ChaquesalariĂ© dispose de 30 jours ouvrables de congĂ©s payĂ©s pour une annĂ©e entiĂšre, mais on distingue les congĂ©s payĂ©s principaux (les 4 premiĂšres semaines) et la 5e semaine. La pĂ©riode lĂ©gale de prise de congĂ©s s’étend entre le 1er mai et le 31 octobre. Pendant cette pĂ©riode, le salariĂ© doit prendre au minimum 12 jours ouvrables

Chaque annĂ©e il est bon de ne pas passer le rĂ©veillon sur l’annĂ©e tout l’esprit initiatique de faire du vide pour ÊTRE cette annĂ©e 2021 Ă©prouvante, c’est encore plus passons pas le rĂ©veillon avec les doutes, les souffrances et les deuils sur notre 31 ?? La pastille-vidĂ©o du moment dans le programme Hiver de L’Esprit des Saisons Escale 1, la dimension Ă©nergĂ©tique Un rituel de fin d’annĂ©e Se mettre sur son 31 Le positionnement de soi aprĂšs le nouvel an Les 12 premiers jours de l’annĂ©e Escale 2, la dimension initiatique Se mettre sur son 31 initiatique Le premier de l’an Les douze premiers jours de l’annĂ©e La co-crĂ©ation initiatique des 12 premiers jours de l’annĂ©e Le travail initiatique du repositionnement de soi aprĂšs le nouvel an Escale 3, la dimension spirituelle Le 30 dĂ©cembre se mettre sur son 31 spirituel Une pratique quantique de transformation de soi Le mantra d’Arouna du moment Les Ă©preuves de 2021 vous ont sĂ»rement apportĂ© de la sagesse+, maturitĂ©+, volontĂ©+, conscience+ ou d’autres choses + Faites votre mantra en nommant un beau nouveau “Je suis” Je suis aujourd’hui ++++++ > En savoir plus sur le programme d’Arouna L’Esprit des Saisons Libre-accĂšs Ă  l'enseignement d'Arouna Comment s’inscrire pour voir les cours-vidĂ©o ? L’enseignement d’Arouna est en libre-accĂšs sur inscription. Ce n’est pas pour autant gratuit. Nous annonçons le tarif-juste-pour-nous. Vous faites votre tarif-juste selon ce que vous sentez/pensez juste pour vous. C’est une Ă©conomie de Don-Échange>> S’inscrire aux cours-vidĂ©o L’inscription Ă  l’École en ligne donne libre-accĂšs Ă  tous les cours-vidĂ©os. Vous ne voulez voir que quelques cours ? Faites un paiement ponctuel, Ă  la carte, comme vous paieriez une place de cinĂ©ma, un DVD ou une VOD. Vous dĂ©sirez essayer “pour voir” ? – Inscrivez-vous Ă  0€, regardez et dĂ©cidez 🙂 – AprĂšs une pĂ©riode d’essai d’une durĂ©e raisonnable, faites votre paiement. – Évaluez ce que vous recevez de l’enseignement d’Arouna pour dĂ©cider votre tarif-juste en fonction de vos possibilitĂ©s rĂ©elles. Inscriptions SpĂ©cifiques UniversitĂ©s, Ateliers, Bulletins, etc. L’accĂšs aux UniversitĂ©s, ateliers spĂ©ciaux, bulletins Au Fil du RĂ©el se fait par des inscriptions spĂ©cifiques, Ă©galement en Don-Échange. S'inscrire au Bulletins Au Fil du RĂ©el S'inscrire aux UniversitĂ©s toutes les inscriptions

Jai Ă©galement fait ce tirage en me reliant Ă  une tradition Ă©sotĂ©rique disant que les 12 premiers jours de l’annĂ©e correspondent aux 12 mois de l’annĂ©e qui commence. Le 22Ăšme Dimanche du Temps Ordinaire – AnnĂ©e CLuc 14, HomĂ©lie du dimanche 28 aoĂ»t PubliĂ© le 22 aoĂ»t 2022 Facebook Twitter Linkedin WhatsApp Dimanche 28 aoĂ»t 2022 VINGT-DEUXIEME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE RĂ©fĂ©rences bibliques Lecture du livre de Ben Sirac le Sage. 3. 17 Ă  29 Accomplis toute chose dans l’humilitĂ©. »Psaume 67 BĂ©ni soit le Seigneur ! Il Ă©lĂšve les humbles. »Lecture de la lettre de saint Paul aux HĂ©breux. 12. 18 Ă  24 Vous ĂȘtes venus vers JĂ©sus, le mĂ©diateur de l’Alliance nouvelle. »Evangile selon saint Luc 14. 1 Ă  14 Tu seras heureux car ils n’ont rien Ă  te rendre. » Un jour de sabbat,JĂ©sus Ă©tait entrĂ© dans la maison d’un chef des pharisienspour y prendre son repas,et ces derniers l’observaient. JĂ©sus dit une parabole aux invitĂ©slorsqu’il remarqua comment ils choisissaient les premiĂšres places,et il leur dit Quand quelqu’un t’invite Ă  des noces,ne va pas t’installer Ă  la premiĂšre place,de peur qu’il ait invitĂ© un autre plus considĂ©rĂ© que toi. Alors, celui qui vous a invitĂ©s, toi et lui,viendra te dire CĂšde-lui ta place’ ;et, Ă  ce moment, tu iras, plein de honte, prendre la derniĂšre place. Au contraire, quand tu es invitĂ©,va te mettre Ă  la derniĂšre quand viendra celui qui t’a invitĂ©, il te dira Mon ami, avance plus haut’,et ce sera pour toi un honneuraux yeux de tous ceux qui seront Ă  la table avec toi. En effet, quiconque s’élĂšve sera abaissĂ© ;qui s’abaisse sera Ă©levĂ©. » JĂ©sus disait aussi Ă  celui qui l’avait invitĂ© Quand tu donnes un dĂ©jeuner ou un dĂźner,n’invite pas tes amis, ni tes frĂšres,ni tes parents, ni de riches voisins ;sinon, eux aussi te rendraient l’invitationet ce serait pour toi un don en retour. Au contraire, quand tu donnes une rĂ©ception,invite des pauvres, des estropiĂ©s,des boiteux, des aveugles ; heureux seras-tu,parce qu’ils n’ont rien Ă  te donner en retour cela te sera rendu Ă  la rĂ©surrection des justes. » La derniĂšre place,par Marcel Domergue La scĂšne Ă©voquĂ©e par la parabole de notre Ă©vangile a peu de chances de se produire de nos jours. Et du temps de JĂ©sus ? Ce n’est pas sĂ»r. Peu importe, l’essentiel n’est pas lĂ . Bizarrement JĂ©sus nous invite Ă  enfreindre la justice et la logique, car enfin il n’est pas normal que cet invitĂ© aille prendre la derniĂšre place puisque son hĂŽte juge qu’il doit monter plus haut ». Les hommes ont mis de l’injustice dans le monde. Dieu va-t-il autoritairement rĂ©tablir l’ordre ? Pas du tout, il va au contraire entrer dans l’injustice humaine, se faire injuste. En effet, si Dieu s’en tenait Ă  la justice, nous serions tous condamnĂ©s. L’injustice de Dieu s’appelle pardon, pardon sans raison, injustifiĂ©. C’est pourquoi le Fils, qui devrait logiquement occuper la premiĂšre place, vient prendre la derniĂšre. Une fois de plus il faut se souvenir de Philippiens 2,5-11 Lui, de condition divine, n’a pas voulu faire valoir son Ă©galitĂ© avec Dieu mais il s’est anĂ©anti lui-mĂȘme, prenant condition d’esclave
 » C’est pourquoi, continue le texte, Dieu lui a donnĂ© le nom au-dessus de tout nom, le nom divin, imprononçable. Remarquons que ce passage de la lettre aux Philippiens est construit selon un schĂ©ma absolument identique Ă  celui de notre parabole. L’injustice des hommes va conduire Ă  la crucifixion de JĂ©sus, l’injustice de Dieu va consister Ă  venir prendre, en son Fils, cette place choisie pour lui par l’injustice humaine. L’orgueil est un faux remĂšde Ă  la crainte La premiĂšre place ? Qu’est-ce qui se cache derriĂšre la recherche de la premiĂšre place ? La premiĂšre lecture nous dit l’orgueil. Mais qu’est ce que l’orgueil ? Dans bien des Ɠuvres littĂ©raires, l’orgueil est louĂ© comme une vertu. En fait, l’orgueil est le rĂ©sultat d’une dĂ©marche mentale pour conjurer la peur primordiale de manquer, de ne pas ĂȘtre assez, de n’avoir pas assez de consistance. L’orgueil est un faux remĂšde Ă  la crainte, le vrai remĂšde Ă©tant la foi. L’orgueil nous donne l’illusion de valoir par nous-mĂȘmes alors que la foi nous fait compter sur un autre, sur d’autres. L’orgueil isole, la foi relie. L’orgueil nous fait croire que notre valeur dĂ©passe celle des autres premiĂšre place, que ce que nous ne connaissons pas ou connaissons mal est mĂ©prisable. L’orgueilleux a toujours raison. Le plus grand est celui qui Ă©coute Pour lui, tous les autres sont en quelque sorte des vassaux. Nous