’opĂ©ration pour le rĂ©cepteur fabriquer un matĂ©riel, le vendre et faire du profit ; et la coopĂ©ration c’est-Ă -dire l’existence d’avantages mutuels pour les acteurs. Atamer 1980 propose une dĂ©finition de ce concept en relation avec la notion de systĂšme technologique. Pour lui, “un transfert de technologie implique un Ă©change d’informations entre deux entitĂ©s autonomes en fonction d’un contrat dont les objectifs sont la transmission de systĂšmes ou sous systĂšmes technologiques”. 12Le transfert de technologie peut ĂȘtre ainsi apprĂ©hendĂ© en terme de contenus les aspects matĂ©riels et immatĂ©riels qui font l’objet de la transaction, de supports la nature juridique de l’accord contrat de licence, contrat de vente d’un ensemble industriel et d’acteurs motivations et comportements de l’émetteur et du rĂ©cepteur et Ă©ventuellement aide des administrations. Il apparaĂźt toutefois une grande distance entre les dĂ©finitions formulĂ©es par des auteurs prenant le point de vue des Ă©metteurs par exemple Seurat, et des auteurs plus sensibles aux revendications des acquĂ©reurs. 13Ainsi pour Judet et Perrin 1977 la notion de transfert “suggĂšre qu’il y a mouvement, que ça marche, qu’une rĂ©alitĂ© se meut sans obstacles, d’un point haut vers un point bas, du Nord vers le Sud par exemple”. Pour ces auteurs le transfert de technologie est au contraire un processus complexe et Ă©volutif qui dĂ©passe largement les engagements contractuels des partenaires. Ce long processus, a pour but de dĂ©velopper une intelligence collective qui, Ă  partir de diffĂ©rents modes d’apprentissage, permettra de maĂźtriser la technologie incorporĂ©e. 14Le tableau dĂ©fini par Boutat 1991 a le mĂ©rite de regrouper les diverses composantes d’un transfert de technologie en distinguant l’objet du transfert, les moyens du transfert et ses finalitĂ©s le projet. Cette prĂ©sentation constitue un guide de rĂ©flexion sur la nature des contenus Ă  transmettre et sur les diffĂ©rents modes de transmission des connaissances Ă  utiliser. Elle englobe les diffĂ©rents niveaux du processus la conception, l’organisation, l’exĂ©cution et le contrĂŽle des activitĂ©s et intĂšgre des circuits de rĂ©troactions Ă  l’intĂ©rieur du systĂšme et entre celui-ci et l’environnement technique, Ă©conomique, social, politique. TABLEAU LES PRINCIPALES COMPOSANTES DU PROCES DE TRANSFERT TECHNOLOGIQUE 3. MODALITÉS DE CHOIX DE PARTENAIRE ET DE TECHNOLOGIE 15Les choix du partenaire Ă©tranger et du type de technologie Ă  acquĂ©rir devraient constituer des dĂ©cisions stratĂ©giques pour les entreprises des pays en voie de dĂ©veloppement, car ils dĂ©terminent les rĂ©sultats du transfert de technologie. OCDE, 1974. En fait, ces choix ne sont, au sens de Mintzberg 1976 que des “dĂ©cisions non structurĂ©es” car ils sont souvent effectuĂ©s aprĂšs une sĂ©rie de tĂątonnements et gĂ©nĂ©ralement d’une façon peu rationnelle. UNE NÉGOCIATION INÉGALE 16Au delĂ  du problĂšme du choix, la faiblesse du pouvoir de nĂ©gociation du rĂ©cepteur constitue un handicap important dans le mode d’acquisition de technologie des entreprises des pays en voie de dĂ©veloppement. PVD. Deux raisons principales expliquent cette situation d’infĂ©rioritĂ© du rĂ©cepteur Le frĂ©quent manque d’information des PVD sur les termes et les conditions de contrats. “Le degrĂ© de disponibilitĂ© de l’information dĂ©terminera la stratĂ©gie de nĂ©gociation avec des conditions maximales et minimales, et spĂ©cifiera les domaines oĂč l’autre partie est le plus vraisemblablement disposĂ©e Ă  cĂ©der” Vaitsos, 1972. Le manque de compĂ©tence technique et d’informations techniques des rĂ©cepteurs pour dĂ©finir la technologie prĂ©cise qu’ils recherchent et un manque d’informations suffisantes sur les technologies disponibles. 17Compte tenu de ces handicaps, les rĂ©cepteurs sont souvent obligĂ©s d’accepter certaines formes et conditions exigĂ©es par les Ă©metteurs de technologie. En fait, les formes et les conditions de transferts varient en gĂ©nĂ©ral suivant les pays et les secteurs industriels, suivant la nature des marchĂ©s, suivant les stratĂ©gies adoptĂ©es par les entreprises ou les gouvernements Ă  l’égard du fournisseur. Dans le processus de nĂ©gociation qu’un rĂ©cepteur engage avec un partenaire Ă©tranger il est intĂ©ressant d’identifier quels sont les Ă©lĂ©ments privilĂ©giĂ©s par l’acquĂ©reur. Les aspects technologiques sont-ils dĂ©terminants ou au contraire sont ils estimĂ©s secondaires par rapport Ă  d’autres prĂ©occupations de nature commerciale ou financiĂšre ? LES CRITERES DE CHOIX DE TECHNOLOGIE ET DE PARTENAIRE 18Selon Atamer 1980 les critĂšres du choix de la technologie et du partenaire peuvent ĂȘtre regroupĂ©s en sept groupes. Les critĂšres subjectifs Ils portent sur le choix du partenaire plutĂŽt que sur la technologie. Atamer qualifie de subjectif les critĂšres basĂ©s sur la perception que l’on a du pays ou d’une entreprise, sur une bonne connaissance de la langue d’un pays par les dĂ©cideurs, sur la sympathie Ă©prouvĂ©e envers une entreprise fournisseur habituel et sur le choix de la technologie la plus avancĂ©e pour des raisons de prestige et non pour des raisons objectives. Les critĂšres de minimisation des risques et/ou de sĂ©curitĂ© Ce type de choix est souvent effectuĂ© par des entreprises qui n’ont qu’une faible expĂ©rience industrielle. Le