L’autre jour, en me promenant sur Facebook, je suis tombée sur une discussion sur un groupe avec la question suivante quelle est l’habitude qui a changé votre vie ? » Alors j’ai réfléchi le sport ? Le fait de me lever tôt ? Pratiquer la gratitude ? … Et là, j’ai réalisé que toutes ces choses avaient un point en commun la lecture, ces habitudes je les ai découvertes ou approfondie dans un livre. La lecture pour découvrir, pour se poser des questions, pour se remettre en question, pour acquérir de nouvelles compétences. Elle est là, ma meilleure habitude, celle qui me permet d’évoluer dans ma vie lire le savez, car je n’aborde quasiment jamais un article sans vous donner des propositions de lecture Dès qu’un sujet m’intéresse, je file à la librairie. Mais pas que ! Je m’inscris sur des groupes facebook même si j’y participe en généralement peu, j’aime lire des échanges et des témoignages, je fais des recherches sur internet, je lis des forums… Bref, je me suis loin de prendre tout ce qu’il y a dans les livres pour de la vérité pure. Par exemple, j’ai lu énormément de livres sur la parentalité positive. Loin d’en faire des modes d’emplois à suivre de A à Z, ces lectures m’ont surtout permises de me remettre en question, d’engager le débat avec mon mari ou mon propre débat intérieur. Certaines affirmations lues m’ont poussés à la réflexion, d’autres m’ont semblé limpide. Presque l’envie de me taper le front et de me dire Mais oui, mais c’est bien sûr ! ». Parfois la lecture m’apporte la petite étincelle qu’il me fallait. Parfois le travail est plus long. Mais à chaque livre lu je ressors grandie avec une nouvelle idée, une nouvelle habitude, une nouvelle est impossible d’assimiler un livre complet j’oublie certainement 80% de ce que je lis. J’en applique peut-être que 5%. Mais même si un livre ne m’apporte qu’une nouvelle idée ou un nouveau changement, c’est déjà un beau cadeau et une belle pour cet article, je vous fais une petite sélection de lectures qui m’ont beaucoup apporté en sport, en développement personnel, en parentalité… Mes petites bibles. Pas forcément les livres les plus pertinents ou les plus documentés, mais en tout cas ceux qui ont été une petite étincelle supplémentaire à un moment donné de ma vie. J’en ai certainement déjà partagé plusieurs sur le blog, mais ici ils seront / Accouchement Pour une naissance sans violence, de Frédérick LEBOYER Accouchement, les femmes méritent mieux, de Marie-Hélène LAHAYE Mieux accoucher c’est possible, de Francine DAUPHINParentalité et éducation Les vrais besoins de votre bébé, de Bernadette LAVOLLAY L’allaitement, du docteur Marie THIRION Tout se joue avant 6 ans, du docteur Fitzhugh DODSON J’ai tout essayé, d’Isabelle FILLIOZAT Au coeur des émotions de l’enfant, d’Isabelle FILLIOZAT Éduquer sans punir, du docteur Thomas GORDON Élever un garçon, de Steve BIDDULPH Les lois naturelles de l’enfant, de Céline ALVAREZ La fessée, de Olivier MAUREL Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, de Adèle FABER et Elaine MAZLICH Apprends-moi à faire seul, de Charlotte POUSSINDéveloppement personnel Miracle Morning, de Hald Herold Miracle Morning, le guide pratique, de Laura MABILLE Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études, de Olivier ROLLAND J’arrête de râler, de Christine LEWICKI J’arrête d’être parfaite, de Cindy GHYS Ta vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, de Raphaëlle GIODANOSport et bien être La magie du running, de Anne &DUBNDIDU Mon programme running en 8 semaines, de Anne&DUBNDIDU Je suis happy, de Margot et Catherine AUGE Une question d’équilibre, de Mathilde LACOMBE Le livre du Hygge, de Meik WINING Caroline et Safia, The Book, de Caroline et Safia Les joies d’en bas tout sur le sexe féminin, de Nina BROCHMANN et Ellen STØKKEN DAHLMaison, zéro déchet et organisation La magie du rangement, de Marie KONDO Ranger l’étincelle du bonheur, de Marie KONDO Mon cahier super organisée, de Anne-Sophie LEVESQUE Le livre qui va vous simplifier la vie au quotidien, de Céline COPIER Zéro Déchet, de Béa JONHSON Famille zéro déchet, de Jérémie PICHON et Bénédicte MORET J’arrête de surconsommer, de Herveline VERBEKEN et Marie LEFEVRECe n’est donc qu’une petite sélection de ma bibliothèque. Et j’ai une pile de livre à lire au moins aussi importante 🙂 J’ai tellement hâte de découvrir ce qu’ils vont m’apporter ! Entre autre L’apprentissage de l’imperfection » de Tal BEN-SHAHAR, Pour une enfance heureuse » du Docteur Catherine GUEGEN ou encore La méthode Ikigai » de Francesc MIRALLES… et tant d’autres !Est-ce que vous lisez beaucoup également ? Quelles sont vos petites bibles à vous ?