retrouvons tout cela dans nos lectures, mais la derniĂšre phrase du texte de Sirac peut nous dĂ©concerter L’idĂ©al du sage est une oreille qui Ă©coute. » C’est que l’orgueilleux, contraire du sage, trouve tout, croit tout trouver, en lui-mĂȘme. Le sage, lui, sait qu’il a besoin de l’autre, du diffĂ©rent, et se laisse instruire, modifier, par la parole de l’autre. Nous sommes loin d’une leçon de morale sur l’orgueil et l’humilitĂ© ; il s’agit d’exister en vĂ©ritĂ© ou d’ĂȘtre aveuglĂ©s par l’erreur. Le plus grand est celui qui Ă©coute. Retour Ă  l’équilibre L’orgueilleux a sa rĂ©compense lui-mĂȘme en sa valeur. Comment peut-il perdre de vue qu’il est promis Ă  la mort et qu’il ne pourrait trouver permanence que dans un Autre ? Prenons le mot rĂ©compense en son sens de compensation, de rĂ©tablissement d’une Ă©quitĂ© perdue. Il est Ă©vident que le premier qui se fait le dernier, le seigneur qui se met en condition d’esclave mettent au monde une injustice ». La balance, dont les plateaux devraient s’équilibrer, penche d’un cĂŽtĂ©. La conduite de celui qui, Ă  l’image du Christ, se met dans la situation de celui qui sert, crĂ©e un dĂ©sĂ©quilibre qui doit ĂȘtre compensĂ© pour que tout retrouve sa juste place, un vide qui doit ĂȘtre comblĂ©, comme va se trouver comblĂ© le vide qui prĂ©cĂšde, si l’on peut dire, la crĂ©ation. Dieu va compenser, re-compenser, la bĂ©ance creusĂ©e par celui qui n’a pas voulu prendre ce Ă  quoi il avait droit. Ainsi pour l’invitĂ© qui se met Ă  la derniĂšre place. Ce thĂšme est largement dĂ©veloppĂ© dans le discours sur la montagne, en Matthieu 6,1-18. Ceux qui font l’aumĂŽne, prient ou jeĂ»nent pour se faire admirer obtiennent l’admiration dĂ©sirĂ©e ils ont leur compensation. Au contraire ceux qui agissent dans le secret pour Dieu et les autres crĂ©ent un dĂ©sĂ©quilibre. C’est le PĂšre qui compensera. Ainsi sera rĂ©tablie la justice. Mais pour cela, on l’a dit, il faudra que le PĂšre se soumette Ă  notre injustice. Imitons-le. Ils Ă©lisaient la premiĂšre place Je vous connais », dit volontiers JĂ©sus Ă  ses auditeurs. Sa fine perception de ce qu’il y a en l’homme est lumineuse ce dimanche. Il ne lui Ă©chappe pas que, chez le chef des pharisiens, les convives se poussent du col » pour accĂ©der Ă  ce qu’il y a de premier. Le naturel n’est-il pas ce qui rĂ©vĂšle le mieux qui nous sommes ? Plusieurs exĂ©gĂštes soulignent que la forme verbale employĂ©e par Saint Luc est ils Ă©lisent » les premiĂšres places. Autrement dit, ils font choix pour eux. Il ne leur viendrait pas Ă  l’idĂ©e que le plan de table » les rĂ©trograde. Pas de doute, le pour soi » prĂ©domine. Non seulement chacun s’estime digne du plus haut rang, mais une rĂ©ciprocitĂ© intĂ©ressĂ©e habite les esprits ĂȘtre, ce soir, un commensal gratifiĂ© de vaine gloire consiste Ă  vivre un prĂȘtĂ© pour un rendu » le soir suivant. L’obsĂ©quiositĂ© est reine. Le systĂšme clĂŽt sur eux-mĂȘmes des ĂȘtres imbus. JĂ©sus dĂ©ploie sa remarquable parabole en deux percussions toi qui te crois le plus grand, as-tu seulement songĂ© qu’il puisse y avoir plus honorable que toi ? Toi qui honores autrui parce qu’autrui t’honore, sais-tu Ă  quoi ressemble le Royaume ? Double interpellation de la part du Christ ! En premier lieu, ta suffisance t’aveugle sur les qualitĂ©s de tes frĂšres. En second lieu, le repas du Royaume conviera ceux qui ont rang aux yeux de Dieu. Par sa mort et sa rĂ©surrection, JĂ©sus Ă©lĂšve, Ă  l’infini de son Amour, ceux que son cƓur choisit parce que
 nul ne les choisit pauvres, estropiĂ©s, boiteux, aveugles
 Aucun d’eux n’a capacitĂ© Ă  rendre ce qu’il n’a jamais eu. La parabole renverse toute perspective. Le retour » dont parle ici Saint Luc est sans commune mesure avec le protocole mondain qui, finalement, ne rĂ©serve aucune autre surprise que la rĂ©plique flatteuse du privilĂšge. Ce que Dieu rend » au petit est incomparablement ineffable vie surabondante, tendresse, dignitĂ©, justice, Ă©ternitĂ© ! La MĂšre de JĂ©sus chante Dieu qui Ă©lĂšve les humbles ! Parce que JĂ©sus a consenti pour sa personne un abaissement, que la sagesse humaine ne sait concevoir, il lui est donnĂ© de rĂ©aliser en son ĂȘtre abaissĂ© » le relĂšvement du plus petit. JĂ©sus, que le rang Ă©gale Ă  Dieu, a pleine autoritĂ© pour nous exhorter, par la voix de l’apĂŽtre, Ă  considĂ©rer autrui supĂ©rieur Ă  nous-mĂȘmes. Disant cela, il ne fait pas une morale thĂ©orique aux mondains que nous demeurons viscĂ©ralement. Bien plus ! Par sa Vie, plus forte que tout, il incarne le Royaume dĂ©sirĂ© par son PĂšre. Ne commettons donc pas l’erreur de rĂ©server la parabole aux pharisiens endurcis. Dans une Église qui a indĂ©niablement pris un chemin de simplicitĂ© Ă©vangĂ©lique depuis quelques dĂ©cennies, la tentation serait grande de croire qu’est achevĂ©e, une fois pour toutes, cette conversion dĂ©cisive. L’abus de pouvoir, la quĂȘte de notoriĂ©tĂ©, le centrement sur nous-mĂȘmes de certitudes novatrices, l’art de se rendre indispensable, la non-estime des vocations diffĂ©rentes de soi, l’autoritarisme, la sĂ©duction, sont autant de maniĂšres contemporaines de laisser le pharisaĂŻsme des premiĂšres places s’insinuer en nos cƓurs. Se voir d’un Ɠil trop flatteur fait perdre tout sens du bien », dit le psalmiste. Convertissons notre personne. Elle est trop prĂ©occupĂ©e d’elle-mĂȘme. OĂč que nous allions, l’important est que ce soit en Dieu. Une supĂ©rieure venait d’ĂȘtre Ă©lue pour sa CongrĂ©gation. Elle insistait lourdement sur le fait que ses SƓurs avaient choisi la derniĂšre. Elle finit par en agacer une. Certes, Dieu ne choisit pas les meilleures. Mais ĂȘtre choisies par Lui doit rendre meilleures. » À bon entendeur ! La parabole du festin est pour tous les hommes. Nous ne tĂ©moignerons de leur grandeur aux yeux de Dieu qu’en communiant de toute notre personne Ă  l’abaissement de JĂ©sus. P. Bernard Podvin A la table de JĂ©sus Les repas auxquels JĂ©sus assiste sont pour lui la promesse du festin de noce Ă©ternel du Royaume des cieux auquel tous sont conviĂ©s, sans exception. Par Anne Soupa, bibliste. “Dis-moi ce que tu manges et avec qui tu manges, et je te dirai qui tu es.” De fait, manger est un geste grave on peut devenir malade ou mourir d’avoir mal mangĂ©. S’ajoute Ă  cela qu’ouvrir la bouche, l’un des orifices du corps, dĂ©pecer de la nourriture, mastiquer, Ă©mettre des hoquets ou des renvois peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un geste intime qui ne supporte pas de tĂ©moins. Enfin, la nourriture renvoie aux premiers moments de la vie. Autant de bonnes raisons pour que le monde antique ait entourĂ© les repas d’une rĂ©vĂ©rence craintive. La notion d’impuretĂ© Le monde juif a abondamment lĂ©gifĂ©rĂ© sur les animaux purs et impurs Lv 11, sur les maladies ou la bonne hygiĂšne, qui imposent des rĂšgles de puretĂ© rituelle Lv 12-15 et dĂ©terminent les conditions du compagnonnage de table, et enfin sur les conditions de puretĂ© requises pour consommer les animaux sacrifiĂ©s Ă  Dieu Lv 22. L’impuretĂ© Ă©tait une notion essentielle en ces temps-lĂ . Malades lamaladie Ă©tait considĂ©rĂ©e comme une punition divine consĂ©cutive Ă  un pĂ©chĂ© et personnes au mĂ©tier peu recommandable, comme la collecte des impĂŽts ou la prostitution, Ă©taient considĂ©rĂ©s comme des personnes impures, donc infrĂ©quentables Ă  