transfert mimĂ©tique, l’initiative abandonnĂ©e Ă  un partenaire “bien connu” donnent l’illusion que tout marchera bien, et qu’il sera possible de dĂ©gager un profit jugĂ© satisfaisant une fois l’unitĂ© productive rĂ©alisĂ©e. Les critĂšres financiers Dans des pays endettĂ©s, la raretĂ© des devises amĂšne les entreprises Ă  affronter de fortes contraintes financiĂšres. Le transfert devient alors liĂ© aux possibilitĂ©s d’obtention de crĂ©dit acheteurs Ă  des taux attrayants. Les critĂšres liĂ©s Ă  la commercialisation Les exigences d’un marchĂ© dĂ©jĂ  satisfait par l’importation ou par la concurrence locale sont ici considĂ©rĂ©es. L’objectif peut ĂȘtre aussi de satisfaire une demande extĂ©rieure au pays. Ces critĂšres peuvent porter sur les spĂ©cifications du produit, sur la marque, voire sur le prix du produit Ă  fabriquer. Les Ă©lĂ©ments de “technologie du produit” et de marketing sont privilĂ©giĂ©s. Ils pourront justifier le choix d’un partenaire ayant dĂ©jĂ  acquis une forte notoriĂ©tĂ© sur le marchĂ© local. Les critĂšres d’offres technologiques. Ils correspondent aux aspects technologiques offerts par l’émetteur, Ă  savoir la capacitĂ© de formalisation technologique, ses rĂ©alisations antĂ©rieures de transfert, les services offerts pour la formation et la possibilitĂ© de bĂ©nĂ©ficier des activitĂ©s de recherche et dĂ©veloppement de l’émetteur pendant la durĂ©e du contrat. Les critĂšres liĂ©s au systĂšme de production. Ces critĂšres portent sur les caractĂ©ristiques physiques de la production, les facteurs de technologie de production priment ici sur les facteurs liĂ©s Ă  l’image et Ă  la qualitĂ© de l’émetteur. La taille de l’unitĂ©, son degrĂ© d’intensitĂ© capitalistique, les procĂ©dĂ©s utilisĂ©s sont des Ă©lĂ©ments appartenant Ă  cette prĂ©occupation. Les critĂšres de responsabilitĂ© nationale et d’autonomie technologique de l’entreprise. Ils sont envisagĂ©s par des rĂ©cepteurs qui cherchent Ă  accroĂźtre leur autonomie par rapport aux Ă©metteurs Ă©trangers, parfois dans le cadre d’une politique industrielle cas des entreprises publiques. Ils sont sensibles Ă  certains problĂšmes Ă©conomiques et sociaux tels que l’emploi, le dĂ©ficit de la balance des paiements, la nĂ©cessitĂ© d’assurer un dĂ©veloppement industriel sur des bases nationales. L’importance relative accordĂ©e Ă  ces diffĂ©rents critĂšres influence les rĂ©sultats d’un transfert de technologie car elle est caractĂ©ristique de la volontĂ© des dirigeants de l’entreprise rĂ©ceptrice de vouloir, rĂ©ellement ou non, mettre en Ɠuvre un ensemble d’actions destinĂ©es Ă  faciliter l’assimilation d’un savoir faire technologique. 4. LE TRANSFERT TECHNOLOGIQUE UNE RELATION DE TYPE “ CONFLIT-COOPÉRATION ” 19Le transfert de technologie n’a de sens que par rapport aux objectifs et stratĂ©gies du rĂ©cepteur et de l’émetteur. Le transfert de technologie engendre des Ă©changes de systĂšmes technologiques mais ni les communications entre les acteurs, ni les Ă©changes marchands ne suffisent, Ă  eux seuls, pour permettre au rĂ©cepteur d’avoir la possession des systĂšmes. Comme nous l’avons notĂ©, l’acquisition de la technologie doit se faire par un processus d’apprentissage et une coopĂ©ration parfaite entre l’émetteur et le rĂ©cepteur de la technologie. Mais souvent “l’émetteur, pour contrĂŽler, pour rĂ©guler le processus dans le sens de ses intĂ©rĂȘts, essayera de limiter le processus d’apprentissage du rĂ©cepteur dans les sous-systĂšmes les “moins nobles” du systĂšme technologique” Atamer, 1980. 20De mĂȘme, au niveau macro-Ă©conomique et pour un pays donnĂ©, l’objectif ultime de transfert de technologie peut ĂȘtre d’acquĂ©rir la capacitĂ© de contrĂŽler le coeur de la technologie d’un domaine donnĂ©, afin de s’assurer une indĂ©pendance Ă©conomique, de gagner en pouvoir de nĂ©gociation et d’acquĂ©rir un bon niveau de compĂ©titivitĂ© internationale. 21“Pour un Ă©metteur de technologie, l’objectif ultime est de conserver le plus longtemps possible l’avantage concurrentiel qui assure sa viabilitĂ© Ă  long terme”. Cette citation de Lasserre 1980 dĂ©voile deux objectifs diffĂ©rents qui dĂ©finissent des stratĂ©gies non superposables. Les intĂ©rĂȘts des deux parties ne sont pas toujours rĂ©ciproques et le transfert de technologie n’est donc pas une coopĂ©ration pure, il implique des relations plus ou moins conflictuelles. Pour Dawson 1987, les motivations de l’industrie privĂ©e Ă  transfĂ©rer une technologie sont de nature diverse et peuvent comprendre la stimulation de la croissance de nouveaux marchĂ©s, l’accĂšs Ă  des matiĂšres premiĂšres stratĂ©giques, la protection de certains investissements, des impĂ©ratifs moraux et des changements dans la rĂ©partition des pouvoirs dans le monde. 22Divers auteurs ont analysĂ© cette relation conflit-coopĂ©ration dans l’espace du transfert de technologie. Gonod 1976 l’a dĂ©fini en reprenant l’approche de Perroux 1973. Dans cette perspective, la relation de conflit coopĂ©ration signifie des intĂ©rĂȘts plus ou moins convergents ; la volontĂ© pour les deux parties d’aboutir Ă  un rĂ©sultat pour l’obtention duquel les actions de l’une et l’autre sont indispensables ; la prĂ©sence de “rĂšgles du jeu” et d’éventuelles diffĂ©rences d’efficacitĂ© entre les partenaires. 5. LES TYPES D’ACTEURS ET LA CULTURE DES RÉCEPTEURS LES FLUX D’INVENTIONS ENTRE FIRMES 23Ainsi que le mentionne Courtial 1990, Pavitt suggĂšre un modĂšle des flux d’inventions entre firme Ă  partir d’une distinction entre quatre types d’entreprises les Ă©quipementiers PME, qui font des innovations de produits, les grandes entreprises dont l’activitĂ© repose sur la science RhĂŽne Poulenc, Thomson,