Lecharme des grands espaces ! Que vous rêviez de confort, de design ou de rangement, notre Lit Coffre est fait pour vous. Solide grâce à sa construction en bois, confort grâce à sa tête de lit moelleuse (pensée pour les petit-déj' au lit!), généreux avec sa grande capacité de rangement (jusqu'à 770L) et au charme hôtelier de par son design élégant, ce lit saura vous charmer au
Oui, oui. On nous en rebat tellement les oreilles qu’on pourrait croire que le journal de gratitude est un outil de développement personnel comme les autres, un peu comme le lâcher-prise ou les bonnes résolutions, mais c’est tellement plus que ça ! Pour mon amie Caroline, tenir un carnet de gratitude a été une étape clé pour remonter une pente savonneuse, suite à un croche-patte dont le vie a le secret. Elle nous raconte. Au programme Comment tenir un carnet de gratitude a changé ma vie Qu’est-ce qu’un journal de gratitude ? Conseils pour tenir un journal de gratitude Quels sont les bienfaits de la gratitude ? Lorsque j’ai commencé mon journal de gratitude, je sortais d’une rupture amoureuse suivie d’un accident avec une vilaine fracture à la cheville… 25 ans, à peine sortie de la fac, avec un nouveau job dans une nouvelle ville, je me retrouvais assignée à domicile, de retour chez mes parents. Et une longue rééducation en perspective pour retrouver un semblant de mobilité. Pas de quoi s’extasier . L’appli du cool parent Pour être accompagné tout au long de l’année dans ma parentalité À cette époque, j’ai eu la chance de rencontrer un ange gardien qui m’a mis entre les mains un joli carnet, en me proposant de passer quelques minutes par jour à noter les belles choses de la vie. Parfois, j’en écrivais une seule. Parfois plus. Et je me rendais compte que, de jour en jour, le paysage s’éclaircissait. Moi qui broyais du noir, je voyais de plus en plus de positif dans mon quotidien le SMS d’un copain, le sourire de la boulangère, un rire d’enfant peut-être pas à l’époque en fait , le soutien discret de mes parents, un mot réconfortant du chirurgien… Et plus je cultivais cette reconnaissance, plus je ressentais un bonheur profond et serein. Je voyais le monde sous un nouveau jour le confort, la chance d’être entourée, la beauté du monde, être en pleine santé presque partout… Et plus je retrouvais l’envie d’aller de l’avant, de prendre part, de me sentir utile, etc. C’est quoi un journal de gratitude ? Tenir un carnet ou un journal de gratitude, c’est prendre quelques minutes, idéalement chaque jour, pour se poser et consigner par écrit, les pensées positives les fiertés, les succès, les attentions, la nature, la beauté, etc. On prend le temps de vraiment ressentir notre chance nos blessing en anglais avec sincérité. On ne cherche pas à nier le négatif, mais on choisit d’arrêter notre attention sur tout ce dont on peut se réjouir. En termes d’objet, on peut choisir un joli carnet, mais un cahier tout simple pourra très bien faire l’affaire, tout en attirant moins les regards curieux des habitants de la maisonnée. D’ailleurs, CPMHK sort bientôt un carnet de gratitude spécial parents-enfants, si vous souhaitez être tenu informé de sa sortie, inscrivez-vous à la newsletter en bas de l’article ! OK, mais alors, quels sont les bienfaits de la gratitude ? Exemples de sujets dans un journal de gratitude On a beau le savoir, on attend trop souvent d’avoir perdu les choses pour prendre conscience qu’elles étaient là et que nous y étions attachés. Pour ne pas rester face à une page blanche, on peut choisir quelques items dans la liste ci-dessous pour tenir notre journal de gratitude. On peut donc noter 1. Les remerciements à… L’idée ici, c’est de préciser nos mercis “Merci à ma Maman d’avoir pris le temps de venir chercher les enfants”, “Merci à mon Chéri d’avoir débarrassé le lave-vaisselle !”, “Merci à moi-même d’avoir pris le temps de manger sur un banc au soleil !”… Plus on est précis, plus cela va raisonner pour nous et pour l’autre si on verbalise. Voir aussi notre article sur la Communication non violente pour nourrir les relations. 2. Ce qui nous relie aux autres ✨ Comme les petits gestes, les attentions, les mots gentils… Par exemple, plutôt que de se concentrer sur la collègue aigrie et son commentaire désagréable, savourer le compliment, la gentillesse ou le petit geste sympa des 3 autres collègues qui ont croisé notre chemin. Repenser à notre Loulou qui a fait un gros effort pour faire ses lacets sans grand succès, mais bon pour qu’on soit à l’heure à notre réunion. Ou penser au petit mot de notre chéri avant cette grande réunion sur laquelle on stressait tant… 3. Les bonnes surprises de la journée On peut regarder ce que l’on a et peut-être imaginer en quoi les choses changeraient si on ne l’avait plus. Pas pour se faire peur, seulement pour prendre conscience un ordinateur et tous les gens qui ont participé aux inventions pour lire cet article , du chauffage, de l’eau chaude, un toit sur la tête, le sourire de notre enfant, etc. Et ce n’est pas tout de le dire, prenons le temps de ressentir profondément cette joie à l’intérieur. 4. Nos fiertés et contributions Être fier de soi, ce n’est pas rien. Donc pensons à noter nos petites et grandes réussites ou celle de nos proches les enfants par exemple. De même, il est toujours constructif de voir en quoi notre participation à contribuer à l’avancée ou la réussite d’un projet. C’est si bon de se sentir utile. Bien sûr, il n’y a pas de limites, dites-nous dans les commentaires les exemples de gratitude qui vous portent. Psssst Charlotte Ducharme vient de sortir le carnet de gratitude pour nos enfants, aux éditions Hachette THE “HAPPY KIDS JOURNAL” ! Ce journal fourmille d’idées et d’espaces d’expression pour garder un esprit positif, ouvert aux autres, construire une belle confiance en soi et muscler son sens du bonheur ! 