table. Un nouvel ordre Ă©tabli C’est prĂ©cisĂ©ment sur ce terrain trĂšs sensible que JĂ©sus a bouleversĂ© les codes en vigueur. Indirectement, il rĂ©pond Ă  la question posĂ©e au dĂ©but de ces rĂ©flexions ce qu’il mange et avec qui il le mange dĂ©voilent une grande partie de son message. En effet, JĂ©sus se dĂ©marque radicalement des pratiques du temps. Alors qu’il demande Ă  ses disciples de renoncer Ă  tout pour le suivre, ce qui est une exigence bien plus radicale que ce qui se pratiquait alors dans le monde moyen-oriental et grec environnant, il n’accorde aucun intĂ©rĂȘt aux rĂšgles de table en vigueur. Ainsi, tandis que les pharisiens et les membres de la communautĂ© de QumrĂąn ne mangeaient qu’entre eux, JĂ©sus dĂ©jeune avec n’importe qui. La transgression fait scandale Les scribes des pharisiens, le voyant manger avec les pĂ©cheurs et les publicains, disaient Ă  ses disciples “Quoi ? Il mange avec les publicains et les pĂ©cheurs ?” » Mc 2, 16. Le pharisien Simon, qui l’avait invitĂ© Ă  un repas, en est lui aussi scandalisĂ©. Alors qu’une femme pĂ©cheresse s’était introduite dans la salle du banquet et s’était mise Ă  parfumer les pieds de JĂ©sus, Simon maugrĂ©ait Si cet homme Ă©tait prophĂšte, il saurait qui est cette femme qui le touche et ce qu’elle est une pĂ©cheresse ! » On le voit, l’attitude de JĂ©sus choque et le discrĂ©dite. Pourtant, ce n’est pas la transgression que JĂ©sus cherche, mais le moyen concret de rĂ©intĂ©grer des personnes exclues. Car la lutte contre l’exclusion est la premiĂšre mission qu’il se donne. Il n’admet pas que la Loi serve Ă  exclure alors qu’elle a Ă©tĂ© donnĂ©e par Dieu pour cimenter la vie commune du peuple. JĂ©sus se rend donc chez des gens mal considĂ©rĂ©s, des publicains, des pĂ©cheurs, ou bien il les invite Ă  sa table Mc 2, 15. Jamais les Ă©vangĂ©listes ne le montrent souscrivant aux rĂšgles de puretĂ© en vigueur, ni d’ailleurs aux nombreux jeĂ»nes prescrits par la Loi. VoilĂ  qui suscite de l’incomprĂ©hension Pourquoi les disciples de Jean et les pharisiens jeĂ»nent-ils, et tes disciples ne jeĂ»nent-ils pas ? » Mc 2, 18. JĂ©sus s’en explique plus tard, le jeĂ»ne ! Tant que l’époux JĂ©sus est lĂ , ce n’est pas le moment de faire triste figure. Il est l’époux ; or, l’époux d’IsraĂ«l, c’est Dieu ! VoilĂ  une annonce thĂ©ologique importante, formulĂ©e dans le registre amoureux cher aux prophĂštes. La seule mention d’un jeĂ»ne de JĂ©sus est celle des tentations, davantage prĂ©sentĂ©e comme une remise de soi au Seigneur que comme une obĂ©issance Ă  la Loi. L’humanitĂ© entiĂšre Ă  table Enfin, l’arriĂšre-plan biblique dĂ©voile clairement le message que livre JĂ©sus lorsqu’il se met Ă  table. La Bible Ă©voque souvent le banquet eschatologique de la fin des temps qui rĂ©unira auprĂšs de Dieu tous ceux qui lui auront Ă©tĂ© fidĂšles, un banquet oĂč s’entremĂȘlent le thĂšme des noces et celui du repas. Ce banquet est sous-jacent dans la parabole oĂč JĂ©sus compare le Royaume des cieux Ă  un festin de noce. Le roi invite tout le monde, mais les notables se dĂ©robent au point que le roi convie au festin des invitĂ©s plus dignes », bons ou mauvais », ramassĂ©s » sur les chemins Mt 22, 1-14. JĂ©sus aussi convie le tout-venant », l’humanitĂ© nue, primaire, mais exempte de prĂ©jugĂ©s. En somme, JĂ©sus aura voulu que ses repas anticipent ce banquet auquel la terre entiĂšre est conviĂ©e, sans sĂ©grĂ©gation aucune. ManiĂšre heureuse de montrer que le Royaume grandit dans cette subtile alliance entre le plaisir des sens, la satisfaction des corps, la bontĂ© du geste et la confiance en Dieu, donc en l’autre, avec qui on partage le repas, en frĂšres. Anne Soupa, bibliste le 29 juillet 2015
Les12 premiers jours de l'annĂ©e donnent la mĂ©tĂ©o des 12 mois Écouter. Écouter. Facebook. Twitter. Sms. Mail. Les GascounĂ©jades de Lou Jan De Buros. Du
La gratitude figure parmi les outils qui nous aident Ă  surmonter les obstacles et Ă  dĂ©velopper une grande force dans l’adversitĂ©. Mieux encore, elle a le pouvoir de contribuer Ă  l’atteinte de nos objectifs. En effet, plutĂŽt que de porter notre regard vers ce qui nous manque, on focalise nos pensĂ©es sur ce qui est et ce qui est dĂ©jĂ  obtenu. Pratiquer la gratitude, c’est changer consciemment de posture mentale ne plus demander dans le but de », mais remercier pour » ! Ainsi, pratiquer la gratitude possĂšde un rĂ©el pouvoir transformateur. C’est Ă  tout le moins ce que dĂ©montrent plusieurs Ă©tudes et expĂ©riences, car il a Ă©tĂ© maintes fois prouvĂ© scientifiquement que cette pratique apporte des bienfaits mesurables. Éprouver de la gratitude pour des choses que nous avons dĂ©jĂ  devient un puissant moteur de crĂ©ation parce que cela oriente nos pensĂ©es vers des choses que l’on souhaite voir apparaĂźtre et nous fait ressentir des Ă©motions agrĂ©ables et salvatrices. Rien de plus simple pour transformer sa vie que d’adopter l’attitude de la gratitude. Si vous pensez que ce concept est inefficace par sa simplicitĂ©, je vous invite Ă  relever le dĂ©fi et Ă  commencer dĂšs maintenant l’expĂ©rimentation du pouvoir de la gratitude pour les 21 prochains jours de votre vie. Si vous souhaitez ĂȘtre guidĂ© au fil de l’expĂ©rience, vous pouvez tĂ©lĂ©charger le journal des 12 premiers jours de l’annĂ©e que propose Conversation Papillon Ă  cet endroit Vous trouverez dans ce cahier plusieurs exercices, Ă©tudes et textes inspirants qui vous permettront de vivre concrĂštement des moments d’immersion dans la gratitude et d’en ressentir toute la puissance au quotidien. Vous serez invitĂ©e Ă  vous exercer Ă  la gratitude dans diffĂ©rentes sphĂšres de votre vie de façon Ă  ce que votre cerveau s’entraĂźne Ă  percevoir plus rapidement les bĂ©nĂ©dictions qui vous entourent au quotidien. En accordant Ă  la gratitude une plus grande place dans votre vie, il est aussi possible que vous preniez peu Ă  peu davantage conscience des pensĂ©es nĂ©gatives qui vous habitent et qui vous limitent. Si tel est le cas, accueillez-les et laissez-les partir sans jugement. Elles ne sont que de passage. Le but de ce cahier est de vous offrir un guide pratique pour dĂ©velopper votre conscience au pouvoir bienfaiteur de la gratitude au cours des 12 premiers jours de l’annĂ©e. Vous pouvez toutefois poursuivre au-delĂ  de ces journĂ©es, jusqu’à vous rendre Ă  21 jours de pratique. Vous aurez davantage pris l’habitude de dĂ©velopper votre aptitude au bonheur. Vous ne verrez plus la vie de la mĂȘme façon. Recevez toute ma gratitude et bonne pratique au quotidien ! TĂ©lĂ©chargez le cahier des 12 premiers jours de l’annĂ©e en cliquant ici Bien qu’il soit suggĂ©rĂ© de faire cet exercice en dĂ©but d’annĂ©e, il est toujours possible de le faire Ă  n’importe quel moment de l’annĂ©e, lorsque vous souhaitez activer en vous le pouvoir bienfaiteur de la gratitude au quotidien. TĂ©lĂ©chargez le Magazine Papillon – Vol. 1 3 – et recevez le texte complet ainsi que d’autres exercices. Vous le trouverez Ă  cet endroit
Accorddes mois : "les janvier" ou "les janviers" ? Les mois de l'année ne sont pas non plus invariables: tout comme les jours de la semaine, les mois de l'année prennent la marque du pluriel, comme les autres noms communs.Toutefois, l'usage de la forme plurielle est plus rare.On préférera généralement la formule « les mois de janvier ».