 et qui font des innovations de procĂ©dĂ©s, les entreprises fabricant des biens de consommation classiques Renault, PSA,
 et les entreprises non innovantes qui consomment les innovations des autres. 24“Ce modĂšle montre que la recherche acadĂ©mique conduit Ă  de nombreuses innovations de produit dont bĂ©nĂ©ficient directement les trĂšs grandes firmes qui les rĂ©percutent Ă  leur tour, tout en bĂ©nĂ©ficiant des innovations des Ă©quipementiers. Autrement dit, l’innovation circule de façon trĂšs diffĂ©rente selon le type d’entreprise et ce modĂšle suggĂšre quatre catĂ©gories de firme structurellement diffĂ©rentes Ă  cet Ă©gard”. LES ACTEURS PRINCIPAUX DANS UN PROCESSUS DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE 25Les deux acteurs principaux sont gĂ©nĂ©ralement deux entreprises L’émetteur une entreprise ayant acquis un niveau de maĂźtrise technique supĂ©rieur, dite “de rĂ©fĂ©rence”, disposĂ©e Ă  jouer, le rĂŽle d’émetteur ou de bailleur de maĂźtrise technique. Le rĂ©cepteur une entreprise souhaitant accĂ©der Ă  un certain niveau de maĂźtrise technique. TABLEAU LE MODELE DE PAVITT 1984 LES ACTEURS SECONDAIRES 1 Pour plus de dĂ©tails sur les diffĂ©rents partenaires d’un contrat, Cf. Verna & Drouvot, 1993 26Il faut cependant souligner que le degrĂ© de complexitĂ© du processus de transfert, ainsi que la nature de la technologie en tant qu’ensemble d’élĂ©ments diversifiĂ©s peuvent faire intervenir dans le cadre de ces opĂ©rations une diversitĂ© d’acteurs1. Ainsi, sont susceptibles d’intervenir les conseils en transfert de technologie avec des Ă©quipes d’experts, des concepteurs et metteurs en Ɠuvre d’un systĂšme de transfert adaptĂ© ; les firmes d’ingĂ©nierie, capables d’étudier et de rĂ©aliser une installation industrielle adaptĂ©e Ă  un ensemble de contraintes locales ; les ensembliers, aptes Ă  assumer la responsabilitĂ© globale d’une rĂ©alisation industrielle2 ; un ou plusieurs bailleurs de licences ; divers constructeurs et entrepreneurs, pouvant appartenir Ă  l’un ou l’autre des deux milieux Ă©metteur et rĂ©cepteur ; divers Ă©tablissements d’enseignement appartenant Ă  l’un ou Ă  l’autre des milieux Ă©metteur et rĂ©cepteur3. QUI SONT LES RÉCEPTEURS ? 27Les rĂ©cepteurs impliquĂ©s dans une opĂ©ration d’acquisition technologique peuvent ĂȘtre aussi diffĂ©rents que un individu possĂ©dant un capital important pour investir dans l’industrie ; un groupe financier qui voit une possibilitĂ© de participer Ă  une activitĂ© industrielle rentable ; un importateur distributeur du produit faisant l’objet du transfert de technologie ; un commerçant, propriĂ©taire foncier ou un bailleur de fonds qui n’a pas de rapport avec la distribution du produit ; une entreprise publique ; une entreprise privĂ©e commerciale ou industrielle ; une sociĂ©tĂ© d’ingĂ©nierie qui a acquis une expĂ©rience dans le domaine. 4 Cf. aussi Kedia & Bhagat, 1988 28En nous rĂ©fĂ©rant aux travaux de Kim 1980, nous pouvons regrouper ces diffĂ©rents rĂ©cepteurs selon leur culture4 29Culture commerçante Les dĂ©cideurs sont surtout prĂ©occupĂ©s par la rĂ©solution de problĂšmes commerciaux. La production n’est qu’un accessoire ou une nĂ©cessitĂ© imposĂ©e par l’État dans le cadre d’une politique de substitution Ă  l’importation. 30Culture de montage Ce type de sociĂ©tĂ© prĂ©sente certaines caractĂ©ristiques de la culture industrielle, mais elle se limite Ă  des sous-systĂšmes de production de type assemblage. L’approche des problĂšmes de production reste secondaire. 31Culture industrielle Elle est issue d’une stratĂ©gie qui s’exprime en termes de couple produit-marchĂ©, basĂ©e sur des avantages distinctifs provenant du systĂšme de production. Les dirigeants ont gĂ©nĂ©ralement une formation scientifique ingĂ©nieurs ou une longue expĂ©rience industrielle. 32Atamer 1980 a repris cette typologie pour Ă©tudier le processus d’acquisition technologique de 22 entreprises turques. A ces trois catĂ©gories, il a ajoutĂ© le cas particulier des entreprises publiques. L’enquĂȘte a permis de constater que les entreprises dotĂ©es d’une culture industrielle et les entreprises publiques pratiquaient une politique de dĂ©globalisation du “paquet technologique”, mettaient en oeuvre une politique active pour assimiler les technologies importĂ©es et s’engageaient dans des contrats de cession de licence ou de know-how. Par contre, les entreprises dotĂ©es d’une culture commerçante ou de montage possĂ©daient beaucoup moins d’informations sur les systĂšmes technologiques disponibles et sur les fournisseurs potentiels. Dans le choix des partenaires Ă©trangers, ils privilĂ©giaient des facteurs commerciaux et financiers aux dĂ©triments des aspects technologiques et ils ne mettaient pas en oeuvre une politique intĂ©grĂ©e destinĂ©e Ă  incorporer rĂ©ellement les technologies importĂ©es. COMMENT NÉGOCIE-T-ON ? 