5 minutes par jour suffisent. À découvrir ici >> Laisser une place pour la gratitude dans notre agenda On a tous en tête qu’il est nécessaire que ce changement de regard prennent une place dans notre emploi du temps. C’est sûr qu’écrire permet d’ancrer nos prises de conscience, de les matérialiser en quelque sorte. Et cela nous donne une force toute particulière, notamment dans les jours de doute. Pour autant, inutile de faire de la gratitude un nouveau devoir, ou un énième élément de charge mentale. Pas de pression ! Mais nous ressentirons vite les bienfaits de ses petites bulles de bonheurs. Et nul doute qu’on se surprendra de plus en plus à noter les moments plein de joie, de bonheur simple au cours de la journée ! La gratitude, des bienfaits à consommer sans modération De nombreuses études ont été menées autour de la psychologie positive et en particulier sur la gratitude. Selon l’étude de 2003 d’Emmons & Mc Cullough, les personnes qui prennent l’habitude de tenir un journal de gratitude sont en meilleure forme physique, plus optimistes, plus vigilantes, plus enthousiastes et plus déterminées que les autres. De plus, ce rituel quotidien permettrait de changer d’état d’esprit et de développer l’altruisme. Voir aussi l’article de Charlotte “la gratitude a changé ma vie”. Augmenter le bien-être et stimuler les défenses immunitaires Ainsi, ressentir la gratitude permet de fabriquer de l’ocytocine, l’hormone du bien-être ainsi qu’un anticorps l’immunoglobuline A en première ligne dans la défense contre les virus. Reprogrammer notre cerveau à voir le bon côté des choses Dans la vie et dans la nature, notre cerveau est programmé pour percevoir ce qui ne va pas, ce qui risque de nous mettre en danger, ce dont il faut se méfier. Mais si on passait notre énergie à voir la vie du bon côté ? C’est ce qu’on appelle aussi contrer le biais de négativité, qui concentre notre attention sur ce qui ne va pas. En se focalisant sur le positif, l’agacement et les reproches envers notre entourage sont rapidement balayés ! Et au fil du temps assez vite d’ailleurs les connexions neuronales qui n’existaient pas se créent. Nous percevons beaucoup plus rapidement les cadeaux de la vie. L’idée n’est pas de se résigner et de tout accepter, mais simplement de vraiment regarder les petits et grands bonheurs de la vie et de s’en nourrir, sans attendre de s’en voir privé. Améliorer nos relations sociales Quand j’ai pris l’habitude de consigner les bonnes choses de la vie, je me suis vite rendu compte que mon rapport aux autres changeait. Je me rendais compte que ce qui pouvait m’agacer n’est qu’une petite part de la relation. Plutôt que de ruminer tout ce que j’aurai pu attendre de l’autre, je voyais ce qu’il m’avait offert. Cela a eu vite fait d’apaiser les tensions. Plus encore, j’avais envie de participer, de soutenir, d’être là, parce que je me rendais compte qu’un SMS qui pouvait paraître anodin avait fait ma journée… Se remonter le moral en cas de coup dur Un moment de déprime ? Une baisse de moral ? Une journée de doute ? C’est fou comme prendre le temps de relire notre petit carnet dans les coups de mou peut nous mettre du baume au cœur. C’est si bon de se replonger dans ces petites images ensoleillées, ces instants de félicité, ces moments de bonheur et de reliance… Cela permet de pousser les nuages et de ramener un rayon de soleil sur notre cœur. Et si la gratitude n’est pas forcément facile à mettre en place, n’hésitez pas à rejoindre le Cool Boost des cool parents parents bienveillants, des mini coaching qui changent chaque mois autour de la parentalité bienveillante et du développement personnel. Et surtout une super communauté pour se soutenir et plein de petits exercices proposés par Charlotte pour vraiment créer les changements au quotidien. A lire aussi Bien-être la pratique de la gratitude a changé ma vie » les Echos du 12 juin 2020 Déposer / Voir les commentaires
Commeles parents n’aiment généralement pas être pris au dépourvu, la meilleure solution consiste à les informer au plus tôt de votre projet, de les éclaircir sur vos objectifs et de les convaincre progressivement en leur proposant différentes options (destinations, moyens de transport, hébergements, etc.) pour votre voyage, ainsi
Les Editions Robert Laffont et Pocket s’associent pour publier un ouvrage hommage à Samuel Paty, intitulé Enseigner la liberté. Ce prof qui a changé ma vie 40 personnalités racontent, en défense de l’accès à l’information, à l’éducation et à la culture. Les bénéfices issus des ventes seront reversés à l’ONG Bibliothèque sans frontières. Écrivains, journalistes, politiques, personnalités du monde des médias et de la culture, parmi lesquels notamment Abd al Malik, Charles Berling, Nicolas Beuglet, Françoise Bourdin, Marie Darieussecq, Raphaëlle Giordano, Caroline Laurent, Marc Levy, Nicolas Mathieu, Thibault de Montaigu, Mathias Malzieu, Agnès Martin-Lugand, Bernard Minier, Camille Pasca, Tatiana de Rosnay, Josef Schovanec, Christiane Taubira, Sylvie Testud et Philippe Torreton contribueront au projet en racontant comment un de leurs professeurs a changé leur vie. Ce livre sera disponible à partir du 26 novembre 2020. "Ma professeure défendait mes textes contre les rires de mes amis"Dans le cadre de la journée spéciale sur France Culture "Emancipation générale ! Les combats pour l'éducation", l'écrivain Thibault de Montaigu, qui participe à l'ouvrage hommage à Samuel Paty, est l'invité d'Affaire en cours et nous raconte comment une professeure de français a changé sa vie dès l'enfance. La professeure qui a marqué mon enfance était ma professeure de français en CM2. Elle m'a ouvert à l'écriture car au lieu de nous demander le traditionnel récit de vacances, elle inventait toujours des choses absolument farfelues et inouïes pour nous faire sortir de nos habitudes et développer notre imagination. Par exemple, elle nous faisait écouter Beethoven à fond pendant deux minutes, sans rien nous dire. Et puis elle nous demandait d'écrire ce qu'on avait ressenti. Thibault de Montaigu Une autre fois, elle nous avait demandé de raconter la vie d'un objet comme si c'était un ami. Je venais de recevoir