Quand janvier 1, 2022 1000 – 1030 2022-01-01T100000-0500 2022-01-01T103000-0500 Les 12 premiers jours de l’annĂ©e 2022 Pour commencer l’annĂ©e en beautĂ© , Le Nouvel An est l’occasion de nous retrouver. Les 12 premiers jours de l’annĂ©e sont trĂšs importants puisqu’ils correspondent aux 12 mois qui suivront. Plus nous sommes attentifs Ă  ce qui se passe en nous, nos rĂȘves, nos Ă©motions et nos actions, plus nous en bĂ©nĂ©ficierons durant l’annĂ©e. Pour plus visualiser les vidĂ©os des 12 premiers jours de l’annĂ©e -> Cliquez sur le lien Les 12 premiers jours de l’annĂ©e 2022

Sila valeur month est supĂ©rieure Ă  12, month ajoute ce nombre de mois au premier mois de l’annĂ©e spĂ©cifiĂ©e. La formule suivante retourne la date du 2 fĂ©vrier 2009 : = DATE(2008,14,2) Jours. Si la valeur day est supĂ©rieure au nombre de jours du mois spĂ©cifiĂ©, day ajoute ce nombre de jours au premier jour du mois. La formule suivante
TrĂšs heureuse nouvelle annĂ©e Ă  tous ! 😊 Pour ma part je l’ai commencĂ©e en portant le flambeau ! BĂ©nie par les forces de la nature bretonne, au bord de la mer, la nuit, sous le ciel Ă©toilĂ©, guidĂ©e par la voie lactĂ©e, en bonne compagnie et dans une ambiance joyeuse, entourĂ©e de la musique et des chants qui me donnent toujours les plus grandes joies !Tous ces flambeaux autour de nous, c’était comme un rituel trĂšs simple celui qui consiste Ă  ĂȘtre heureux et Ă  partager ce bonheur avec d’autres !Vivre, n’est ce pas apprendre Ă  crĂ©er pour soi et autour de soi le cercle lumineux du bonheur ??Porte flambeau ce message promĂ©thĂ©en – et prometteur 😉 – me dit de garder la foi en moi, en l’action juste et en mes qualitĂ©s ce flambeau me porte tout au long de cette nouvelle annĂ©e ! Pour ĂȘtre guidĂ©e et guider Ă  mon tour et passer le flambeau Ă  tous ceux qui me cĂŽtoient et me la lumiĂšre de la conscience et de l’amour accompagner chacun de nos pas cette annĂ©e. ❀ Il existe une tradition Ă©sotĂ©rique qui dit que les 12 premiers jours de l’annĂ©e correspondent aux 12 mois de l’annĂ©e qui commence. Le chiffre 12 a une valeur symbolique importante il reprĂ©sente l’Univers, l’union du 4 matiĂšre et du 3 esprit. Il renvoie aussi bien Ă  l’espace du Ciel les 12 signes du Zodiaque qu’au Temps les 12 mois de l’annĂ©e. Il est en lien avec l’humanitĂ© les 12 tribus d’IsraĂ«l, les 12 travaux d’HĂ©raclĂšs/Hercule, les 12 apĂŽtres de JĂ©sus
.Sans adhĂ©rer Ă  cette tradition de maniĂšre trop stricte, je m’en inspire de pour dĂ©cliner – Ă  l’image des 12 facettes d’un prisme 💎 – des valeurs et des attitudes qui me tiennent Ă  coeur pour orienter mon annĂ©e et ma vie dans des directions qui font sens pour moi plus d’humanitĂ©, plus de conscience, plus d’écoute, plus de joie, plus de plaisir, plus d’amour
.C’est un jeu intuitif les correspondances » sont tout Ă  fait arbitraires et bien sĂ»r non exhaustif !! Sans aucune volontĂ© d’induire quoi que ce soit afin de me sentir libre de vivre mon annĂ©e comme bon me semble, en sachant accueillir avec le plus de souplesse possible les alĂ©as et l’imprĂ©visible de l’existence, et sans jamais dĂ©roger Ă  mes sont quelques pistes qui me disent comment garder le cap, sans jamais perdre de vue ce qui est essentiel Ă  mes sĂ©rie de photographies prises par Lou Lecoq est pour moi trĂšs inspirante devant son objectif, j’ai dĂ©voilĂ© diffĂ©rentes facettes de qui je suis, en mettant en scĂšne diffĂ©rentes Ă©motions et attitudes que j’adopte et qui font que je suis tour Ă  tour totalement changeante et totalement moi mĂȘme ! Comme la Vie. 😊 Photographies de L’Oeil de premier jour AccueillirAccueillir ce qui vient, se recueillir devant le nouveau cycle qui s’ouvre, joindre les mains devant mon coeur comme lorsque je pratique le yoga seule ou dans mes cours. Le geste du Salut est pour moi essentiel c’est un des gestes mudra que j’aime le plus il m’apaise et me met en joie, je l’effectue trĂšs souvent !! Il permet de me centrer en reliant ma main droite et ma main gauche, d’unir symboliquement et Ă©nergĂ©tiquement mes forces lunaire Yin et solaire Yang, ma lumiĂšre et mon ombre, tout ce qui en moi parfois dissone afin de me rĂ©harmoniser et me mettre en accord avec l’essentiel ma voie/voix, celle qui suit la loi de mon coeur. Il me rappelle de faire preuve d’humilitĂ© et de rendre hommage Ă  mes maĂźtres, Ă  la Vie, Ă  tous les gens que j’aime, Ă  la Source en moi qui me donne la force, la foi, le calme et la ce qui vient en posant les intentions et en visualisant la direction que je veux tenir cette annĂ©e rester centrĂ©e en moi et alignĂ©e Ă  mes valeurs pour que, quoi qu’il arrive, je ne dĂ©vie pas de ma trajectoire intĂ©rieure, pour que les actes que je pose soient en adĂ©quation avec ce qui m’anime au plus profond de moi droiture, engagement, joie, lĂ©gĂšretĂ©, amour
Les choix que l’on prend en conscience font Ă©cho Ă  la loi du Karma qui est simplement la loi de cause Ă  effet et non – selon une vision rĂ©ductrice et manichĂ©enne des choses – la tentation de vouloir punir » les actes jugĂ©s mauvais » et rĂ©compenser ceux jugĂ©s bons ». Le Karma mot sanskrit signifiant acte » , c’est ĂȘtre des consĂ©quences de chacun de nos actes et c’est aligner nos actes Ă  nos pensĂ©es. Car, comme l’explique mon ami astrologue Christophe Guillaume, le karma est un enchaĂźnement de causes et d’effets action / rĂ©action, créé tant par les actes que par les paroles, et qui trouve ses racines dans le mental. La pensĂ©e est la racine de toutes nos actions. Il faut donc constamment pratiquer la juste pensĂ©e ». Evidemment, il y a beaucoup d’actes et de choix dans notre Vie qui n’ont pas Ă©tĂ© posĂ©s de maniĂšre consciente, qui ont obĂ©i plutĂŽt Ă  des intĂ©rĂȘts ou Ă  des peurs et parfois aux deux lorsqu’il y a erreur » de parcours, c’est que les choix qu’on a faits n’étaient pas conscients, ou qu’ils Ă©taient inadaptĂ©s Ă  nos besoins et dĂ©sirs profonds du moment. Cela nous dit qu’on n’a pas pu faire autrement, par ignorance et manque de maturitĂ© et de conscience
 Mais comme la Vie est initiatique ou karmique », si l’on en croit la vision de l’astrologie humaniste, ces erreurs/errances » sont lĂ  pour nous faire Ă©voluer vers une part meilleure de nous mĂȘme, pour pouvoir, ensuite, poser les actes qui nous correspondent vraiment et contribueront Ă  notre qu’il en soit rester H24 n’est pas facile !! C’est une attitude que l’on doit essayer de tenir le plus possible et demande donc une extrĂȘme tracer l’alignement de tout mon ĂȘtre corps-esprit-coeur vers la direction que je me propose comme le montre magnifiquement cette photographie, aligner, c’est tirer une ligne – un trait d’union – entre ma tĂȘte mon mental, ma poitrine mon coeur ❀, mes mains mon principe d’action, et tout mon corps le vĂ©hicule pour ma vie au quotidien, mon incarnation joyeuse
. sans jamais perdre de vue mon objectif la flamme de la bougie. Le deuxiĂšme jour EmbellirÊtre en contact avec la BeautĂ© m’élĂšve. Assister – sans cesse Ă©merveillĂ©e – Ă  la perfection de la Nature – dans le rĂšgne minĂ©ral, vĂ©gĂ©tal et animal – m’enivre et m’apaise. Me rĂ©pare fleurs sont dans le rĂšgne des plantes la perfection la plus Ă©levĂ©e, la plus spirituelle elles donnent gratuitement, gĂ©nĂ©reusement leur beautĂ©, associĂ©e Ă  des senteurs magiques. Tout comme les oiseaux – par leur lĂ©gĂšretĂ©, leur dĂ©licatesse aĂ©rienne, la libertĂ© de leur vol, la douceur de leurs plumes et la merveille de leurs chants – sont l’élĂ©ment le plus noble du rĂšgne animal, trait d’union entre Terre et beautĂ© que nous offre l’art, sous toutes ses formes, transmutation de la rĂ©alitĂ© Ă  travers la crĂ©ativitĂ© humaine la beautĂ© des sons la valeur la plus Ă©levĂ©e de l’art reste pour moi – qui suis trĂšs auditive – la musique, des mots, des formes, mais aussi la justesse d’un point de vue, d’un regard sur le monde et sur la vie qui peuvent radicalement transformer – et rĂ©parer – notre propre regard sur nous mĂȘme, sur le monde et sur la le plan de la matiĂšre la beautĂ© d’un dĂ©cor, d’un objet, d’un vĂȘtement, d’un bijou, la somptuositĂ© d’une couleur, la richesse d’une matiĂšre viennent apporter une touche de fantaisie ou d’élĂ©gance dans notre existence, parce que sinon la vie est trop fade !!Et puis il y a la beautĂ© naturelle des ĂȘtres humains, qui s’incarne magnifiquement dans les corps. Je suis charmĂ©e par la beautĂ© d’un visage, d’un corps, d’un geste, d’une allure, d’une dĂ©marche, d’un regard, d’un sourire qui transforme subitement l’expression d’une personne. Je ne serais pas professeure de yoga si le contact avec la dimension du corps – avec sa beautĂ© unique et singuliĂšre, mouvante, chaude, vivante – ne me touchait pas ! Accueillir chaque ĂȘtre humain Ă  travers le langage qu’exprime son corps, c’est cela entrer en contact avec l’ pour moi la vraie profonde beautĂ© est celle qui a trait Ă  la noblesse du coeur. Une attitude, un geste, une parole, une sensibilitĂ© qui me touchent par delĂ  les apparences. La vraie beautĂ© est une bontĂ© de l’ un petit dĂ©tour par l’étymologie donne raison Ă  mon intuition le mot beautĂ© vient du latin bellitas », forgĂ© sur l’adjectif bellus » qui lui mĂȘme vient de dwenolos », diminutif de duenos » signifiant bon. La racine du- est Ă  rapprocher du vĂ©dique duvah » signifiant ce que les anciens Grecs nommaient le kalos kagathos » ĂȘtre beau et bon » Ă©taient les vertus humanistes par excellence, pour se hisser Ă  la hauteur de sa dignitĂ© d’homme ». Ces vertus Ă©taient associĂ©es Ă©galement Ă  un idĂ©al d’harmonie de corps et d’esprit dont l’athlĂšte grec aurait Ă©tĂ© le modĂšle, rappelant les mots cĂ©lĂšbres de JuvĂ©nal mens sana in corpore sano » un esprit sain dans un corps sain » » . LĂ  encore, je ne peux que faire le lien avec ma pratique du hatha yoga ! » 😉Alors, embellissons notre vie ! Mettons de la noblesse dans nos pensĂ©es, dans nos propos, dans nos actes soyons des fleurs et des oiseaux, transformons nous en princesses et en hĂ©ros au service de la beautĂ© et de la bontĂ© ! 😉 😊 Le troisiĂšme jour AdoucirJe suis ici avec la Lune, qui reprĂ©sente Ă  la fois le pĂŽle rĂ©ceptif sur le plan Ă©nergĂ©tique en opposition au Soleil pĂŽle actif, et le monde des Ă©motions et de la vie intĂ©rieure, en opposition avec l’action et la vie extĂ©rieure. Les polaritĂ©s lunaire et solaire sont dans la pensĂ©e indienne l’équivalent du Yin-Yang pour la philosophie deux polaritĂ©s coexistent en de nous, quel que soit notre suis ici avec ma Lune et je m’interroge en souriant j’en suis oĂč avec mon fĂ©minin, ma douceur, ma capacitĂ© de rĂ©ceptivitĂ©, de non action, d’attente, de patience, de lenteur, d’affection, de tendresse, l’expression de mes Ă©motions