33Ongkawitshuweit 1983 dans une recherche concernant un Ă©chantillon d’entreprises thaĂŻlandaises en activitĂ© dans l’industrie chimique et pĂ©trochimique, conclut que les nĂ©gociations des contrats de joint-ventures ont portĂ© essentiellement sur les aspects financiers et le marketing prix, marque et que les questions concernant la technique Ă©taient trĂšs peu discutĂ©es. L’auteur explique cette situation par l’incapacitĂ© du rĂ©cepteur d’aborder les problĂšmes technologiques par manque d’informations et de compĂ©tences. 34En partant d’une problĂ©matique voisine, Araujo 1981 a Ă©tudiĂ© les modalitĂ©s d’acquisition technologique de 21 entreprises de l’industrie textile du Nordeste brĂ©silien. Les critĂšres les plus frĂ©quemment citĂ©s dans le choix des technologies importĂ©es Ă©taient par ordre dĂ©croissant le rapport qualitĂ© prix 100 % des cas ; les facilitĂ©s de paiement 71 % des cas ; l’image de marque du fabricant 51 % des cas ; les relations antĂ©rieures avec le fournisseurs 38 % des cas et les dĂ©lais de livraison 24 % des cas. Aucune entreprise de l’échantillon n’a manifestĂ© son intention d’acquĂ©rir des technologies dans le cadre d’une politique de dĂ©veloppement de ses propres capacitĂ©s technologiques ou avec l’intention de participer Ă  l’essor de technologies nationales. 35Toujours au BrĂ©sil, mais dans le secteur de l’industrie pĂ©trochimique, Paranhos 1983 s’est intĂ©ressĂ© Ă  une vingtaine de joint-ventures conçus selon le modĂšle tripartite un partenaire national public, un partenaire national privĂ©, un partenaire Ă©tranger et situĂ©es sur le pĂŽle de Camaçari Nordeste du BrĂ©sil. En reprenant la typologie en terme de culture industrielle, de montage ou commerçante, l’auteur constate que les relations de type “conflit coopĂ©ration” et les cas de rupture apparaissent surtout dans le contexte d’une coopĂ©ration technologique, c’est-Ă -dire dans les cas oĂč les partenaires nationaux, dotĂ©s d’une culture industrielle, attachent une importance primordiale Ă  la maĂźtrise de la technologie cĂ©dĂ©e. 36Et parmi ces entreprises, Paranhos a constatĂ© combien le temps Ă©tait une variable indispensable Ă  prendre en compte pour mesurer l’évolution vers un dĂ©veloppement technologique plus auto-centrĂ©. MĂȘme avec un groupe d’ingĂ©nieurs nationaux compĂ©tents, il faut un long processus d’apprentissage avant que puisse ĂȘtre effectivement bien connue la technologie transfĂ©rĂ©e et que se rĂ©alise des adaptations de la filiĂšre de production. Enfin, Paranhos remarque qu’au delĂ  des accords contractuels, le comportement plus ou moins coopĂ©ratif des ingĂ©nieurs et techniciens Ă©trangers en activitĂ© sur le site est dĂ©terminant pour faciliter cet apprentissage. Dans certains cas, il a constatĂ© combien pouvait ĂȘtre utile la communication informelle de certaines informations par ceux-ci et dans d’autres cas, comment la position clĂ© de quelques cadres Ă©trangers dans l’entreprise a rĂ©ellement constituĂ© un facteur de blocage. 37AprĂšs cette brĂšve prĂ©sentation de recherches concernant la politique d’acquisition technologique d’entreprises de pays en voie d’industrialisation, nous pouvons conclure que le rĂ©cepteur, s’il est soucieux d’assimiler les technologies importĂ©es, doit avoir un comportement actif. En fait, l’acheteur achĂšte seulement un potentiel technologique et ce potentiel ne pourra ĂȘtre valorisĂ© que dans le cadre d’une politique de dĂ©veloppement technologique destinĂ©e Ă  promouvoir des capacitĂ©s d’ingĂ©nierie au sein de l’entreprise rĂ©ceptrice. L’existence de motivations dans les entreprises rĂ©ceptrices pour assimiler et dĂ©velopper des connaissances technologiques est donc conditionnĂ©e par la culture commerçante ou industrielle des dirigeants. 38Dans le contexte des pays Ă©tudiĂ©s Turquie, ThaĂŻlande, BrĂ©sil, il est frĂ©quemment apparu que les entreprises locales ne prennent pas suffisamment en compte les aspects technologiques lorsqu’ils nĂ©gocient une opĂ©ration d’acquisition technologique. Les critĂšres de choix sont essentiellement de nature financiĂšre ou commerciale et cet aspect dĂ©note l’absence d’une vĂ©ritable culture industrielle chez ces entrepreneurs peu sensibilisĂ©s par la nĂ©cessitĂ© de dĂ©velopper leurs propres compĂ©tences technologiques. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e sur 393 entreprises australiennes manufactures, mines et construction montre que 59 % de celles dĂ©tenues par des propriĂ©taires Ă©trangers ont accĂšs Ă  un savoir-faire technologique Ă©tranger contre 23 % seulement des entreprises purement australiennes. Parry, 1988. 39L’analyse de six cas de sociĂ©tĂ©s mixtes en CorĂ©e du Sud par Yong et Lasserre 1982 aboutit Ă  la conclusion suivante “D’un cĂŽtĂ©, quatre firmes ayant Ă©tabli des relations de client Ă  fournisseur avec leur partenaire, n’ayant pas dĂ©veloppĂ© un effort interne de recherche et dĂ©veloppement ; de l’autre cĂŽtĂ©, deux sociĂ©tĂ©s ayant Ă©tabli des relations complexes avec leur partenaire, et complĂ©tant leurs acquisitions par un effort interne de recherche et dĂ©veloppement jetant ainsi la base d’un dĂ©veloppement autonome. L’acquisition de technologie ne peut se concevoir que comme un relais pour la sociĂ©tĂ© locale ainsi d’ailleurs que pour la sociĂ©tĂ© Ă©trangĂšre”. 