en cadeau une petite guitare, et j'avais parlé de cette guitare comme si c'était une fille dont j'étais amoureux. J'inventais des choses assez folles, je me lâchais vraiment et mes copains se moquaient plus ou moins. Mais notre professeure défendait mes textes contre leurs rires. Elle disait "Ca sonne vrai" et je me souviendrai toujours de cette phrase. J'ai compris aujourd'hui avec cette phrase que la réalité ne dit pas toujours la vérité. Pour atteindre la vérité, il faut parfois passer par l'imagination. Thibault de Montaigu Pour des élèves ayant du mal à exprimer une vérité intérieure, surtout quand leur réalité extérieure dit autre chose et qu'ils s'y sentent enfermés, par rapport au regard des autres, exprimer cette vérité, c'est ce qu'elle a réussi à me faire faire et je lui en serai toujours reconnaissant. Thibault de Montaigu Donner un sens au chaosContribuer à l'ouvrage Enseigner la liberté sera pour l'écrivain Thibault de Montaigu le moyen de peut-être retrouver cette enseignante et lui dire sa reconnaissance. Sur le moment, on ne se rend pas vraiment compte de ce que nous donnent nos professeurs. Il m'a fallu beaucoup d'années pour comprendre que cette petite goutte qu'elle a instillée à l'intérieur de moi a grandi, irrigué mon imaginaire et mon esprit, et a donné comme fruits les livres que j'écris aujourd'hui. Thibault de Montaigu Je faisais partie des rares élèves qui adoraient aller à l'école. Souvent, quand l'ambiance familiale n'est pas très heureuse, l'école est un havre. Non seulement car on échappe à son foyer et qu'on y trouve une stabilité, mais aussi car dans toutes les matières enseignées avec beaucoup de passion, le monde avait une cohérence, alors que la vie peut sembler un chaos. C'est quelque chose qui m'a sauvé. J'ai découvert que dans le récit de soi, je me ré-appropriais ma vie pour donner à mon existence son propre sens. Thibault de Montaigu La liberté peut-elle être enseignée ?La liberté, ça s'enseigne. Ca se conquiert, même. On a tendance à se conformer à des choses qui ne sont pas nous-mêmes, à avoir peur du regard des autres surtout quand on est enfant. Enseigner que chacun possède une vérité intérieure et que c'est en en usant qu'on va pouvoir prendre possession du monde et, souvent, agir pour le bien et pour le meilleur. Il faut enseigner cette liberté-là, car la vie ne nous la donne pas naturellement. Thibault de Montaigu Le dernier livre de Thibault de Montaigu La grâce, paru le 27 août 2020, est disponible aux éditions Plon.
Laphrase qui a changé ma vie Par Amandine Lebrat Parfois, au détour d'une conversation ou prononcés les yeux dans les yeux, quelques mots suffisent :
Deux valent mieux qu'un, car, s'ils tombent, l'un relève son 49-10Jean PeterschmittPasteur fondateur de la Porte Ouverte Chrétienne et son épouse, Suzanne. On n’était pas habitués à voir Dieu à l’œuvre à la maison. Mais quelque chose d’extraordinaire s’est produit Suzanne, alors mourante, a été guérie miraculeusement par la prière au nom de Jésus » qu’un jeune pasteur avait faite. Ce dernier nous avait dit Mais pourquoi ne mettez-vous pas en pratique la Parole de Dieu que vous lisez ? »Ça a complètement changé mon comportement. J’ai vu un Dieu nouveau, qui est là, qui nous aide, qui guérit et qui délivre. Un Dieu vivant !A l’époque j’avais un commerce, et j’ai alors commencé à témoigner à mes clients de la guérison de ma femme par Jésus-Christ et l’une d’entre elles m’a demandé Vous témoignez, mais qu’est-ce que vous faites, vous pour aider les autres ? » C’est ainsi que tout a commencé… Nous avons donné la Bible, prié pour les malades et partagé l’Evangile, d’abord dans une petite salle de restaurant à Thann. A cette époque, un homme très renommé a été guéri alors qu’il était proche de la mort. La nouvelle s’est répandue très vite dans la petite ville de Thann et la petite salle s’est remplie. Quand elle a été vendue, nous avons dû accueillir les gens chez après des années, après des épreuves, après avoir vécu l’intervention de Dieu dès lors que l’on obéissait, je n’ai jamais vu Dieu nous et Suzanne sont les parents de quatre enfants Michèle, Carine, Samuel et PeterschmittPasteur principal de la Porte Ouverte Chrétienne et son épouse, Dominique. Je suis né deux ans après la guérison miraculeuse de ma maman. Sans l’intervention du Seigneur dans la vie de mes parents, je ne serais jamais venu au monde!Ayant grandi dans une famille vivant sa foi au quotidien, j’ai, très jeune, compris la véracité de la Bible et réalisé que Dieu désire agir dans la vie des l’âge de 13 ans, en crise d’identité, je ne désirais plus aller à l’ père, avec sagesse, a su me mettre devant mes responsabilités en me disant que c’était désormais entre moi et Dieu ». Sa réaction m’a profondément interpellé et m’a amené à me questionner quant à ma propre ne suis pas allé à l’église ce jour-là, mais ayant été renvoyé à moi-même, j’ai compris que j’avais besoin d’une relation personnelle avec s’est développée je comprenais que si le Seigneur est mort pour tous les autres, Il l’était aussi pour découvert Son Amour personnellement, comprenant qu’Il n’était pas que le Dieu du miracle, mais aussi le Dieu de l’ décidé de Lui dédier ma vie, jamais je ne le regretterai!Cette foi étant devenue concrète, je la partageais autour de à 17 ans que pour la première fois j’annonçais l’évangile sur la place publique. Dieu est intervenu dans Sa grâce guérissant un malade suite à la ainsi que ma foi s’est affermie et que j’ai décidé de servir le Seigneur ma vie durant! »Samuel est entré à temps plein dans le ministère en et Dominique sont les parents de six enfants Sarah, Jonathan, Johanna, Josué, Benjamin et GrederPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne et son épouse, Caroline. J’ai grandi dans un village où la religion traditionnelle chrétienne était prédominante. Mes parents fréquentaient l’église et le curé nous avait donné une Bible, j’avais 8 ans. A la fin de mes travaux scolaires, je la lisais comme un livre