 ?La Lune c’est aussi le monde du rĂȘve et de l’inconscient, Ă  ne pas confondre avec les mĂ©andres insolubles du fantasme et de l’illusion
La Lune, c’est encore la dimension maternelle et non pas maternante, qui accueille et aime inconditionnellement. Devenir mĂšre m’a ouvert les portes de cette douceur, qu’il m’était difficile d’accueillir en moi mĂȘme et d’exprimer Ă  l’ Ă  ces parts lunaires n’est pas toujours facile on les refoule souvent, on n’ose pas, ou on se blinde
 pour se protĂ©ger, parce que la vie nous a blessĂ©s, parce que nous nous sommes nous mĂȘmes blessĂ©s, parce que nous avons blessĂ©. Le mĂ©tier de vivre est fait de violence, alors la violence s’exprime dans nos paroles, nos actes
 et la douceur en prend un coup ! On est souvent violent envers soi mĂȘme, on ne se mĂ©nage on ne peut qu’aspirer Ă  cela, Ă  la douceur et Ă  l’amour !Adoucir notre existence – Ă  commencer par la relation que nous avons avec nous mĂȘme – ce n’est pas quelque de mielleux, de mou, ce n’est pas de la passivitĂ© ni de la soumission. Mais c’est ĂȘtre vigilant dans nos pensĂ©es, nos paroles, nos gestes, nos comportements, vĂ©rifions quelle la forme » nous employons pour traduire le fond » Mettons de la douceur dans notre existence ! Portons notre Lune autour du cou comme un bijou prĂ©cieux pour ne pas oublier l’essentiel soyons doux envers nous mĂȘme, envers les autres, envers la Terre et l’Univers. Le quatriĂšme jour CombattreTaper du poing sur la table pour dĂ©fendre mes valeurs, pour faire entendre ma voix, avec fermetĂ© – sans duretĂ© ni violence -, pour mettre des limites lorsque la situation ou la relation ne me convient pas, pour me protĂ©ger sans blesser l’autre, sans pour autant fuir ni m’isoler. C’est oser ĂȘtre moi mĂȘme
 et tant pis si je dĂ©range !DĂ©velopper des valeurs guerriĂšres est nĂ©cessaire pour la chevauchĂ©e sportive de l’ cela cohabite trĂšs bien avec la douceur !! Être guerrier, c’est se relier Ă  nos qualitĂ©s d’action, au principe solaire ou masculin prĂ©sent en de nous qualitĂ© YANG. C’est ĂȘtre prudent, prĂ©sent et vigilant vis Ă  vis de tout ce qui prĂ©sente dans notre environnement, mais avant tout, vis Ă  vis de ce qui surgit en nous quelles pensĂ©es, quelles Ă©motions, quels souvenirs, quelles croyances figĂ©es, quels mensonges toutes les histoires qu’on se raconte
.C’est pour moi – qui suis une femme – invoquer l’énergie des dĂ©esses guerriĂšres du panthĂ©on indien Durga et Kali aspects guerriers de la Shakti, principe fĂ©minin.Durga combat les dĂ©mons de l’ignorance, et Kali, la sanguinaire – avec son collier de crĂąnes, sa bouche ensanglantĂ©e, ses yeux crachant du feu – met fin Ă  toutes les illusions et dĂ©truit pour mieux faire renaĂźtre un ordre nouveau, invoquer aussi la prĂ©sence protectrice de Ganesh – ce dieu indien Ă  tĂȘte d’élĂ©phant – celui qui lĂšve les obstacles je lĂšve le poing contre la bĂȘtise, l’ignorance, l’aveuglement, la haine, la peur
. Ă  commencer par combattre en moi ces poisons de l’ego et ces obstacles intĂ©rieurs !! Pour les dĂ©raciner au plus profond de moi guerrier, c’est ĂȘtre courageux combattre mĂȘme si on a peur. Parce qu’il y aura toujours des peurs, ne serait ce que la peur de l’inconnu qui nous range parfois trop radicalement du cĂŽtĂ© du mĂ©diocre et/ou du douloureux mais rassurant parce que connu !!C’est ĂȘtre solide, stable comme un roc, mais aussi ouvert Ă  la fois inflexible quand il le faut, et flexible parce qu’on ne sait pas tout, parce que la Vie nous enseigne toujours quelque chose de nouveau, qui nous permet d’évoluer vers plus de conscience, plus d’humanité C’est faire un pas de cĂŽtĂ© et voir au delĂ  de l’ego qui n’aime qu’un seul point de vue le sien et constater que d’autres points de vue existent, autres que les miens, tout aussi valables. Que l’on s’enrichit en apprenant des autres, et en laissant les autres apprendre de nous quand et comment adopter l’attitude juste, trouver cet Ă©quilibre est difficile, c’est comme marcher sur un fil
 Pour cela s’écouter, s’observer, sans complaisance aucune et, en mĂȘme temps, avec Hatha Yoga et les arts martiaux en particulier l’AĂŻkido sont deux voies diffĂ©rentes qui nous montrent le mĂȘme but ils nous enseignent comment maĂźtriser nos peurs et accĂ©der Ă  une forme de sagesse, une joie calme, sans peurs, une paix intĂ©rieure quoi qu’il sont pour moi des pratiques militantes ! Ne nous y trompons pas derriĂšre la quĂȘte de paix et d’harmonie, les vertus premiĂšres dĂ©fendues par ces disciplines sont des valeurs combatives. Comme dit le dicton, si vis pacem, para bellum » si tu veux la paix, prĂ©pare la guerre ».Quand je sens la peur, la tristesse, la colĂšre sourdre en moi comme un volcan au bord de l’éruption, je reviens dans mon coeur, dans mon souffle, et j’invoque l’amour. Je m’apaise, et retrouve alors la confiance. Oui, remplacer la haine, la peur, par l’amour et la je deviens Ă  mon tour guerriĂšre de paix, de conscience et de lumiĂšre, pour reprendre l’expression de Paulo Coelho. Trust me », Aie confiance en moi », dit mon coeur Ă  mon poing !! đŸ‘ŠđŸ»đŸ™đŸ» ❀ Le cinquiĂšme jour Se dĂ©lesterSur cette photographie, je ressemble aux femmes endeuillĂ©es que je voyais en Italie du sud, dans mon enfance. On m’avait expliquĂ© qu’elles s’étaient vĂȘtues entiĂšrement de noir aprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©prouvĂ©es par une perte la mort d’un proche, de leur mari, et qu’à partir de ce moment lĂ , elles ne quittaient plus le deuil, restant ainsi fidĂšles Ă  la mĂ©moire du dĂ©funt, comme figĂ©es sur l’expĂ©rience douloureuse, refusant de choisir de nouveau le camp de la vie et de l’amour. J’imaginais ces femmes attristĂ©es pour le restant de leurs jours et cela me tard, la vie m’a appris qu’on n’a pas besoin de s’habiller tout de noir et de porter le voile pour ĂȘtre en est question de douleur dans nos mot deuil » vient en effet de l’ancien français duel, issu du bas latin dolus » signifiant douleur ».Un deuil, ce n’est pas seulement la perte d’un ĂȘtre cher, ce sont toutes les sĂ©parations brutales et tous les dĂ©parts dĂ©finitifs qui jalonnent notre existence. La vie procĂšde par une succession de deuils et de pertes. Chaque passage important de notre existence ne peut se faire qu’avec un renoncement total Ă  ce qui Ă©tait lĂ  avant. Comme un rite
 pas trĂšs agrĂ©able, mais peut pleurer toute notre vie ces pertes lĂ  ! On peut toute notre vie dĂ©plorer le tragique de l’existence. Je me suis longtemps passionnĂ©e pour les hĂ©roĂŻnes de la tragĂ©die grecque et du théùtre shakespearien pour toutes les PhĂšdre, Electre, Eurydice, Antigone, Clytemnestre, OphĂ©lie, pour tous les RomĂ©o et toutes les Juliette. C’était voir dĂ©finitivement le verre de la vie Ă  100 % vide. Or le verre est Ă  50 % plein et Ă  50 % vide, on ne peut rien contre cela ! La vie est tour Ă  tour tragique et le regard qu’on porte sur le verre, on peut dĂ©cider de le changer. Le voile, dĂ©cider de l’ dĂ©lester, c’est Ă  dire cesser de porter la charge de souffrance hĂ©ritĂ©e de nos expĂ©riences passĂ©es. Faire la paix avec ce qui a Ă©tĂ©, pour ne pas le laisser nous plomber .Sur cette photographie, je regarde en face de moi, l’objectif en guise de miroir, et je me dis Ă  moi mĂȘme je dĂ©cide quoi ? Rester dans le tragique ? Ou dĂ©cider de quitter le voile noir
 ? Et cesser de pleurer le tragique des deuils passĂ©s, qui pour avoir Ă©tĂ© tragiques n’en sont pas moins passĂ©s ! Et quand je vois le verre qui commence Ă  se vider de sa substance joyeuse, j’opte pour le remplir
 de lĂ©gĂšretĂ© et de confiance, de musique et de danse, de luciditĂ© et de lĂ©gĂšretĂ© et la confiance, parce qu’avec elles, l’existence devient aussitĂŽt bien plus musique et la danse, pour la joie et la fĂȘte du luciditĂ©, pour sauter par dessus la tragĂ©die, sans jamais ĂȘtre le rire, parce que c’est l’arme absolue contre le dĂ©sespoir. 😃 Le sixiĂšme jour RessentirQue peut on imaginer en voyant cette photographie ? Je me suis endormie ? J’en ai ras le bol de tout ? Je viens de boire un verre de ciguĂ« ?