40Il convient ainsi d’envisager les rapports Ă©tablis entre un fournisseur Ă©tranger de technologie et un acquĂ©reur local dans une perspective dynamique, et comme Atamer ou Paranhos l’ont constatĂ©, certaines entreprises peuvent entreprendre un processus d’apprentissage qui les font Ă©voluer d’une culture commerçante vers une culture industrielle. Au cours de ces Ă©tapes d’acquisition de connaissances, le rĂ©cepteur peut ainsi changer d’objectifs et s’intĂ©resser Ă  assimiler les aspects les plus stratĂ©giques des technologies importĂ©es. Plus intĂ©ressĂ© par la production et davantage motivĂ© pour dĂ©globaliser les paquets technologiques achetĂ©s, l’entrepreneur local peut entrer en conflit avec un fournisseur Ă©tranger rĂ©ticent Ă  transfĂ©rer l’intĂ©gralitĂ© du savoir-faire. Atamer en Turquie, et Paranhos au BrĂ©sil ont identifiĂ©s des situations de rupture liĂ©es Ă  l’évolution de la culture du rĂ©cepteur, ces conflits ont dĂ©bouchĂ©s sur des changements de partenaire au profit d’un nouvel Ă©metteur ayant un rĂŽle plus secondaire sur le marchĂ© et par lĂ  mĂȘme, plus disposĂ© Ă  accepter les nouvelles revendications du rĂ©cepteur. 41Quoiqu’il en soit, les diverses recherches que nous avons citĂ©es aboutissent Ă  la conclusion qu’en rĂšgle gĂ©nĂ©rale, les entreprises ne consacrent pas assez de temps et d’efforts Ă  bien connaĂźtre les caractĂ©ristiques et les objectifs de leur futur partenaire. 42Pour pallier cette insuffisance, Lasserre propose une dĂ©marche afin d’analyser la compatibilitĂ© des motivations et des ressources du fournisseur et de l’acquĂ©reur. Il suggĂšre aussi une liste de questions permettant d’évaluer la stratĂ©gie et les capacitĂ©s d’un Ă©ventuel partenaire Ă©tranger, tableaux et Ces Ă©lĂ©ments sont Ă  prendre en compte tout au long du processus de nĂ©gociation. 6. LES DIFFÉRENTES TYPES DE CONTRATS DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE 5 Gonod P. “MatĂ©riaux pour de nouvelles politiques du transfert technologique” in Kahn, 1977 43Le transfert de technologie est caractĂ©risĂ© par des relations contractuelles complexes et diffĂ©renciĂ©es. Le contrat, qui formalise l’action future et les volontĂ©s des agents en jeu, est le cadre dans lequel s’insĂšre le transfert de technologie. L’analyse des contrats peut ĂȘtre faite en examinant les clauses restrictives et leur impact sur le dĂ©veloppement de la sociĂ©tĂ© et du pays d’accueil. Cette analyse, utile pour dĂ©terminer un cadre juridique prohibant ces clauses “abusives” est dans son ensemble trĂšs dĂ©fensive, puisqu’elle ne s’intĂ©resse qu’aux aspects nĂ©gatifs des clauses, sans observer le transfert de technologie en lui-mĂȘme5. 6 in Barkat, 1980 44D’autres approches comparent les contacts directs entre experts, entre entreprises, stages, confĂ©rences et les contacts indirects, oĂč une entreprise du pays Ă©metteur transmet Ă  des fournisseurs individuels des connaissances techniques par la crĂ©ation d’une filiale, d’une joint-venture, ou la vente d’un projet industriel. Cooper 19716 note que les rares informations disponibles indiquent que les transferts directs sont limitĂ©s. 45Nous prĂ©sentons ci-dessous la typologie dĂ©veloppĂ©e par Kahn 1977 et qui regroupe “les processus d’acquisition de la technologie autour de deux figures contractuelles principales dont l’histoire et les techniques juridiques utilisĂ©es sont trĂšs diffĂ©rentes”. Il s’agit d’une part des contrats d’investissement direct et contrats dĂ©rivĂ©s et d’autre part des contrats de vente de projets industriels, des biens d’équipement et contrats dĂ©rivĂ©s. LES CONTRATS D’INVESTISSEMENT DIRECT LE CONTRAT D’INVESTISSEMENT DIRECT PAR CRÉATION DE FILIALES 46Dans ce genre de contrat, l’investisseur Ă©tranger contrĂŽle Ă  100 % la filiale installĂ©e Ă  l’étranger. Cette modalitĂ© de transfert est plutĂŽt un transfert de technologie entre la sociĂ©tĂ© mĂšre Ă©trangĂšre et sa filiale. Vis-Ă -vis du pays hĂŽte, les engagements de l’investisseur s’expriment dans la rĂ©alisation de l’investissement lui-mĂȘme, la formation d’une main-d’oeuvre locale surtout de bas niveau, l’emploi de cadres locaux. Pour le pays de rĂ©ception, il faut souligner que le transfert de technologie est exclu. Comme la sociĂ©tĂ© mĂšre conserve un contrĂŽle total sur sa filiale, les transferts de connaissances ne font l’objet d’aucune diffusion dans l’environnement local, sauf Ă©ventuellement dans le cas oĂč les salariĂ©s de cette filiale changent d’emploi et appliquent dans d’autres entreprises du pays, le savoir faire qu’ils ont acquis. TABLEAU ÉVALUATION PRÉALABLE D’UN PROJET D’ASSOCIATION POUR UN TT TABLEAU QUESTIONS À SE POSER POUR ÉVALUER UN PARTENAIRE ÉTRANGER POTENTIEL DANS UN ACCORD DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIE 7 Essentiellement dans les “parcs industriels” de Ciudad Juarez, Nuevo Laredo, Matamoros, Mexicali e ... 47Un bon exemple est celui des “maquiladoras”, ces centres manufacturiers appartenant Ă  des entreprises amĂ©ricaines qui, dans le cadre d’un programme gouvernemental mexicain soutenu par le gouvernement US, le B P. Border Industrialization Program ont dĂ©localisĂ© une partie de leur production au Mexique7 pour profiter d’une main-d’oeuvre moins chĂšre. MalgrĂ© les plaintes de certains membres du congrĂšs US qui considĂšrent le B P. comme un “tueur d’emplois”, ce programme a permis une stabilisation de la main d’oeuvre Ă  la frontiĂšre et les infusions de technologie et de capitaux US ont fini par donner Ă  la rĂ©gion frontaliĂšre une assise technologique lui permettant de gĂ©nĂ©rer son propre dĂ©veloppement. Schwartz, 1987. LE CONTRAT D’INVESTISSEMENT DIRECT PAR JOINT-VENTURES 48La joint-venture est une forme d’investissement direct des firmes multinationales. C’est un principal dĂ©rivĂ© de l’investissement direct qui correspond Ă  des amĂ©nagements de ce dernier en raison de l’évolution internationale. A noter que pour les pays en voie de dĂ©veloppement, ce n’est pas l’ensemble de la technologie maĂźtrisĂ©e par le partenaire Ă©tranger qui est concernĂ©e, mais seulement les Ă©lĂ©ments mis au service de la joint-venture et dont les aspects particuliers sont dĂ©finis clairement par les accords entre les partenaires. “Tout accord technique autre que celui dĂ©crit par les accords fera l’objet de contrats nĂ©gociĂ©s entre le partenaire Ă©tranger et la joint-venture” Kahn, 1977. 