d’aventure. Je savais beaucoup de choses sur Dieu, mais je ne connaissais pas personnellement Dieu. J’avais décidé qu’à 18 ans, j’allais arrêter la pratique religieuse. Mais j’ai découvert le renouveau charismatique. A la même période, mes parents se sont convertis. Je suis passé d’une connaissance intellectuelle sur Dieu à une connaissance DE DIEU. J’ai découvert que Dieu, ce n’était pas juste à l’église, le dimanche. C’était une marche quotidienne avec Lui. Une vie remontait en moi. Dieu était devenu mon Dieu. »Claude a rejoint Jean et Samuel en et Caroline sont les parents de deux enfants Emma et HuetzPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable des actions dans la cité, et son épouse, vivais dans la tradition religieuse de mes pères mais je ne trouvais pas de réponse à mes questions. On me disait qu’il fallait que je fasse le bien pour espérer peut-être avoir droit à l’éternité. J’avais comme une balance dans ma tête, avec d’un côté les bonnes choses et de l’autre les mauvaises. Et quand j’analysais tout cela, je n’étais pas tranquille face à ma destinée, face à la mort. J’ai vécu une expérience à 15 ans quand un copain de classe en répondant à ma question, me dit J’ai trouvé en la personne de Jésus quelqu’un qui me rend joyeux malgré les difficultés. » J’ai voulu l’accompagner à l’église dans laquelle j’ai découvert un Dieu vivant, qui agit, un Dieu sans blabla, un Dieu capable de libérer. Un jour, mon beau-frère qui était dans la drogue dure est venu me dire Bertrand, j’ai rencontré Jésus et ma vie a été bouleversée. » Dieu l’avait totalement libéré de la drogue et je me suis alors rappelé cet ami de classe et ce qu’il vivait. J’ai eu envie de revenir à l’église, je me suis assis tout au fond, et une phrase a percuté mon cœur Voici je frappe à la porte de ton cœur phrase de Jésus qu’on retrouve dans la Bible, si tu entends ma voix et que tu m’ouvres ton cœur, je rentrerai et je changerai ta vie, je prendrai du temps avec toi, je retirerai tes peurs et je te donnerai de l’assurance. » Alors, j’ai dit oui à Dieu pour tout cela, et la première chose que Dieu a changée, c’était ma peur de mourir. J’avais l’assurance que ma vie était dans les mains de Dieu et qu’Il m’aimait tel que j’étais. Je suis rentré à la maison tout heureux d’annoncer à mon épouse ce changement profond. Toute notre vie a été changée, est devenu pasteur de la Porte Ouverte en et Nadine ont trois enfants Mylène, Ezechiel et RibayPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable de la formation biblique, et son épouse, suis né dans une famille très classique avec des parents gentils qui étaient catholiques. J’ai fait mes études dans des établissements privés. Mais rapidement, quand j’ai eu 14 ans, ça ne représentait rien pour moi et j’ai laissé tout ça. A 18 ans, étudiant, je vivais plus la nuit que le jour. J’étais très loin des choses de Dieu. C’est à ce moment-là que Brigitte m’a parlé de Jésus, mais un peu comme si on parlait de tout et de rien, mais je me rendais compte que ça me remettait en cause, et je n’ai plus voulu en parler. Brigitte est allée un jour à une réunion chez une dame, et j’y suis allé aussi. On était dans les années baba-cool », je portais le jean large, j’avais les cheveux très longs avec des colliers partout…Imaginez cette image dans une réunion chez une petite dame toute simple qui avait un fils handicapé mental . En pleine réunion, j’ai demandé l’autorisation de parler. Un verset de la Bible m’est revenu ; Jésus a dit Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et je vous donnerai du repos, car mon joug est facile et mon fardeau est léger. » La dame avait juste besoin d’entendre cela. Le pasteur qui était là, a reçu de Dieu une révélation prophétique et il m’annonça Tu serviras l’Eternel.»Je savais très bien que c’était Dieu qui me parlait. Mais je ne comprenais pas car j’étais dans une vie remplie de péchés. Je n’étais pas chrétien. Dans mon cœur, j’ai reçu cette réponse venant de Dieu Si maintenant tu marches avec moi, j’efface tout. » Je me suis dit que si Dieu était comme ça, alors j’étais d’accord. Je suis sorti de cette réunion, sauvé. Avant j’étais perdu, désormais j’étais sauvé. Avant j’étais dans les ténèbres et maintenant j’étais dans la lumière. J’étais quelqu’un d’autre. C’était immédiat. J’étais né de a rejoint l’équipe en 2005 .Jean-Marie et Brigitte ont trois enfants Julie, Rebecca et JungPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable de Génération Enfants. J’ai vécu dans une famille dans laquelle j’ai reçu beaucoup d’amour de ma maman qui était toujours présente. Mais du côté de mon papa, c’était bien plus difficile. Il avait notamment de gros problèmes d’alcool et usait de violence. J’ai eu des images qui m’ont marqué et qui m’ont amené à faire un blocage avec l’école, l’autorité et tout doucement, j’ai basculé dans la drogue. De 12 ans à 21 ans, je menais une vie de débauche, dans la drogue, l’alcool, les femmes et les boîtes de nuit. En réalité, toutes ces choses me rendaient de plus en plus malheureux. Au milieu de ma bande, j’avais un ami qui avait fait lui-même une expérience avec Jésus en Martinique. Un jour, il m’a envoyé une petite lettre en écrivant Jésus a transformé ma vie. Je t’invite à le rencontrer». Il m’a conseillé de venir à l’église. Je suis tout d’abord venu seul à l’église de la Porte Ouverte. Je suis ressorti de l’église en me disant Mais il ne se passe rien dans ce lieu, ça ne va pas changer ma vie ! » Au bout de quelques mois, mon ami est revenu de Martinique et nous avons pu discuter ensemble. Il m’a vraiment parlé de Jésus. Lors de notre discussion, il m’a dit Si tu veux, tu peux venir demain à l’Eglise avec moi. Mais, ce que tu vas faire d’abord, c’est rentrer dans ta chambre et demander à Jésus de changer ta vie. Le lendemain, nous nous sommes donné rendez-vous à l’église. J’ai simplement fermé mes yeux et j’ai dit Jésus, si tu existes, c’est toi qui viens et qui change ma vie. Révèle-toi à moi». J’ai senti une chaleur, j’ai