. ❓ ❓ ❓ Nul autre que moi ne sait ce que je ressens, ce que je pense, ce qui m’habite et se meut Ă  l’intĂ©rieur de moi le territoire de mes Ă©motions les plus secrĂštes n’appartient qu’à parle bien d’un mouvement du latin motio » qui vient de l’intĂ©rieur et se dirige vers l’extĂ©rieur, comme l’explique l’étymologie latine exmovere » Ă©mouvoir.Et pourtant bien souvent on ne sait pas soi mĂȘme ce qu’on ressent !C’est quoi, une Ă©motion ? Le Larousse nous dit que c’est une rĂ©action affective transitoire d’assez grande intensitĂ©, habituellement provoquĂ©e par une stimulation venue de l’environnement ». Comme l’expliquent trĂšs clairement les neurosciences, l’émotion s’accompagne toujours de sensations corporelles c’est une manifestation corporelle qui nous permet d’agir ou de rĂ©agir Ă  des signaux extĂ©rieurs dans le but d’assurer notre survie et notre bien Ă©motions sont essentielles, elles sont notre mĂ©tĂ©o intĂ©rieure, trĂšs utiles car elles nous indiquent comment nous adapter Ă  l’environnement et guident nos comportements pour d’un cĂŽtĂ©, Ă©viter les dangers, d’un autre, crĂ©er de belles distingue les Ă©motions dites nĂ©gatives c’est Ă  dire dĂ©sagrĂ©ables des Ă©motions dites positives c’est Ă  dire agrĂ©ables.Apprendre Ă  ressentir ce qui se passe en soi est essentiel pour apprendre Ă  se connaĂźtre, pour comprendre comment les drames et les deuils de notre existence se sont transformĂ©s en blessures et en souffrances. On ne peut guĂ©rir nos blessures si on n’en a pas conscience. Mettre de la conscience sur nos blessures suppose qu’on leur donne toute leur place, qu’on les accueille, qu’on ne les rejette pas. Pourtant, on rejette souvent ces Ă©motions douloureuses c’est lĂ©gitime – car personne n’aime souffrir, on aspire tous au bonheur – mais c’est contre-productif
. Car ce qui a eu lieu ne peut s’effacer et les traces de nos expĂ©riences douloureuses ne disparaissent pas d’un coup de baguette magique
. Le problĂšme, c’est que la rĂ©sistance et le fait de se dĂ©connecter de nos Ă©motions vont avoir des consĂ©quences nĂ©fastes sur notre vie intĂ©rieure, sur nos comportements, sur notre on ne connaĂźt pas notre histoire dans tous ses mĂ©andres faits d’ombres et de lumiĂšre, celle ci est vouĂ©e Ă  se rĂ©pĂ©ter, et l’ombre enveloppera toujours la Je pourrais dire aussi bien pour illustrer cette image Ă©couter. En italien, le sens du verbe sentire » est trĂšs subtil puisqu’il veut dire Ă  la fois sentir/ressentir » et entendre ». Ecouter pour accueillir, apprivoiser, comprendre, se laisser traverser par l’émotion, puis la laisser partir et dĂ©cider de mettre en place autre chose d’autres pensĂ©es, des actions agrĂ©ables pour me rendre la vie plus m’installer en position meta », c’est Ă  dire prendre de la hauteur par rapport Ă  la situation, et m’’observer – exactement comme si je regardais cette photo – dans une position Ă  la fois d’observatrice et d’observĂ©e. Puis me demander avec le plus de bienveillance possible, comme si je parlais Ă  un enfant en larmes ou apeurĂ© Que se passe t il ? Dis moi, que ressens tu ? » Et si c’est la tristesse qui arrive, accueillir cette tristesse Oui, c’est ça, tu es triste, c’est ok », puis chercher Ă  comprendre pourquoi je suis triste C’est normal d’ĂȘtre triste pour cela
 ». Enfin – parce que rester dans une Ă©motion douloureuse est franchement inutile – choisir de faire quelque chose qui me fera du bien et d’abord boire un verre d’eau !! Symboliquement, l’eau est liĂ©e aux Ă©motions. 💧 💩 Comme sur la photo, laisser le temps Ă  mon mental de devenir aussi pur et transparent que l’eau. Ensuite, libre Ă  de trouver l’action qui sera la plus ajustĂ©e pour s’offrir du calme, de la gaietĂ©, de la douceur, de l’énergie
.Cette Ă©coute bienveillante envers soi mĂȘme, c’est que la CNV Communication Non Violente nomme l’auto-empathie apprendre Ă  se consoler soi mĂȘme, Ă  se donner de l’empathie, de la douceur, est essentiel pour grandir et consolider notre bonheur !Parfois, dans des situations de grosse tempĂȘte Ă©motionnelle, on est trop dĂ©muni, trop impuissant pour se donner de l’auto-empathie
 Alors on ira chercher conseil et aide auprĂšs d’ thĂ©rapeute, d’ psy, d’ je me suis assise et enroulĂ©e sur moi mĂȘme, pour Ă©couter mon ressenti. Une fois que je l’ai identifiĂ©, je respire, je dĂ©dramatise, je souris, et j’avance
 vers autre chose, vers un chapitre plus joyeux de ma vie. C’est moi qui dĂ©cide d’ouvrir ce chapitre je suis responsable de ce que je pense et de ce que je ressens, et donc de ce que je veux vivre. Mais je ne fais pas pour autant l’impasse de ressentir tout ce qui me traverse, en essayant de rester le plus centrĂ©e possible au milieu des joies et des peines qui vont et viennent car la Vie est un mouvement incessant, comme une vague aux nuances subtiles et le pont Mirabeau coule la SeineEt nos amoursFaut-il qu’il m’en souvienneLa joie venait toujours aprĂšs la la nuit sonne l’heureLes jours s’en vont je Apollinaire, Le Pont Mirabeau Le septiĂšme jour EtudierEtudier, lire, apprendre, c’est sĂ©rieux !!Chercher Ă  m’approcher de la Connaissance – moi qui ne sais rien, comme disait Socrate – pour comprendre qui je suis, comprendre le monde, l’humain, le sens de la ĂȘtre au plus prĂšs de le chemin empruntĂ© avant moi par tous les penseurs, philosophes, Ă©crivains, poĂštes, chercheurs et sondeurs de l’ñme humaine, pour essayer de percer ce puissant mystĂšre qu’est l’ que je suis petite, j’aime chercher le sens premier des choses, et aussi le sens des mots !! J’ai toujours avec moi des dictionnaires
 J’ai un mental qui aime fouiller, creuser, approfondir, vĂ©rifier, toujours en quĂȘte de sens, c’est ainsi qu’il est fait
 j’y suis habituĂ©e !! J’ai besoin de revenir Ă  la Source, d’essayer de percer les mystĂšres, de voyager du cĂŽtĂ© du monde invisible, tout aussi rĂ©el que le monde visible. Et en mĂȘme temps, j’accepte aussi qu’une part d’insondable demeurera toujours intacte, puisque la Connaissance est infinie. Les mots – Ă  travers mes lectures, mes correspondances, les textes que je traduis et j’écris – ont ensuite assumĂ© un autre rĂŽle combler l’espace de l’absence, me relier aux autres et au demande exactement la mĂȘme prĂ©cision que l’artisan travaillant avec ses outils et son habiletĂ©. Mais au lieu de porter son attention sur la matiĂšre, on la tourne vers les choses de l’esprit. L’étymologie du verbe Ă©tudier » est trĂšs intĂ©ressante par sa racine steu-, signifiant frapper Ă  coups rĂ©pĂ©tĂ©s avec un instrument contondant », Ă©tudier est liĂ© au fait de presser, s’appuyer sur », puis, par glissements de sens, on est arrivĂ© Ă  l’idĂ©e de s’appliquer Ă  quelque chose, avec soin, avec zĂšle » et de frapper l’imagination ». Etudier, c’est donc tenter de percer » les choses, non pas avec un foret, mais avec l’instrument souterrain de l’ livres reprĂ©sentent des piliers de beautĂ© et de droiture sur lesquels je peux m’appuyer et dans lesquels je peux me plonger en quĂȘte de sens et de vĂ©ritĂ©. Ils me parfois ce besoin insatiable de chercher un sens me fatigue
 Car le plus important, le plus essentiel n’est ni dans les livres ni dans les mots il est dans la Vie mĂȘme, au coeur du mouvement du vivant. Sortir, sentir l’air et le vent sur ma peau, courir sur la plage, marcher pieds nus dans l’ocĂ©an oui, mĂȘme en janvier !! 😉 , pratiquer le yoga, Ă©couter de la musique, danser, cuisiner, enfin faire tout simplement ce que j’aime avec les gens que j’aime, et me laisser vivre
 sans me poser de questions !! CrĂ©er ma vie en dehors des mots, des livres et des paroles, est ce vraiment possible ?? 😉 Oui ! et – n’en dĂ©plaise aux livres, mes fidĂšles compagnons de route – c’est mĂȘme ce que je prĂ©fĂšre
 Le huitiĂšme jour Ne rien faireMe poser, ne rien faire, me taire
 autour d’un cafĂ©, ou d’un thĂ© ou de rien du tout !. Silence des gestes, des paroles et des pensĂ©es
 Pas facile mais tellement salutaire !! Par moments, faire une pause ne rien chercher, ne rien attendre, juste laisser jaillir ce qui doit jaillir. Ou ? Non. RĂȘver ? Non. Projeter, anticiper ? Non. Laisser mon cerveau – trop souvent occupĂ© Ă  organiser ma vie – en mode roue libre