8 DĂ©nomination des pays Ă©ligibles au Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement et signifiant Afrique-CaraĂŻbes- ... 49Dans le cas de cette forme de sociĂ©tĂ©, comme nous l’avons dĂ©jĂ  mentionnĂ©, le partenaire Ă©tranger est choisi en raison de ses capitaux, de sa compĂ©tence technique, de sa capacitĂ© Ă  construire et Ă  faire fonctionner la joint-venture ou de son aptitude Ă  commercialiser le produit. Les joint-ventures se sont dĂ©veloppĂ©s depuis une vingtaine d’annĂ©es, Ă  la fois dans les pays dĂ©veloppĂ©s Ă  Ă©conomie de marchĂ©, dans les pays de l’Europe de l’Est dans le cadre de leurs politiques de libĂ©ration des Ă©changes, en Chine et dans les nouveaux pays industriels. Ils ont Ă©galement constituĂ© une rĂ©ponse Ă  la baisse des investissements français en Afrique. De 1972 Ă  1988, 400 projets de sociĂ©tĂ©s mixtes furent signĂ©s dans les pays ACP8 par des industriels français. Certaines sociĂ©tĂ©s, malgrĂ© leur politique traditionnelle d’investissements Ă  l’étranger basĂ©e sur la crĂ©ation de filiales contrĂŽlĂ©es Ă  100 %, furent contraintes d’opter pour ce mode de prĂ©sence Michelin en CorĂ©e et en ThaĂŻlande, IBM en Argentine et au BrĂ©sil
. 9 en anglais adventure 10 Source “La joint venture”, MOCI, 25 janvier 88 50La joint venture implique une association avec un partenaire Ă©tranger et la mise en commun des moyens et des risques9. C’est un “mariage” qui confĂšre un Ă©gal accĂšs aux dĂ©cisions ; le principe de la paritĂ© prĂ©valant sur la rĂšgle de la majoritĂ©10. Selon Harrigan 1985, lors de la crĂ©ation d’une sociĂ©tĂ© conjointe on n’accorde pas assez d’attention Ă  la question de savoir comment les relations entre les partenaires peuvent ĂȘtre organisĂ©es. En fait, la participation rĂ©elle du partenaire local dĂ©pend de la culture des dirigeants. Si l’entreprise dans le pays d’accueil est dirigĂ©e par des financiers ou des commerciaux peu soucieux de dĂ©velopper des compĂ©tences technologiques, la joint venture risque de n’ĂȘtre qu’une “filiale dĂ©guisĂ©e” contrĂŽlĂ©e de fait par le partenaire Ă©tranger. L’assouplissement d’une politique systĂ©matique de crĂ©ation de sociĂ©tĂ©s conjointes par exemple au Maroc Ă  l’époque de la marocanisation provient de cette prise de conscience chez les responsables politiques qu’une participation au capital n’est pas une condition suffisante Ă  un transfert rĂ©el de technologie. 51Inversement, certains États, qui dans des secteurs considĂ©rĂ©s comme stratĂ©giques, ont dĂ©cidĂ©s de dĂ©velopper une technologie nationale, ont prĂ©fĂ©rĂ© promouvoir une industrie Ă  partir d’entreprises Ă  capitaux intĂ©gralement nationaux. La fabrication de produits nationaux Ă  partir d’une politique d’imitation des produits Ă©trangers Ă©tant difficilement concevable dans une sociĂ©tĂ© conjointe associant un industriel local et un producteur Ă©tranger Drouvot & Ruiz, 1989. 52Selon Harrigan 1986, la forte progression aux États-Unis du nombre de joint-ventures des annĂ©es 1970, s’explique par divers facteurs La dĂ©rĂšglementation Ă©conomique Des entreprises soucieuses d’accĂ©der rapidement Ă  un marchĂ© vont perturber le jeu concurrentiel en s’associant avec des industriels prĂ©sents dans ce domaine d’activitĂ©. Les changements technologiques rapides Les produits Ă  haute technologie peuvent nĂ©cessiter une pĂ©nĂ©tration rapide des marchĂ©s, et les risques d’obsolescence et de copiage ne permettent pas toujours Ă  une entreprise innovatrice de crĂ©er son propre rĂ©seau de distribution. Cette contrainte de temps justifie alors une association avec une firme qui contrĂŽle des circuits de vente. Par ailleurs, si l’innovation technologique devient, dans de nombreux secteurs, l’avantage compĂ©titif clĂ©, les alĂ©as affĂ©rents aux activitĂ©s de recherche et des coĂ»ts trĂšs Ă©levĂ©s en recherche et dĂ©veloppement peuvent justifier une stratĂ©gie de coopĂ©ration avec un concurrent ou une sociĂ©tĂ© apportant une complĂ©mentaritĂ© technologique client, fournisseur, etc.. Les besoins en capital Dans les secteurs trĂšs capitalistiques, les investissements nĂ©cessaires pour rĂ©aliser des unitĂ©s de production peuvent ĂȘtre trĂšs importants pĂ©trochimie et les facteurs d’économie d’échelle nĂ©cessitent que les sociĂ©tĂ©s de taille moyenne s’associent dans des projets ayant une dimension suffisante pour garantir la rentabilitĂ© de l’investissement. Les barriĂšres institutionnelles Ă  l’entrĂ©e Comme nous l’évoquerons dans le cas des pays soucieux de promouvoir une industrie sur des bases nationales, la crĂ©ation de joint-ventures peut ĂȘtre une contrainte imposĂ©e par des gouvernements. Cette politique pouvant concerner un nombre plus ou moins important de secteurs industriels matĂ©riel militaire aux États-Unis. Le cas particulier des industries en maturitĂ© sur des marchĂ©s en phase de maturitĂ©, les firmes concurrentes peuvent dĂ©cider de rĂ©aliser entre elles des sociĂ©tĂ©s mixtes afin de rĂ©duire en commun des capacitĂ©s de production excĂ©dentaires ou de revitaliser la structure industrielle par des investissements conjoints. Dans une perspective voisine, la raretĂ© accrue des ressources disponibles dans une industrie est un facteur incitatif Ă  la mise en oeuvre de stratĂ©gies d’alliances. Celles-ci permettent d’éviter les risques d’une concurrence ruineuse ou de garantir des sources d’approvisionnement. 