pleuré plus d’une heure et en fermant les yeux, je voyais ma vie défiler, avec tout ce que j’avais fait de travers, tout ce qui attristait le cœur de Dieu. J’ai alors dit à Jésus Oui, je t’accepte dans mon cœur, je t’accepte dans ma vie». J’ai ressenti immédiatement une paix et un amour que je ne connaissais pas. Je me disais à cet instant Je vais rentrer à la maison, je vais fumer un bon petit pétard pour réfléchir à ce que je viens de vivre». C’est à ce moment-là que Dieu me parla dans mon cœur. Je n’entendais plus rien autour de moi. Il me dit tout simplement Tu n’en as plus besoin, tu es libre». J’ai reçu ce que Dieu me disait et j’ai répondu D’accord !» Je suis rentré chez moi, j’ai pris un grand sac poubelle et j’ai tout jeté. A partir de ce jour-là, j’étais devenu complètement libre. »Jérémie est entré dans le ministère en GeyerPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable du pôle jeunesse. C’est une aventure incroyable qui a commencé quand j’étais dans le ventre de ma maman. Je n’étais pas du tout désiré. A cette époque, ma maman se droguait. A l’âge de 6 ans, je vois cette image de volets fermés, d’un téléphone débranché et d’une maman toujours dépressive. C’est à ce moment-là qu’il s’est passé une chose incroyable une personne a parlé à ma maman de Jésus. Comme elle n’en pouvait plus, elle a fait une dernière prière, un peu par dépit Dieu, si tu existes, alors tu me libères de la drogue et de la dépression, sinon c’en est fini». Le lendemain matin, c’était comme si le jour s’était levé dans ma maison. Ma mère était transformée et libérée. Je me souviendrai toujours de ce jour-là. Nous avons commencé à venir à l’église ici, et pour moi, c’était extraordinaire de voir qu’il existait un endroit où les gens s’aimaient. Puis à l’âge de 7 ans, j’ai commencé à avoir des verrues partout sur le l’Eglise, on disait que Dieu était tout puissant. Ma maman disait que Dieu était tout j’ai fait une prière d’enfant avant de dormir Dieu, si tu es vivant, alors tu me guéris de toutes ces verrues !» Le lendemain matin, je n’avais plus aucune verrue. J’ai alors réalisé que Dieu m’entendait et m’aimait. Vers l’âge de 14/15 ans, j’avais le besoin de me positionner face à des Chrétiens qui étaient imparfaits et ce désir est venu en moi Moi, je ne veux pas être un Chrétien hypocrite !» Dieu m’a montré que je n’avais pas besoin d’être un Chrétien hypocrite.. parce que moi aussi, j’étais imparfait ! J’avais juste besoin de la grâce de Jésus. J’avais besoin de donner ma vie à Jésus. J’avais besoin de Lui. J’avais besoin de son sacrifice à la croix et ce jour-là, j’avais vraiment décidé de Le suivre. Je peux vous dire qu’Il a changé ma vie, qu’Il a changé mon sale caractère et Il continue de me transformer !Thiebault a rejoint l’équipe en PeterschmittPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable d’Impact Jeunesse et son épouse, eu le privilège d’entendre parler de Jésus depuis tout petit, mais surtout de voir les fruits que ça donne dans une vie. Je ne saurai pas dire exactement quand j’ai reçu Jésus dans ma vie, parce que très tôt j’ai accepté le Seigneur, mais j’ai fait plusieurs expériences quand j’étais jeune pendant les cultes et dans les colonies. Le fait de grandir dans une famille qui vit Jésus-Christ au quotidien est un privilège, je ne peux pas dire par exemple, que j’ai volé, que j’ai triché, je ne peux pas dire que j’ai vécu un contraste saisissant en acceptant Jésus mais avec le temps, on se rend compte qu’on a besoin de Jésus et qu’on n’est pas meilleur que les on me demande comment ça se fait que je devienne moi aussi pasteur, après quatre générations de pasteurs dans la famille Peterschmitt. Il faut savoir que plus jeune, je ne voulais surtout pas être pasteur, tout sauf pasteur ! J’ai vu l’envers du décor d’un tel ministère beaucoup de sacrifices au niveau familial, et la vie n’est pas suis convaincu que seul Dieu peut nous donner la force d’accomplir le une épreuve extrêmement difficile dans laquelle Dieu m’a secouru, la conviction d’être appelé à Le servir est devenue une évidence pour moi. C’est ainsi que j’ai eu la joie d’être pasteur des jeunes dans une église suisse pendant trois ans. Au vu des besoins de la Porte Ouverte, le Seigneur me donne aujourd’hui la joie de rejoindre l’équipe pastorale pour le service parmi les est venu renforcer l’équipe en MenchonPasteur de la Porte Ouverte Chrétienne, responsable des groupes de maisons. Durant mon enfance, j’ai appris à pratiquer la religion traditionnelle mais quand il fallait aller à l’église j’ai toujours traîné les pieds. À l’adolescence, mes parents m’ont mis dans un collège confessionnel où j’ai réellement aimé entendre le prêtre qui s’occupait des jeunes nous parler de sa foi. Mais la page du collège tournée, j’ai oublié tout cela et me suis réellement éloigné de dans Sa grâce, il n’avait pas dit son dernier mot. Lors de mes études à l’IUT de Colmar, Dieu a mis sur mon chemin un étudiant qui a témoigné jour après jour de ce qu’il vivait dans sa foi et il m’a expliqué la parole de Dieu. Il m’a communiqué la soif de chercher Jésus de tout mon coeur, ce que j’ai fait et un jour, alors que je ne m’y attendais pas, c’est Jésus qui est venu à la rencontre de mon senti son amour et sa paix m’envahir et tout mon être a été bouleversé. J’ai compris en un instant qu’il était vivant et qu’il m’ la suite, il m’a encore fallu cheminer pendant 2 à 3 ans jusqu’à ce que je trouve l’église dans laquelle le Seigneur voulait que je le serve et dans laquelle je me suis fait baptiser La Porte Ouverte Chrétienne. Et ceci grâce à un chapiteau d’évangélisation que l’église avait dressé à Colmar en j’ai réellement trouvé ma place dans cette grande famille et je suis tellement heureux de pouvoir me mettre à son est devenu responsable des groupes de maisons en 2015. Depuis, il organise, coordonne, visite, fait le lien entre l’église et chacun des 150 groupes que compte l’ a été reconnu pasteur lors du culte du dimanche 28 février 2021.