 C’est comme ça que les meilleures idĂ©es arrivent !! 😉Si, pour Ă©tudier, j’ai besoin de mobiliser les ressources de l’hĂ©misphĂšre gauche de mon cortex cĂ©rĂ©bral la partie du cerveau raisonnante, logique, rationnelle, analytique, liĂ©e Ă  l’apprentissage du langage et de la communication, en revanche, pour crĂ©er et m’ouvrir Ă  de nouvelles mĂ©thodes de pensĂ©es et habitudes de vie – pour Ă©voluer et grandir – je fais appel Ă  l’hĂ©misphĂšre droit de mon cerveau la partie crĂ©ative, intuitive, Ă©motionnelle, spontanĂ©e, synthĂ©tique, liĂ©e Ă  la perception, Ă  l’action et Ă  la prise de dĂ©cision. Et pour cela
 ne rien faire est l’attitude parfaite !! Ne pas chercher me laisser trouver, et faire confiance Ă  mon intuition sont souvent de maniĂšre trĂšs fortuite que de grandes inventions ont Ă©tĂ© créées au cours de l’histoire de l’humanitĂ© Pythagore dans son bain, Newton et la pomme, Christophe Colomb et l’AmĂ©rique, Gutenberg et l’imprimerie, GalilĂ©e et l’astronomie, et bien d’autres chercheurs et dĂ©couvreurs
 Ces dĂ©couvertes inopinĂ©es portent un trĂšs joli nom sĂ©rendipitĂ© seredinpity » en anglais.Assise devant mon cafĂ©, chez moi ou en terrasse, ou sur un rocher face Ă  la mer, n’importe oĂč pourvu que je fasse silence au dedans faire taire mon mental bruyant, trop bavard, et l’autoriser Ă  ne rien faire. Mon cerveau aime prendre l’air il n’a pas besoin de moi pour crĂ©er et prendre les dĂ©cisions justes !!C’est passer la main et donner carte blanche Ă  la partie de moi qui ne doute pas, qui sait ce qui est bon pour moi ma nature profonde, ce que les textes de la pensĂ©e indienne nomment Atman », le Soi », le reflet individuel du Brahman » cosmique l’Absolu, l’Âme ou la Conscience universelle. C’est faire confiance Ă  ce qui ne se voit pas directement, ne se dit pas d’emblĂ©e
 c’est laisser faire le temps qui Ă  la fois creuse et dilate, met de l’espace entre moi et la Vie, une plongĂ©e dans le vide pour m’ouvrir au champ de tous les plus beaux possibles, pour que le vrai, le beau et le bon un peu de Serendipity dans notre vie, ça la rendra dĂ©finitivement plus jolie. 😉Le neuviĂšme jour Se laisser ĂȘtrePrendre le soleil, nonchalamment, langoureusement
 et me laisser le soleil !! Paresser n’est pas trop dans ma nature
 Mais j’ai appris – grĂące Ă  la pratique du Yoga et surtout Ă  mes voyages en Inde – qu’il ne sert Ă  rien de vouloir ĂȘtre toujours dans l’action et/ou dans la rĂ©flexion, que parfois vivre sans but est la meilleure des solutions pour ĂȘtre !! Le rythme indien Ă  la fois trĂ©pidant dans les villes, chaotique, bordellique, et dĂ©licieusement nonchalant. La pensĂ©e indienne repose un peu sur cette idĂ©e que ce qu’on ne peut pas faire aujourd’hui, on le fera demain
 ou dans une autre vie. C’est utile de croire en la rĂ©incarnation, cela donnerait raison Ă  toutes nos procrastinations
TrĂȘve de plaisanterie se laisser ĂȘtre, c’est s’offrir des moments comme des bulles d’air ou de savon qui flottent au dessus des contraintes de l’ici et maintenant, petites enclaves de RIEN au sein du rythme trop prenant de la vie, sans mĂȘme chercher Ă  laisser jaillir quoi que soit
 Et, dans cette sorte de no man’s land temporel, me reposer d’exister, pour mieux repartir aprĂšs. Car, non, paresser n’est pas tout Ă  fait dans ma nature !!Me prĂ©lasser au soleil, cela me rappelle mes annĂ©es d’enfance en Italie, pays solaire, lumineux, merveilleux de splendeur et de douceur. Ce que j’aime surtout, c est m’allonger sur la plage, l’étĂ©, jamais trĂšs longtemps
 mais suffisamment pour sentir la prĂ©sence de la mer tout prĂšs, le dĂ©lice du vent breton sur ma peau, et m’imprĂ©gner de lumiĂšre et de chaleur. C’est sans doute pour cela que j’habite en bord de mer
Et comme j’aime la Bretagne, sauvage, brute, austĂšre, puissante, et en mĂȘme temps, changeante, surprenante, vivifiante, aux mille nuances de beautĂ©. Le dixiĂšme jour Lire les symbolesSur cette photo, on dirait que je suis une gitane avec un jeu de cartes en guise d’éventail !! Ce ne sont pas n’importe quelles cartes ce sont des Arcanes majeurs du Tarot de me suis intĂ©ressĂ©e trĂšs tĂŽt au Tarot, et j’ai toujours Ă©tĂ© fascinĂ©e par les Gitans d’ailleurs, quand j’avais 20 ans, j’avais un jeu de Tarot j’ai laissĂ© le Tarot de cĂŽtĂ©, et n’y ai plus touchĂ© pendant de longues annĂ©es
Mais j’ai continuĂ© Ă  interroger les symboles et les signes. A ĂȘtre trĂšs attentive Ă  ce que Jung appelĂ© les me suis passionnĂ©e aux figures et aux archĂ©types de la mythologie, au monde du conte, mais aussi Ă  l’astrologie. Ce n’est pas un hasard si je me suis mise au Yoga c’ est une pratique psycho-corporelle dont la dimension philosophique, mais aussi symbolique et Ă©sotĂ©rique occupe une place trĂšs importante. J’ai redĂ©couvert le Tarot de Marseille il y a quelques annĂ©es, au moment oĂč je me suis plongĂ©e dans l’astrologie. J’ai lu le livre de Alejandro Jodorowski, La Voie du Tarot. Puis je me suis formĂ©e Ă  cet art divinatoire » un art qui est, avant tout, dans l’optique jungienne – qui est aussi celle de Jodorowski – une grille de lecture psychologique trĂšs intelligente de l’humain. Ma meilleure formation », c’est en me familiarisant jour aprĂšs jour avec la signification des Arcanes Tarot est un jeu d’origine trĂšs ancienne, datant peut ĂȘtre de l’Egypte antique. Mais il s’est dĂ©veloppĂ© surtout en Italie au moment de la mot Tarot », attestĂ© en français au XVIe siĂšcle, a une origine mystĂ©rieuse il vient de l’italien tarocco » , du verbe taroccare » signifiant se mettre en colĂšre » , puis rĂ©pondre par une carte plus forte ». Peut ĂȘtre aussi du mot tara », signifiant perte de valeur » car le joueur devait dans certains cas mettre une carte de cĂŽtĂ©, ou encore dĂ©duction. » IntĂ©ressant si on inverse les syllabes du mot, Tarot devient Rota, qui signifie en latin roue » allusion Ă  Roue de Fortune » Arcane X, la roue de la Vie, l’aspect imprĂ©visible et impermanent des choses, le fait que la Vie se dĂ©veloppe selon un cycle infini de naissances et de Tarot est avant tout un jeu les cartes reprĂ©sentent des figures symboliques, des personnages, des Ă©lĂ©ments du cosmos comme en astrologie, on retrouve le Soleil et la Lune par exemple. C’est ce qui se donne Ă  la lecture du Tarot quelque chose de ludique et aussi de trĂšs visuel, et c’est une aide prĂ©cieuse pour la/le qui voit », grĂące aux cartes, ce qui se passe Ă  l’intĂ©rieur d’elle/de lui. Le Tarot est comme le reflet extĂ©rieur de l’inconscient de la/du Il ne triche pas, donne toujours les bonnes rĂ©ponses, y compris celles qu’on ne veut pas entendre !!Pendant les consultations que je donne, j’essaie d’ĂȘtre l’intermĂ©diaire la plus juste et la plus impartiale possible entre la/le et le Tarot, en me connectant Ă  la personne, Ă  sa demande, Ă  son un Ă©ventail de Vie et de conscience, le Tarot est pour moi un compagnon et un soutien fidĂšle, sĂ©rieux et joyeux Ă  la fois. Le onziĂšme jour Se dĂ©lecterSe dĂ©lecter
 j’aurais pu Ă©crire aussi savourer !! 😊 😋 Le verbe dĂ©lecter » est de la mĂȘme famille que le mot dĂ©lice » et l’adjectif allĂ©chant ».La douceur de la vie, c’est vivre en prenant plaisir Ă  ce que l’on fait, que ces plaisirs soient petits ou grands. C’est aimer ce que l’on fait, c’est aimer notre vie au quotidien, c’est avoir des relations qui nous donnent du plaisir, c’est aussi prendre plaisir en mangeant. Un esprit sain dans un corps sain » Mens sana in corpore sano » Ă©crivait JuvĂ©nal Ier siĂšcle apr. que je suis petite, j’ai une relation particuliĂšre avec la nourriture. Le fait de bien me nourrir occupe une place essentielle dans ma vie. Comme je suis trĂšs sensible, voire fragile, le moindre aliment peut provoquer en moi des rĂ©actions d’inconfort. Je suis un vrai baromĂštre anti-malbouffe ! Je ne tolĂšre pas les ingrĂ©dients s’ils ne sont pas frais, locaux et surtout de haute qualitĂ© nutritionnelle. Je suis pour une cuisine saine, simple, brute – une simple pomme par exemple ! 🍏 – Ă  partir du moment oĂč les produits premiers sont bons, cuisiner devient un jeu d’enfant !! Il sagit d’ajouter quelques ingrĂ©dients herbes, Ă©pices, de choisir les bons modes de cuisson = qui ne dĂ©naturent pas les aliments, et de cuisiner avec amour le tour est jouĂ© !! C’est pour cela que je suis devenue coach en tant que coach, je vous accompagne pour vous aider Ă  trouver par vous mĂȘme l’alimentation qui vous convient le comme je suis d’abord professeure de Yoga et de MĂ©ditation, je suis consciente des liens indissociables qui existent entre le corps et le mental. Il n’y a pas que les nourritures terrestres » qui nous font du bien, ou du mal