53L’énumĂ©ration de ces divers facteurs, qui justifient le choix d’une stratĂ©gie conjointe, fait apparaĂźtre que cette option s’impose en fonction de diffĂ©rentes contraintes contraintes liĂ©es Ă  des insuffisances de capacitĂ©s et de ressources, contraintes externes issues de l’environnement concurrentiel ou institutionnel. Dans un secteur industriel donnĂ©, ces contraintes constituent des limites qui empĂȘchent le dĂ©veloppement d’une firme par l’emploi exclusif de ses propres moyens. Ainsi, une joint venture est-elle constituĂ©e lorsque des sociĂ©tĂ©s ne peuvent pas ou ne veulent pas atteindre seules des objectifs Ă©conomiques. L’incapacitĂ© peut provenir de difficultĂ©s financiĂšres, technologiques, commerciales ou institutionnelles. LA VENTE DE PROJETS INDUSTRIELS, DES BIENS D’ÉQUIPEMENTS ET CONTRATS DÉRIVÉS. 54Le transfert de technologie se produit par l’intermĂ©diaire des diffĂ©rents accords passĂ©s sous forme de contrats entre l’émetteur et le rĂ©cepteur. Weisz, 1985. LA CESSION DE LICENCE 11 Le brevet est le systĂšme lĂ©gal qui revient Ă  accorder au propriĂ©taire d’une invention le droit exc ... 55Il faut dĂ©finir tout d’abord la notion de licence. Il s’agit “d’un contrat par lequel le concessionnaire obtient le droit de fabriquer et de vendre certains produits en utilisant des inventions, des procĂ©dĂ©s, des techniques et d’autres droits de propriĂ©tĂ© appartenant au titulaire de brevets” ONUDI, 197411. Le contrat de licence peut Ă©galement ĂȘtre accompagnĂ© de droits Ă  l’utilisation de marques de fabrique ou de commerce, de dessins ou modĂšles industriels, du savoir-faire, de la formation technique ou d’autres Ă©lĂ©ments liĂ©s au transfert de technologie. LA VENTE DE PROJETS INDUSTRIELS 56La vente de projets industriels a connu une progression spectaculaire lorsque certains pays en voie de dĂ©veloppement ont bĂ©nĂ©ficiĂ©s de ressources financiĂšres importantes principalement les pays pĂ©troliers aprĂšs 1973. La prestation principale reste la conception et/ou la fourniture d’un ensemble industriel qu’accompagnent souvent des prestations accessoires telles que l’assistance technique, la formation, etc. Cette vente de projets industriels aux pays en voie de dĂ©veloppement se traduit sous deux formes principales LE CLÉ EN MAIN 57Il consiste en la livraison par le fournisseur d’une usine complĂšte prĂȘte Ă  fonctionner et comprend aussi bien l’étude de gĂ©nie civil que l’agencement des locaux ou la fourniture et le montage du matĂ©riel. Le fonctionnement de l’ensemble livrĂ© est garanti. Les avantages de ce type de contrat sont la possibilitĂ© de produire rapidement sans avoir Ă  refaire seul toutes les Ă©tudes et tous les calculs d’ingĂ©nierie et la cohĂ©rence du projet et l’expĂ©rience du fournisseur de technologie garantie des dĂ©lais assez courts et un fonctionnement correct, sans que les Ă©ventuelles responsabilitĂ©s de mauvais fonctionnement soient partagĂ©es entre plusieurs fournisseurs. LE PRODUIT EN MAIN 12 Encore en 1985, la France Ă©tait le troisiĂšme exportateur mondial et le premier exportateur europĂ©e ... 58Face aux diffĂ©rentes contraintes liĂ©es au contrĂŽle de l’usine livrĂ©e clĂ© en main, l’idĂ©e s’est imposĂ©e de “contrĂŽler non plus l’unitĂ© de production mais le produit final” Judet & Perrin, 1976. Les limites du clĂ© en main sont apparues assez vite le matĂ©riel livrĂ© ne garantit pas le maintien d’une production en quantitĂ© et qualitĂ© lors du dĂ©part des techniciens Ă©trangers et le fait d’axer le contrat sur les moyens de production ne permet pas de profiter d’éventuels changements de technologie, sauf par une renĂ©gociation complexe et longue. Le produit en main, lui, apporte une garantie de rĂ©sultat la formation du personnel est prĂ©vue dĂšs le dĂ©part ainsi que la transmission du savoir-faire de production. S’agissant des contrats de bĂątiments ou de travaux publics, la France a particuliĂšrement dĂ©veloppĂ© cette activitĂ© Ă  une Ă©poque oĂč les pays du Tiers Monde Ă©taient encore solvable12 dĂ©cennie 1970. LES CONTRATS DÉRIVÉS LES CONTRATS D’INGÉNIERIE 59Ils concernent les fonctions allant de la conception et des Ă©tudes Ă  la responsabilitĂ© de la construction et au contrĂŽle des Ă©quipements d’une installation technique ou industrielle. Ils concernent en fait la vente de services orientĂ©s vers les problĂšmes techniques. LES CONTRATS DE FORMATION 60Ils engagent l’entreprise Ă©trangĂšre Ă  prendre en charge Ă  titre principal la formation professionnelle des membres du personnel ouvriers et cadres de l’entreprise locale. Cela peut gĂ©nĂ©ralement s’opĂ©rer par une assistance