Evidemmentqu'elle panique à l'idée de rencontre les parents de Vice. C'est normal non ? Elle n'a jamais rencontré les parents d'un petit ami. Ou comme là, en l'occurrence, d'un plan cul. Mais Vice a été clair. Ses parents ne savent rien de leur relation aussi tordue puisse-t-elle être. Ce qui est un bon point en fait. Il faut qu'elle arrête de se mettre la rate au court bouillon pour
Qu'est-ce que le running m'a apporté dans la vie ? Comment le running a changé mon quotidien ? C'est la question que j'ai posé à des fans de course à pied et sur laquelle je me suis aussi penchée. Résultat ? Des réponses qui sauront sans doute donner envie à d'autres de se mettre à courir. Un jour je me suis levé ! Bon jusqu'ici rien d'anormal, sauf que cette fois là, j'ai eu THE déclic. Lequel ? Celui d'enfiler une paire de chaussures de sport pour aller courir. Quelle idée ! Bonne apparemment car depuis ma vie a été chamboulée. Ce moment où l'on passe d'une vie de nomade à celle de néo runner plein d'entrain, mais aussi d'incertitudes, nous sommes nombreux à l'avoir eu. Pour certains, ça n'a été qu'une expérience de plus, mais sans suite. Pour d'autres, mettre un pied devant l'autre, puis recommencer inlassablement a été un révélateur, une évidence. Ces derniers qui ont commencé la course à pied pour X, Y ou Z raisons, affirment haut et fort que ce sport d'endurance a provoqué un vif changement dans leur existence. C'est d'ailleurs pour la plupart devenu un nouveau mode de vie dans lequel la course à pied prend tout naturellement sa place. Comment me mettre à courir à changé ma viePour rédiger cet article, j'ai cherché à recueillir des témoignages et je n'ai pas eu de mal à en obtenir. En effet, je me suis aidé de la communauté course à pied Fesse Bouque et notamment celle de la page Je Vais Courir. J'ai pour l'occasion créé un sondage avec la question suivante “La course à pied a-t-elle changé votre vie ? Si oui expliquez comment.”. En quelques heures, plusieurs centaines de coureurs se sont prononcés. Le résultat ? Un grand OUI à 88%, accompagné de nombreux témoignages en ce sens. Voici quelques exemples qui montrent comment le running a changé la vie de nombreuses personnes, moi y au quotidienRunners et runneuses ont largement mis en lumière le fait que la course à pied leur a permis de mettre les pieds où jamais ils ne seraient allés. Le running et c'est encore plus vrai pour le trail nous donne la chance de découvrir du pays, des paysages somptueux. Si l'arrivée de la pratique dans notre vie nous autorise à nous évader de notre environnement quotidien, elle fait aussi naître des sentiments de liberté et de bien être. En effet, plusieurs témoignages de coureurs font transpirer un changement majeur dans leur existence avec l'arrivée du running. Le bonheur, le plaisir et des bienfaits au quotidien. -”Courir, un moment de bonheur, de partage, de découverte d'endroits magnifiques, le bien-être. I Love Running !”. -”Je dirais que la course à pied m'a rendu heureuse et m'a donné confiance en moi.”. ...Un nouvel équilibre-“La course à pied me permet de me dépasser alors que côté challenges pro c'est devenu calme. Et puis j'ai découvert que j'avais un vrai potentiel. C'est hyper stimulant, outre le fait que j'adore courir tout simplement, je cours comme je respire”. Ce commentaire laissé par une abonnée de la page JeVaisCourir montre comment la course à pied est venue s'immiscer dans sa vie comme un véritable trait d'union entre une vie professionnelle devenue “plus tranquille” et la pratique de la CAP comme dépassement de soi et motivation retrouvée. La pratique du jogging, du footing est un bon moyen de faire une parenthèse dans sa journée, un moment où on laisse les soucis derrière et pendant lequel on pense à soi où on se remet en question et dont on sort le plus souvent grandi. On se demande même pourquoi courir n'est pas remboursé par la sécu, vu les vertues anti stress qu'elle procure. Ce n'est pas le commentaire suivant qui va nous faire dire le contraire “La course à pied m'a sauvé du burn-out, un moyen de lâcher prise, c'est bon pour mon moral, un anti stress naturel”.Se prouver de quoi on est capableComme on peut s'en apercevoir avec l'infographie running que j'ai réalisée, plus de 60% des coureurs préfèrent courir en solo. Pas que la pratique fait émerger un certain égoïsme chez le coureur, mais parce que lorsque l'on court seul on en apprend énormément sur soi. Seul, on se découvre des capacités inattendues, chaque jour on repousse ses limites et on en sort plus fort face aux aléas de la vie. Comme une revanche sur le passé ! Comme beaucoup de runners l'affirment “courir m'a permis de retrouver confiance en moi”. Puis la pratique en solo fait naître de nouvelles ambitions. Lesquelles ? Mettre la barre plus haut, se lancer des défis, de nouveaux objectifs à atteindre pour s'épanouir davantage. Pour certains c'est courir un premier marathon à 42 ans, pour d'autres faire de la course à pied un tremplin vers d'autres projets extra sportifs. On se dit que si le running nous a montré que l'on pouvait faire de belles choses, il peut en être de même dans la vie sans baskets aux pieds. Une mentalité, un esprit positif qui s'est révélé peut être grâce à la santé retrouvéeEn grande majorité, les témoignages que j'ai pu collecter ont fait transparaître un changement important dans la vie des runners avec la course à pied comme nouvel ami. Une évolution bénéfique sur la santé ou l'hygiène de vie. “J'ai débuté le running pour maigrir, j'ai perdu X kilos”. Pour pas mal de runners euses courir est synonyme de perte de poids avec