 Les nourritures spirituelles » sont tout aussi importantes !!Ainsi, veillons Ă  tout ce que nous absorbons nos aliments, mais aussi nos pensĂ©es, nos Ă©motions, nos relations
C’est donc tout naturellement que j’ai eu l’envie de proposer, avec mon amie Nathalie, un Atelier Nutrition et Emotions au Manoir de la Villeneuve l’occasion de mieux comprendre et d’apaiser notre relation avec la nourriture, reflet de la relation que nous avons avec nous sera suivi d’un DĂźner en pleine conscience dĂ©gustation consciente de la dĂ©licieuse nourriture prĂ©parĂ©e par Nathalie, en nous reliant Ă  nos 5 sens et en pratiquant l’écoute dĂ©lecter de ce que nous offre la Vie, mais aussi dĂ©cider d’aller consciemment vers ce qui est dĂ©lectable – ou allĂ©chant ! 😋 – pour nous !! C’est dĂ©cider de vivre en prenant du plaisir sous toutes ses la Vie ! 🍏 Invitons dans notre Vie le sel, le piment ou le miel de l’existence
 en fonction de nos goĂ»ts et aussi de nos humeurs !!Que cette invitation soit tout simplement dĂ©lectable, dĂ©licieuse et savoureuse. 😋 Le douziĂšme jour AimerL’amour, c’est l’occasion unique de mĂ»rir,de prendre forme,de devenir soi mĂȘme un monde,pour l’amour de l’ĂȘtre Maria Rilke Aimer, aimer la Vie, s’aimer soi mĂȘme, aimer les autres, aimer la Terre, aimer le Cosmos, aimer le monde. est facteur d’union et de cohĂ©sion, c’est le ciment invisible qui soutient l’Univers, ce qui fait que le monde, la planĂšte Terre, l’humanitĂ© n’ont pas explosĂ© depuis le commencement de la CrĂ©ation
 C’est ce qui fait contrepoids aux forces d’éclatement, de haine et de violence, partout prĂ©sentes dans l’Univers, et nĂ©cessaires Ă  l’équilibre cosmique fondĂ© sur un cycle de mort et de renaissance incarnĂ© par le dieu Shiva dans le panthĂ©on indien pour que la nature renaisse au printemps, il faut qu’elle meure en la chose la plus simple et la plus naturelle au monde semble rarement accessible. L’amour est la plupart du temps avoir Ă©tĂ© mal-aimĂ©s, ou pas assez aimĂ©s, ou trop aimĂ©s, blessĂ©s dans nos histoires de vie – ces blessures profondes qui trouvent leurs racines dans l’enfance – nous mettons en place des stratĂ©gies de dĂ©fense
 qui toutes rĂ©sistent Ă  l’ commence Ă  comprendre ce qu’est l’Amour le jour oĂč l’on comprend ce qu’il n’est pas. L’Amour est au-delĂ  de l’ego blessĂ© qui souffre et ressasse sa aimer, c’est auoi ?Cela commence par l’amour de soi, non pas un amour Ă©gotique, mais une acceptation inconditionnelle s’aimer qu’on est, c’est Ă  dire parfaitement ! 😉Il y a une phrase qui ne me quitte pas depuis que j’ai lu, il y a 25 ans, le livre de Etty Hillesum, Une Vie bouleversĂ©e un de mes livres phares 😊 En apprenant Ă  connaĂźtre ses forces et ses faiblesses et Ă  les accepter,on accroĂźt sa force ».Accepter de voir tout ce qui en nous est blessĂ©, fragile, inadaptĂ©, moche, sombre, dĂ©sĂ©quilibrĂ©, excessif, violent, fade, mĂ©diocre, tout ce dont on a honte
 L’accueillir. DĂ©loger l’ombre pour faire jaillir la lumiĂšre. Puis nous ouvrir Ă  notre humanitĂ© profonde et accĂ©der Ă  notre vraie nature, qui est d’aimer et d’ĂȘtre dans la joie. Laisser alors se diffuser l’amour en soi
 et ouvrir les vannes
 vers plus d’humanitĂ©, plus de douceur, plus de tolĂ©rance, plus de lĂ©gĂšretĂ©, plus de joie ! ❀Le plus beau cadeau que l’on puisse faire Ă  nos enfants, c’est non seulement de leur donner tout notre amour, mais encore de leur apprendre Ă  s’aimer eux mĂȘmes. Afin qu’ils ne soient pas dans l’attente d’ĂȘtre aimĂ©s des autres ou Ă  cause de facteurs l’imperfection des choses, c’est aussi cela aimer. Car l’Amour tolĂšre la faille je peux aimer l’autre sans chercher Ă  le vouloir parfait. C’est l’égo qui cherche la perfection !Ne pas chercher la perfection, c’est ce que ce se propose la philosophie japonaise du Wabi Sabi, qui se rĂ©fĂšre Ă  la fois Ă  l’Espace Wabi et Ă  l’essence des choses dans leur simplicitĂ© et leur sobriĂ©tĂ©, et au Temps Sabi, et Ă  la beautĂ© obtenue par le passage du temps. Cette philosophie trouve la perfection tout Ă  fait ennuyeuse ! Pour elle, le bonheur rĂ©side dans le fait d’accepter l’imperfection de la Vie et d’apprĂ©hender les choses telles qu’elles sont, dans leur authenticitĂ©, dans les plaisirs simples, dans le fait de savourer le temps qui s’écoule, dans le fait d’accepter notre corps, l’ñge qui avance et ne nous rend pas moins beaux 😉, et dans le ait d’aimer notre Vie intensĂ©ment aujourd’hui en nous dĂ©lectant de ce que la Vie nous offre et de ce que nous choisissons de vivre pour ĂȘtre heureux. Car on ne sait pas ce que demain sera
 Aimer la Vie mĂȘme au plus fort de la tempĂȘte je sais que les nuages cachent le soleil, que le ciel bleu revient aprĂšs l’orage. Habiter en Bretagne aux couleurs toujours changeantes m’a beaucoup aidĂ©e Ă  accepter la nature impermanente de toute chose !! 😉 L’Amour a un alliĂ© puissant la Foi. Croire. Croire en la Vie, croire en soi, croire au que le meilleur est toujours devant soi, que l’on peut toujours s’élever, que si l’on accepte de baisser les armes du tout contrĂŽle » et de l’inaccessible quĂȘte du vouloir ĂȘtre », que si l’on accepte de faire le deuil de notre illusoire toute puissance et de nous ouvrir Ă  notre fragilitĂ©, alors quelque chose de fermĂ© et de dur pourra lĂącher et notre coeur pourra s’ouvrir, s’adoucir, s’embellir. C’est peut ĂȘtre cela la magie de l’Amour l’acceptation de sa propre vulnĂ©rabilitĂ© et le don total de soi – dans notre authenticitĂ©, notre nuditĂ©, notre beautĂ© sincĂšre – Ă  l’ ne veut absolument pas dire de cesser le combat aimer, c’est ĂȘtre un guerrier de lumiĂšre et de conscience, armĂ© de la dĂ©termination nĂ©cessaire pour combattre les forces de haine et de violence, pour refuser les relations toxiques, pour promouvoir la paix, la joie et la est une source infinie Ă  laquelle peut est en moi il suffit de me connecter Ă  d’autres sources pour qu’il s’amplifie et s’alchimise, que ce soit dans mes relations, ou quand je suis en contact avec la Nature, ou bien en prĂ©sence de hauts lieux sacrĂ©s et de grands maĂźtres aussi, tout simplement, quand je me recueille en moi mĂȘme et fais Sourire Ă  la Vie, alors la Vie me sourit. L’Amour est toujours souriant !! ❀ Si nous voulons que notre espĂšce survive, si nous voulons trouver un sens Ă  la vie, si nous voulons sauver le monde et tous les ĂȘtres vivants qui l’habitent, l’Amour est la seule rĂ©ponse bien que nous ne sommes pas encore prĂȘts Ă  fabriquer une bombe d’Amour », un dispositif assez puissant pour dĂ©truire toute la haine, l’égoĂŻsme et la cupiditĂ© qui affligent la planĂšte. Cependant, Ă  l’intĂ©rieur de chaque ĂȘtre humain, se trouve un gĂ©nĂ©rateur d’Amour petit mais puissant dont l’énergie attend d’ĂȘtre nous apprenons Ă  donner et Ă  recevoir cette Énergie universelle, chĂšre Lieserl, nous pouvons affirmer que l’Amour est toujours vainqueur, qu’il peut transcender tout et n’importe quoi, parce que l’Amour est la quintessence de la Einstein, lettre Ă  sa fille Lieserl

Chacundes 12 premiers jours reprĂ©sente l’énergie du mois en question. En Ă©crivant chaque jour, on « sĂšme » de bonnes graines pour l’annĂ©e Ă  venir. Je vais donc

Cecalendrier solaire est directement hĂ©ritĂ© des calendriers zoroastriens de la Perse prĂ©islamique est constituĂ© de d’annĂ©es de 365 jours divisĂ©s en douze mois. Les six premiers mois de l’annĂ©e comptent 31 jours, les cinq suivants, 30, et le dernier 29 ou 30 les annĂ©es bissextiles. Ce calendrier est toujours utilisĂ© en Iran.

RetourPremier degr é Accéder à la Cette rubrique présente les programmes, les attendus de fin d'année et les repÚres annuels de progression ainsi que les ressources

Argumentsdes parties de date annĂ©e, mois et jour. Les valeurs retournĂ©es pour DATEPART (year, date), DATEPART (month, date) et DATEPART (day, date) sont les mĂȘmes que celles retournĂ©es par les fonctions YEAR, MONTH et DAY, respectivement.Partie de date iso_week. ISO 8601 inclut le systĂšme semaine-date ISO,
Cdqh4.
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  • les 12 premiers jours de l annĂ©e