pĂ©dagogique aux centres de formation propres Ă  l’entreprise, ou en intervenant directement avec un programme spĂ©cifique et une Ă©quipe autonome. TABLEAU LES DIFFÉRENTS TYPES DE CONTRAT VERNA, 1989 LES CONTRATS D’ORGANISATION ET DE GESTION 61Ils consistent Ă  mettre en place une structure de gestion suivant l’organisation qui est mise en place dĂ©finition des fonctions, des principaux postes de responsabilitĂ©, crĂ©ation d’équipes de travail. La gestion du transfert de technologie en elle-mĂȘme occupe une grande place dans ces contrats. LES CONTRATS D’ASSISTANCE TECHNIQUE 62Ils accompagnent les contrats de “clĂ©s en mains”. “Les opĂ©rations d’assistance technique couvrent une gamme de fonctions allant de l’ingĂ©nierie en tant qu’activitĂ© de conception, Ă  la commercialisation du produit ou mĂȘme au service aprĂšs-vente” Barkat, 1980. LES CONTRATS DE SOUS-TRAITANCE INTERNATIONALE 63C’est “le systĂšme par lequel l’entrepreneur substitue Ă  sa production celle d’une autre firme situĂ©e dans un autre pays tenue de se conformer strictement aux spĂ©cifications Ă©conomiques et techniques Ă©tablies par l’entrepreneur qui, en outre, reste responsable du marketing” Germidis, 1976. Il faut souligner que cette forme de transfert de technologie permet aux pays en voie de dĂ©veloppement de rĂ©soudre certains problĂšmes tels que le chĂŽmage, mais peut constituer un canal effectif d’acquisition technologique. Cette pratique peut aussi mener les Ă©conomies des pays en voie de dĂ©veloppement Ă  un dĂ©veloppement orientĂ© vers l’extĂ©rieur en crĂ©ant notamment des activitĂ©s dans des zones franches. LA COMPENSATION INDUSTRIELLE OU RACHAT13 13 en anglais buy back 64“On conclut des accords de rachat lorsque l’exportateur vend une technologie ou une usine “clefs en main” dont le paiement sera en partie effectuĂ© par les produits fabriquĂ©s Ă  l’aide des moyens de production vendus, le complĂ©ment pouvant se faire par transferts de fonds ou par fournitures d’autres produits” Paillard, 1986. Ces formules de coopĂ©ration industrielle permettent au client d’autofinancer son projet, d’accĂ©der Ă  une technologie rĂ©cente et de s’appuyer sur le concours de son fournisseur pour la commercialisation Ă  l’étranger de la production de ces Ă©quipements. Pour le fournisseur, ces contrats doivent prĂ©voir de façon prĂ©cise les conditions de reprise des produits montant, nature, dĂ©lais
, tĂąche d’autant plus difficile qu’il existe toujours un dĂ©lais plus ou moins long entre la date de signature du contrat et le dĂ©marrage des opĂ©rations de rachat de la production. Compte tenu de la pĂ©nurie de devises qui caractĂ©risent aujourd’hui les pays de l’Europe de l’Est, il est probable que ce type de contrat, ainsi que celui de sous-traitance internationale connaissent une plus grande diffusion dans le cadre de l’ouverture de ces Ă©conomies Sinet, 1989. LES TYPES DE CONTRAT DU TRANSFERT DE TECHNOLOGIE AU BRÉSIL 65Il est intĂ©ressant, Ă  titre d’exemple, d’indiquer les catĂ©gories dĂ©finies par l’Institut National de la PropriĂ©tĂ© Industrielle du BrĂ©sil INPI, pour classer les diffĂ©rents modes de transferts. Tout contrat nĂ©gociĂ© entre un partenaire Ă©tranger et un partenaire brĂ©silien doit s’inscrire dans les catĂ©gories contractuelles de l’Acte Normatif nl5 du 11 septembre 1975. Cinq types de contrat sont ainsi dĂ©gagĂ©s. Contrat LEP - Licence pour l’Exploitation des brevets Il a pour but d’autoriser l’exploitation effective, par un tiers, de l’objet du brevet, il est rĂ©guliĂšrement dĂ©posĂ©e ou accordĂ©e dans le pays, par le droit de propriĂ©tĂ© industrielle. Contrat FTI - Fourniture de Technologie Industrielle Il a pour but l’acquisition de connaissances et techniques non soutenues par des droits de propriĂ©tĂ© industrielle14 dĂ©posĂ©s ou accordĂ©s dans le pays, et qui devront ĂȘtre appliquĂ©es dans la production de bien de consommations ou de composants en gĂ©nĂ©ral contrat de know-how. Contrat LUM - Licence pour l’Utilisation d’une Marque Il est destinĂ© Ă  autoriser spĂ©cifiquement, l’emploi effectif, par des tiers, d’une marque ou publicitĂ© rĂ©guliĂšrement dĂ©posĂ©e ou enregistrĂ©e au pays, constituant un droit de propriĂ©tĂ© industrielle. Contrat CTI - CoopĂ©ration Technico-Industrielle Il a pour but l’acquisition de connaissances, de techniques et des services nĂ©cessaires Ă  la fabrication d’unitĂ©s et sous-unitĂ©s industrielles de machines, d’équipements, et leurs composantes et d’autres biens d’équipement sur commande contrat de know-how. Contrat STE - Service Technique SpĂ©cialisĂ© Il a pour but la planification, la programmation et l’élaboration d’études et projets, de mĂȘme que l’exĂ©cution et la prestation de services de type spĂ©cialisĂ©, dont a besoin le systĂšme production du pays. 66Le premier type de contrat LEP - Licence pour exploitation des Brevets, c’est-Ă -dire le droit d’usage de la technologie couverte par un droit de propriĂ©tĂ©, comprend ce qui est rĂ©ellement transfĂ©rĂ©. L’acte juridique de la concession de know-how, prĂ©sentĂ© dans le deuxiĂšme contrat FTI - Fourniture de Technologie Industrielle et dans le troisiĂšme contrat CTI - CoopĂ©ration Technico-Industrielle, ne consiste pas en un transfert de propriĂ©tĂ©, le seul droit transmis Ă©tant le droit d’exploitation. Siemsen, 1988.
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