les effets bénéfiques que cela procure sur la vie de tous les jours. “Au fur et à mesure courir m'a donné envie d'avoir une vie plus saine. Cela m'a aidé à arrêter le tabac et réduire la consommation de boissons”. Une victoire sur soi-même dont on peut être de belles rencontres-“En courant je décompresse, j'oublie le travail et je passe un bon moment avec les copains, on se retrouve le mercredi soir pour courir ensemble, ça me coupe la semaine, ça me fait un bien fou”. -”La course à pied m'a réservé une belle surprise, celle de rencontrer ma femme, nous vivons maintenant une passion commune”. Quelques commentaires sont venus mettre en avant un autre changement dans la vie. Celui de la rencontre de nouvelles personnes avec lesquelles nous n'aurions pu faire connaissance sans la fée course à pied. En effet, de nombreux groupes de coureurs se forment aux 4 coins de la France et il n'est pas rare de voir ces derniers courir en meute chaque semaine. Dans ces groupes des amitiés naissent et plus si des combats pour la vie ou contre la maladieCourir, se dépasser en mettant un pied devant l'autre fait parfois naître des vocations, des envies de courir pour les autres ou pour lutter contre la maladie. Concernant ce dernier point, je vous livre le témoignage d'une pensionnaire de la communauté running sur Facedebook -“Je suis tout simplement née le jour où j'ai couru mon premier marathon en novembre 2017 à New York. Ça été un dépassement de soi avec mon diabète, il m'a emmené au bout de cette incroyable aventure”. Ou encore celui-ci -”Cela me permet d'oublier la maladie, de me battre, je suis bien depuis que je cours, je suis détendue, apaisée.”. Sur les courses, je vois régulièrement des coureurs qui affichent des messages sur leur tee-shirt du style “ je cours pour X ou Y qui lutte contre le cancer..”. Je vois aussi des groupes de coureurs se mobiliser pour faire vivre de grands moments à des enfants ou adultes handicapés en les emmenant sur des trails en goélette. Fréquent aussi, les runners qui n'hésitent pas à partir pour de longues distances à travers un pays pour collecter des fonds pour une cause nouvelle dépendanceJe ne sais pas vous, mais person j'imagine mal la vie sans la course à pied. J'éprouve un réel manque lorsque je n'ai pas couru deux jours. La faute à madame endorphine ? J'ai recueilli pléthore de commentaires qui vont dans le même sens -“Le running, ça m'a rendu addict !”. -”Une vraie drogue, mais je ne cherche pas le sevrage.”. -”Je ne peux plus me passer de courir, je suis running-dépendant.”. Cette accoutumance peut par contre réserver de mauvaises surprises à certains runners. -”La course à pied, m'a coûté un divorce”. C'est con, mais si monsieur ou madame n'est jamais à la maison, faut bien que l'autre s' banqueroute !J'ai pu lire certains témoignages teintés d'humour, mais qui révèlent une triste réalité. Pas besoin de vous demander quel est votre budget course à pied annuel. Ce que j'en sais, c'est que c'est onéreux, sauf si l'on se contente du minimum et que l'on court raisonnablement. Du coup, je ne suis pas étonné de voir débouler des commentaires du genre -“Oui la course à pied a changé ma vie, ça m'a rendu pauvre.”. -”Oui, ça a changé ma vie, je n'ai plus de quoi me nourrir correctement depuis que je rachète une paire de shoes tous les 400km. Aidez moi s'il vous plaît...”. Et vous, est-ce que le running ou le trail a changé votre existence ?
Votrequotidien vous pèse ? Quels sont les signes avant-coureurs qui marquent une envie de changement ? Peut-être que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, alors, ne changez rien, c’est parfait ! Ce test va vous permettre, à travers quelques questions, de vérifier si oui ou non vous avez envie ou besoin de changer de vie.
A l'occasion d'un bref entretien avec Le Figaro, Léa Salamé s'est confiée sur sa nouvelle vie de est l'une des matinalières les plus écoutées de France, mais cet été, l'heure sera au repos pour Léa Salamé. Direction le sud-est auprès de la Méditerranée "cette mer qui apaise ses tourments", comme elle a confié au Figaro de ce vendredi 21 juillet, puis la Corse et enfin le Liban. Une grande première pour son fils Gabriel, tout juste âgé de quatre mois. Une véritable bénédiction "qui fait ses nuits", a confié la jeune de ses amours avec l'essayiste et philosophe, Raphaël Glucksmann, Gabriel dont elle avait accouché le 14 mars dernier serait aussi à l'origine d'une nouvelle façon de vivre "J'ai passé l'année la plus riche et la plus excitante de ma vie professionnelle. Sur le plan personnel aussi, la naissance de Gabriel au mois de mars a changé ma vie". Une pause estivale bien méritée pour celle qui s'octroie quelques semaines de vacances après les longues campagnes électorales de l'année, "j'ai l'impression d'entrer seulement aujourd'hui dans mon congé maternité"."Désarmant", "épuisant"La journaliste s'était déjà confiée au sujet de son bébé - un brin moins enthousiasmée "C'est désarmant et bouleversant. Et épuisant. Je n'ai pas envie de m'étendre, je risquerais de dire des banalités sur des choses que toutes les femmes ont connues", avait confié Léa Salamé à TV Mag au sujet de sa nouvelle vie de maman le 10 avril dernier.
cWnn. o2kip0l77f.pages.dev/639o2kip0l77f.pages.dev/376o2kip0l77f.pages.dev/708o2kip0l77f.pages.dev/660o2kip0l77f.pages.dev/716o2kip0l77f.pages.dev/462o2kip0l77f.pages.dev/938o2kip0l77f.pages.dev/671o2kip0l77f.pages.dev/293o2kip0l77f.pages.dev/409o2kip0l77f.pages.dev/52o2kip0l77f.pages.dev/209o2kip0l77f.pages.dev/661o2kip0l77f.pages.dev/14o2kip0l77f.pages.dev/747
comment dire oui a change ma vie